Prologue

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31 Août 1899

Cher journal, j'arrive pas à croire que je fais ça. Je m'appelle Albus Dumbledore, j'ai 18 ans, je mesure 1m75, j'ai des cheveux roux ondulé jusqu'en dessous des épaules, j'ai les yeux bleu, j'ai un visage fin et légèrement féminin, je suis mince et pas très musclé et contre l'avis de ma mère je me suis percé l'oreille gauche ou j'y ai accroché un joli saphir. Depuis 2 mois ma vie a changé du tout au tout. A la fin du mois de Juin je recevais mon diplôme et les honneurs pour avoir brillamment terminé mes études à Poudlard, j'étais destiné à faire de grande choses et voilà que le 4 juillet alors que mon frère était chez un ami et que moi j'étais chez celui que je peux appeler mon meilleur ami Elphias Doge et que nous étions entrain de planifier notre tour du monde, une lettre est arrivé et tout mes espoirs se sont brisés.

Flashback

Albus est assis sur le lit en compagnie d'Elphias, des parchemin éparpillés, des cartes, des plumes, des livres, ils sont entrain de rire quand un hibou frappe à la fenêtre, Elphias se lève et l'ouvre, le hibou s'introduit et se dirige vers Albus, ce dernier décroche la lettre et le hibou s'en va. Quant il vit de qui provient la lettre une sueur froide coule le long de son dos.

-Albus de qui c'est ?
-Le ministère de la magie.

Albus ouvre fébrilement la lettre, quand il en découvre le contenu il la lâche et se laisse tomber en arrière un bras recouvrant ses yeux et ses long cheveux roux éparpillé autour de lui, Elphias s'approche doucement et s'assoit sur le lit en posant sa main sur la cuisse du rouquin.

-Al qu'est-ce qui ce passe ?
-Ma mère est morte...accidentellement tuée par ma sœur lors d'une crise.
-Oh Al je suis désolé
-Abel...est chez un ami...il n'est parti que quelque jour...et ça a suffit.

Elphias pose un regard triste sur son ami et s'allonge la tête poser sur le torse du roux.

-Tu n'es pas triste n'est-ce pas.
-Non je suis juste en colère.
-Contre ta sœur ?
-Non contre ma mère pour ne pas avoir fait plus attention a Arianna.
-Tu vas devoir repartir ?
-Oui, je dois rentrer et puis je dois aller chercher Abel, il n'est sûrement pas au courant.
-Ca veut dire qu'on ne fera pas notre tour du monde.
-Je suis désolé El
-Ne sois pas désolé Al

Le brun se relève lentement et se lève du lit, Albus le suit et fait sa valise d'un coup de baguette puis se rend en compagnie d'Elphias a l'entrée.

-Tu devrais partir sans moi El tu en a tellement envie
-Al je ne peux pas partir sans toi
-S'il te plaît El, tu me ramènera des souvenirs
-D'accord d'accord mais la prochaine fois tu viens avec moi
-D'accord je viendrais

Albus sourit à son ami et transplane chez l'ami de son frère, il toque à la porte et une grande et belle femme ou cheveux noir de jais et au yeux noir, ouvre la porte et lui sourit.

-Bonjour jeune homme c'est pour ?
-Je suis Albus Dumbledore madame je viens chercher mon frère Abelforth.
-Oui bien sûr entre je vais le prévenir
-Je vous remercie

Albus entre et se dirige vers le salon où il s'assied en posant sa valise, son frère arrive quelque minutes plus tard et le regarde surpris.

-Albus qu'est-ce que tu fais la ?
-Abel assied toi s'il te plaît.
-Albus qu'est-ce qui se passe c'est Arianna ?
-Non, c'est maman...Arianna a fait une crise et l'a accidentellement tuée.
-Quoi non non c'est pas vrai tu mens !

Abelforth s'effondre à terre et son frère mal grès sa colère, se met à genoux et le prend contre lui.

-Il faut qu'on rentre Abel
-Oui il faut qu'on rentre

Albus prend les affaires de son frère, s'excuse auprès de la dame et de son fils et transplane chez lui, une fois devant leur maison le brun se précipite à l'intérieur tandis que le roux lui traîne les pieds et finit par rentrer, sa sœur est la assise dans le canapé les yeux dans le vide tandis que son frère la serre contre lui, elle tourne le regard vers lui et sourit, Albus lui rend un sourire forcé puis va poser la valise de son frère dans sa chambre pour ensuite se diriger dans la sienne et se laisser tomber sur sont lit en regardant le plafond de ses yeux bleus perçant.

Fin du Flashback

Au final me voilà à charge de deux enfants alors que mon avenir était déjà tout tracé, mais heureusement mon calvaire c'est un peu adoucit le jour où je l'ai rencontré, mon égal, mon ami et surtout mon amant Gellert Grindelwald.

Le journal d'une romance Où les histoires vivent. Découvrez maintenant