Chapitre 2

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5 Septembre 1899

Cher journal, c'est la troisième fois que je t'écris et je commence à m'y faire doucement, en ce moment je suis assis sur mon lit et Gellert est assis à mon bureau je crois qu'il fait encore des recherches d'ailleurs ça me fait penser qu'il faut que je te raconte comment notre relation a commencé.

Flashback

C'est un magnifique 1ère Août et Albus est assis en dessous d'un chêne un livre à la main il tourne lentement les pages puis le lâche en soupirant et en regardant en l'air il ferme les yeux, les ombres des feuilles et les rayons du soleil jouant devant ses paupière fermer jusqu'à ce que le noir les envahissent complètement, il fronce les sourcils puis ouvre les yeux et voit le visage d'ange de son ami Gellert, les jeunes homme se sont revus et on finis par sympathisé et même à se rapprocher.

-Est-ce que je suis mort ?
-Hahaha très drôle Albus
-Gellert que puis-je pour toi ?
-Rien je me demandais comment allais ma beauté des îles
-Ta beauté des îles ? Tu me prend vraiment pour une fille
-Non je sais que t'es un mec mais tu as les traits si fin comme une fille
-Oui merci je suis au courant
-Eh je disais pas ça pour te vexer

Gellert s'assied à côté du roux et caresse sa joue d'un doigt, le blond l'observe comme si ses yeux le criblait de sort pour l'empêcher de bouger et qu'il puisse le contempler à loisir, Gellert commence à ce pencher tout doucement en tendant la main et alors qu'Albus pense qu'il va l'embrasser le blond attrape une feuille coincé dans les mèches rousse et sourit au pauvre jeune homme qui voit ses espoirs s'envoler.

-Dit moi Albus.
-Oui ?
-Tu connais les reliques de la mort ?
-Bien sûr la baguette de sureau, la pierre de résurrection et la cape d'invisibilité
-Oui tu crois quelles existes ?
-Eh bien il y'a une tombe ici au cimetière qui est celle d'Ignotus Peverell qui était le plus jeune des frères et le possesseur de la cape d'invisibilité.
-C'est vrai et tu penses que je pourrais les trouvées ?
-Eh bien si tu fait des recherches je pense que tu pourrais les trouvées
-Je veux bien mais il n'y a pas de livres qui en parle chez ma tante Bathilda
-Oh eh bien je peux t'aider, j'ai une très grande et ancienne bibliothèque à la maison elle est au sous-sol
-C'est vrai ? Tu veux bien m'aider ?
-Ah oui bien sûr
-Merci Albus

En voyant le visage rayonnant de Gellert, Albus ne peux plus se retenir et il embrasse le blond chastement et tendrement puis surpris et furieux contre lui-même il se recule et s'excuse maladroitement jusqu'à ce que l'autre le fasse taire d'un autre baiser plus profond et passionné, Gellert se penchant de plus en plus ils finissent par tomber dans l'herbe ou le roux entoure le cou du blond de ses bras et ses jambes autour de la taille, Gellert lui passe un bras dans le dos d'Albus et sa main dans les cheveux flamboyants tout en continuant à l'embrasser jusqu'à ce qu'il manque d'air, l'allemand cache alors son visage dans le cou du britannique et tout en embrassant son cou dit d'une voix étouffée.

-Je me demandais vraiment si tu allais m'embrasser ou si je devrais le faire
-Pourquoi ne l'as-tu pas fait ?
-Tout simplement parce que j'avais peur que tu me rejette et que je n'aurais pas supporté de rester loin de toi
-Oh je vois

Albus passe tendrement sa main dans les cheveux blond. Les deux jeunes hommes restèrent pendant près de 2h dans cette position avant qu'Albus ne doivent précipitamment rentrer chez lui mais bien sûr non sans un baiser d'au revoir et la promesse de se revoir le lendemain.

Fin Flashback

Ah quand j'y repense mon cœur bat toujours autant la chamade quel magnifique journée surtout que le lendemain on c'est quand même dit que l'on s'aime.

Albus referme son journal en soupirant et fixe la fenêtre d'un air triste jusqu'à ce qu'il sente quelqu'un s'assoir juste derrière lui et que des bras entour sa taille ainsi qu'une bouche impertinente venir déposer de petits baisers dans son cou.

