Le journal d'une romance

Chapitre 1

2 Septembre 1899

La dernière fois cher journal, je terminais mon récit avec le nom de l'homme que j'aime le plus au monde Gellert Grindelwald ou comme j'aime l'appeler Gellou, lui n'aime pas du tout du coup il se venge en m'appelant Bubus ce que je déteste ce surnom mais bon c'est de bonne guerre après tout. Enfin bref avant de rentrer dans les détails de notre relations il faudrais peut-être que je t'explique notre rencontre.

Flashback

Albus regarde la pendule accrochée à son mur 10h20 et on est déjà le 15 juillet, il pousse un soupir à en fendre l'âme, 11 jours, 11 jours qu'il est le chef de la famille, il a déjà du se battre avec Abelforth pour qu'il n'arrête pas l'école heureusement se sont les vacances d'été donc il est à la maison pour s'occuper d'Arianna mais quand il sera parti ce sera à Albus de s'en occupé, il pousse un deuxième soupir à en fendre l'âme puis se décide à sortir dehors faire un tour, l'air de cette maison commence à l'étouffer. Alors qu'il sort de la maison la porte de la voisine Bathilda Bagshot s'ouvre sur un magnifique jeune homme de 17 ans, 1m82, les cheveux blond et bouclé s'arrêtant juste un peu au dessus des épaules, les yeux vairons un blanc et un bleu turquoise, les traits fin mais virile, mince et musclé à la perfection ni trop, ni trop peu et pour complété le tout un petit anneau à l'oreille droite. Albus reste quelque instant sur le pas de sa porte a détaillé ce beau jeune homme qui lui ferme à clé la sienne puis se sentant observé il relève la tête et sourit à un Albus qui rougit et lui sourit maladroitement ça a l'air de faire rire le jeune homme puisque celui-ci retient un éclat, il s'approche alors de la barrière séparant leur jardin et Albus en fait de même.

-Bonjour Schönheit.
-Bonjour et eh je suis pas une beauté, je suis pas une fille !
-Hahahaha désolé mais c'était plus fort que moi.
-C'est pas grave, tu es étranger d'où tu viens ?
-Je viens d'Allemagne et toi tu es né ici je me trompe ?
-Oui je suis un pur Anglais.
-Je m'en doutais au faite je m'appelle Gellert, Gellert Grindelwald.
-Enchanté Gellert, moi c'est Albus Dumbledore.
-Enchanté Albus au faite ta baguette dépasse de ton pantalon.

Albus abaisse rapidement le regard pour voir qu'effectivement sa baguette dépasse et il la cache sous sa chemise puis vif comme l'éclair il regarde avec un pétillement dans les yeux Grindelwald qui lui pense que ce garçon est plutôt mignon.

-Toi aussi tu es sorcier ?
-Oui.
-C'est la première fois que je rencontre un sorcier qui a mon âge ici.
-Tu as quel âge ?
-J'ai 18 ans et toi ?
-J'ai 17 ans.
-Tu ne les fait vraiment pas et qu'est-ce qu'un garçon comme toi vient faire ici ?
-Je me suis fait renvoyer donc je suis venue habité chez ma tante Bathilda.
-Oh vraiment.

Albus regarde surpris le blond qui lui sourit, il faut vraiment que Gellert arrête de lui sourire comme ça il va commencer à être serrer dans son pantalon, oui parce que si vous n'avez pas compris le petit Albus est gay et ça il l'as découvert à 16 ans en voyant un de ses camarades de dortoirs sortir de la salle de bain avec juste une serviette autour de la taille et donc le fait que Gellert sourit et s'approche un peu trop près de lui commence à le rendre aussi rouge qu'une tomate. Albus s'éloigne un peu et Gellert enjambe la barrière et s'approche.

