Le journal d'une romance

Chapitre 8

18 Mars 1907

Mon cher journal je t'ai retrouvé en fouillant dans mes vielles affaires, que de souvenir que de revivre ce qu'il c'est passé pendant cette année 1899, oh si tu savais tout ce qu'il c'est passé depuis, j'ai maintenant 24 ans bientôt 25 en juillet, je suis professeur de métamorphose à Poudlard, je vis toujours dans mon ancienne maison avec Abelforth et Arianna qui peut maintenant utiliser la magie normalement. Abelforth a finalement eu sa fille Lisa qui a maintenant 7 ans une petite blonde aux yeux vert adorable et très manipulatrice. Malheureusement depuis le 30 Décembre 1899 Gellert n'est pas revenu et la rumeur court qu'un mage noir est apparu au Nord de l'Europe, j'ai un mauvais pressentiment comme si quelque chose de grave va ce passer, j'ai aussi reçu une lettre de Gellert dernièrement je n'ai pas encore osé l'ouvrir.

Flashback

Albus parcoure les couloirs d'un pas rapide en direction de ses appartements où il finit par s'enfermer en tenant serrer contre lui une lettre où est simplement marqué « pour Albus ». Il se retrouve alors assit sur un fauteuil la lettre posée sur la table basse, cette écriture il la reconnaîtrai entre mille c'est celle de Gellert mais pourquoi après tout ce temps lui avoir écrit après lui avoir promis de revenir le plus rapidement possible et sans avoir tenu sa promesse, sans même le tenir au courant de ce qu'il ce passait dans sa vie alors pourquoi aujourd'hui et dire qu'il c'était enfin résigné à ne plus attendre Gellert et d'enfin passer à autre chose enfin plutôt essayé. La cheminé décide de s'actionner à ce moment et Abelforth en sort celui-ci a bien grandit ses cheveux brun sont attaché en queue de cheval basse, il a un très léger début de barde contrairement à Albus qui lui n'as pas changé d'apparence depuis ses 18 ans à part ses cheveux roux qui sont un peu plus long. Abelforth s'assied à côté de son frère et pose une main sur son épaule.

-Albus
-Abel elle vient de lui
-C'est une bonne nouvelle non ?
-Pourquoi ?
-Peut-être que tu lui manque
-Mais je m'étais enfin décidé à l'oublier et avancé
-Albus après tout ce temps ?
-A jamais
-Comment peux-tu aimer à jamais un homme qui t'as fait temps souffrir
-Je ne sais pas comment l'expliquer c'est Gellert que veux-tu que je te dise
-Al...
-Abel...j'ai peur de l'ouvrir
-Alors ne l'ouvre pas
-Mais si c'est important
-Alors ouvre la
-Non !
-Bon sang Al décide toi non d'une sangsue
-Oh pour l'amour de Merlin Abel j'ai peur de ce que je vais lire et si ce qui est écrit confirme les rumeurs à propos du mage noir et si c'est lui
-Tu à si peu confiance en lui
-Depuis qu'il est parti je ne sais plus si je dois garder confiance en lui
-Aaah Al tu ne changeras jamais
-Qu'est-ce que c'est censé vouloir dire ?
-Rien, bon sinon j'étais venu pour une occasion particulière
-Ah oui laquelle ?
-Eh bien dans 1 semaine c'est l'anniversaire d'Arianna elle va avoir 21 ans et je me disais qu'on pourrais lui faire une petite fête surprise
-Oui bien sûr pourquoi pas
-Génial je vais organisé ça alors tu te charge du repas ?
-Oui absolument
-Ok je vais y aller alors Adeline doit m'amener Lisa
-Vous ne vous êtes toujours pas remit ensemble
-Non elle a toujours peur de ses parents, je désespère Al
-Je comprend courage Abel

Abelforth se lève et serre son frère dans ses bras avant de ce diriger vers la cheminée ou il disparais, Albus soupir se prend le visage entre les mains et se laisse tomber sur le côté en fusillant la lettre du regard entre ses doigts

-Quand suis-je devenu si pathétique c'est ta faute Gellert

Fin du Flashback

Albus vient tout juste de finir un cours et il tourne en rond dans son bureau, jetant fréquemment des regard hostile à la lettre posé sur son bureau, ça fait 1 semaine, 1 fichu semaine quel est arrivé ce soir c'est la fête surprise d'Arianna et Albus ne ce sent pas de gâché la fête de sa sœur si les nouvelles ne sont pas bonne.

-Bon sang je suis un gryffondor un peu de courage Albus

Il s'avance d'un pas déterminé vers son bureau prenant la lettre entre ses mains et l'ouvre il souffle un bon coup et alors que ses yeux parcours la lettre son visage pâli de plus en plus ce n'est pas possible c'est tout simplement impossible.

Mon Albus adoré,
Je sais que cela fait 7 longues année que je suis parti et que je n'ai pas eu le courage de t'écrire. Sache Albus que je ne reviendrais pas avant longtemps car les rumeurs qui court sur un certain mage noir son vrai et je suis désolé mais il s'agit de moi comme tu t'en es sûrement douter après tout tu es intelligent, pardonne moi mon amour ma faiblesse de ne pas avoir voulu t'impliquer dans ce qui sera une révolution des plus barbare car je sais que même si je commence à avoir de nombreux partisans, il y'en a tout autant qui voudront m'arrêter et que ça ne ce fera pas sans la perte d'innocents. Avant que tu protestes et essaye de me localiser sache que je ne m'arrêterai pas ou peut-être que si cela dépendra de toi si tu as envie de m'arrêter ou non. Dans tout les cas Albus je t'aime et je continuerai de t'aimer jusqu'à la fin de ma vie.
Bien à toi
Ton Gellert

Albus s'effondre sur sont bureau en larmes sans prévenir il frappe son bureau et se relève en séchant ses larmes.

-Non je ne le laisserai pas faire des victimes innocentes, il ne deviendra pas un mage noir en puissance je le ramènerai quoi qu'il m'en coûte.