-Qu'est-ce que c'est ?
-Un journal
-Tu écris un journal ?
-Mh oui ca m'aide à vider mon esprit pour ne me concentrer que sur les choses importantes
-Et quelle sont elle c'est choses importantes ?
-Eh bien nos recherche, mon frère, ma sœur et bien entendu toi
-Mh je suis flatté de faire parti de tes choses importantes
-hahaha Gellou tu es d'humeur câline aujourd'hui
-Bien sûr Bubus quand tu es là je ne peux avoir qu'envie de toi
-C'est très romantique tout ça quel belle intention cachée
-Ne sois pas ironiques tu veux quel mal y'a t'il a avoir envie de son petit-copain
-Aucun justement

Albus se retourne pour s'allonger sur le jeune homme derrière lui et l'embrasser à pleine bouche, alors qu'il allait commencer à déboutonner la chemise du blond la porte s'ouvrît sur un Abelforth au cheveux en bataille et qui ne devait pas se trouvé la. Albus se relève en catastrophe pour regarder son frère tandis que Gellert se redresse sur ses coudes fusillant le pauvre brun du regard celui-ci trop paniquer pour le voir a les larmes aux yeux, Albus se précipite sur lui et le prend dans ses bras.

-Abel qu'est-ce qu'il y'a ? Pourquoi tu n'es pas à l'école ?

Abelforth explose en sanglot et s'accroche désespérément à son frère qui lui caresse le dos et lance un regard paniqué au blond. Le brun lui a du mal à ce calmer et bredouille des phrase à peut près compréhensible.

-J'ai fait une bêtise
-Qu'est-ce que tu as fait ?
-J'ai une petite amie
-Oui et Abel ce n'est un problème
-J'ai coucher avec elle
-Ca ca pose plus problème et oh par le caleçon de merlin Abel dit moi que ce n'est pas ce que je pense
-Je suis désolé

Abel explose encore plus en sanglot, Albus lui est carrément entrain de faire de l'hyperventilation et Gellert lui se retrouve au milieu en ne sachant pas ce qui se passe alors il détache les deux frère et les assoit sur le lit en donnant un mouchoir et un verre d'eau au plus jeune tandis qu'il pose ses mains sur les joues du plus vieux et l'oblige à le regarder pour qu'il se calme, une fois cela fait il le regarde tendrement.

-Bon qu'est-ce qu'il a ton frère
-Il a une petite-amie qu'il a mise enceinte
-Oh la gaffe
-Je te le fait pas dire

Albus regarde son frère qui c'est calmer et lui prend la main.

-Abel raconte moi ce qui c'est passé
-Eh bien j'ai commencé à sortir avec une fille l'année dernière et je je voulais pas te le dire avant de savoir que c'était la bonne pour moi et au mois de juin elle a voulu le faire alors je me suis dit pourquoi pas et ici on m'as appelé dans le bureau du directeur donc j'y suis allé et elle était là avec ses parents, ils m'ont dit qu'elle est enceinte et que comme elle ne peut plus avorter elle allait devoir le garder jusqu'à la fin de la grossesse mais qu'ils ne prendrait pas la responsabilité de mettre l'enfant à l'orphelinat et que donc c'est ma responsabilité.
-Attend un peu et pourquoi on m'as pas appelé ?
-Le directeur la fait tu n'as pas reçu la lettre
-Arianna, j'avais vu un hibou mais je savais pas qu'il venait ici
-Albus qu'est-ce que je vais faire ?

Albus soupire et se passe une main dans les cheveux mais dans quel bourbier son frère c'était t'il fourré, Gellert lui serre la main en signe de compassion, puis il soupire et caresse les cheveux de son frère.

-Je m'en occuperais
-Quoi ?
-Je m'en occuperais Abel, ils nous donneront le bébé une fois que la jeune fille aura accouché alors je m'occuperais de lui ou d'elle
-Mais Albus tu as des choses importante à faire et avec Arianna...
-Ne t'inquiète pas Abel je m'en sortirai et puis Gellert sera avec moi n'est-ce pas mon chéri ?
-Oui bien sûr je m'en occuperais avec toi

Abel se remit à pleurer après tout ce n'était encore qu'un petit garçon pour Albus même si il a 15 ans, il prend son frère contre lui et le berce jusqu'à ce qu'il se calme tout en souriant à Gellert qui lui sent déjà les problèmes arriver.

-Elle est enceinte de combien ?
-3 mois
-Bon dans 6 mois nous accueillerons un bébé il va falloir tout aménagé et surtout savoir comment on s'en occupe enfin surtout pour toi Gellert
-M'oui tu as raison
-Abel on va devoir réfléchir à un prénom
-Oh oui bien sur
-Bon maintenant tu vas retourner à l'école et dire à ta copine que nous le garderons d'accord ?
-Oui grand-frère

Abel se lève serre très fort son frère puis s'en va. Albus lui se laisse tomber sur le lit et Gellert vient s'allonger à côté de lui.

-Al tu es sûr de ce que tu fait ?
-Oui...par contre tu pourrais mettre tes recherches de côté ?
-Ca ne me plait pas mais bon c'est pour toi alors oui je veux bien
-Oh merci mon amour je t'aime
-Oh moi aussi je t'aime

Gellert l'embrasse tendrement et ils finissent par s'endormir fatiguée par les émotions qu'ils venaient de vivre.

Le journal d'une romance Où les histoires vivent. Découvrez maintenant