-Qu'est-ce qu'il y'a Albus je te trouble
-Non pas du tout
-Ah bon d'accord

Gellert recule d'un pas en souriant et se dirige vers la sortir puis arrivé devant il se tourne et envoie un baiser à Albus qui se cache le visage dans ses mains rouge de gêne et regarde le blondinet à travers ses doigts.

- Eh bien à plus tard Albus

Ce dernier ne peut rien faire sauf un signe de main et une bouche légèrement ouverte, le roux reste la quelque minutes à regarder le déhanché et le mouvement des fesses de Gellert jusqu'à ce rendre compte que ça fait littéralement 10 minutes qu'il est planté la et que son frère lui hurle dessus pour qu'il vienne, depuis la fenêtre de sa chambre. Albus se dirige alors vers la chambre de son petit frère.

-Qu'est-ce qu'il y'a ?
-Tu veux bien m'aider ?
-T'aider pourquoi ?
-Pour faire mes devoir. J'y arrive pas.
-Oh euh oui bien sûr.

Albus est surpris c'est la première fois en 4 ans depuis que son frère est à Poudlard qu'il lui demande de l'aide pour ses devoirs, alors Albus l'aide autant en théorie qu'en pratique mais il voit bien le regarde interrogateur d'Abel et Albus fini par poser la plume et regarder son frère.

-Quoi ?
-Il te plaît ?
-Hein ? Qui ?
-Le garçon de tout à l'heure.
-Gellert ? Mais non il ne me plaît pas c'est un garçon comment pourrait-il me plaire.
-Al ne me ment pas...je sais que tu t'intéresse aux garçons et pas aux filles, je l'ai bien vu à l'école ce sont les garçons qui te draguait en passant une main dans tes cheveux, en caressant ton bras et en glissant leur bras dans ton dos pour laisser dériver leurs mains sur tes fesses, je ne suis peut-être pas aussi intelligent et doué que toi en magie mais je ne suis pas complètement idiot non plus.

Albus soupir et se masse les tempes, bien sûr que son frère n'était pas idiot il faisait semblant et ça Albus l'avait bien compris mais il ne pensait pas que son frère avait remarqué tout son manège avec les garçons qui le draguait. Il pousse pour la énième fois un soupir et regarde son frère dans les yeux.

-C'est vrai j'aime les garçons et il se peut que Gellert me plait, il est plutôt mignon.
-C'est un étranger
-Oui et donc ?
-Fait attention
-Abel est-ce que par hasard tu t'inquièterais pour ton grand-frère ?
-M-Mais non pas du tout pourquoi je m'inquièterais pour toi après tout t'es le sorcier le plus puissance de ta génération et...

Abel se rend compte qu'il a gaffé quand son frère affiche un sourire goguenard s'étalant sur tout son visage. Abel déteste faire des compliments à Albus car celui-ci prend facilement la grosse tête mais au fond même si on pense qu'il le déteste, il l'adore son grand-frère et c'est réciproque, Albus lui n'a pas perdu son sourire et il ébouriffe les cheveux déjà en bataille de son frère qu'il prend ensuite dans ses bras.

-Abel ça te dérange pas que ton frère soit homosexuel ?
-Non tant que tu es heureux ça me va je m'en fiche que tu aimes les hommes ou les femmes ou même les deux, tant que tu trouves la bonne personne pour toi
-Oh quel petit-frère attentionné j'ai la
-Tait-toi c'est pas vrai
-Oh que si c'est vrai
-Non

Et voilà qu'ils sont repartis dans une de leurs énièmes chamailleries et au fond de lui Albus est heureux que son frère l'accepte comme il est. Maintenant reste à savoir si Grindelwald lui plaît vraiment.

Fin du Flashback

C'est comme ça que j'ai rencontré Gellert sauf qu'à ce moment là je ne savais pas à quel point c'était un coureur de pantalon et oui je sais je sais, on pense que pour moi la garde de mon frère et de ma sœur est un poids mais c'est faux je les aimes plus que tout et je ferais tout pour eux.