-Calme-toi, Violette. Tu ne vas quand même pas réveiller le village pour si peu
Violette jeta un regard noir vers lui. Puis, recula d'un pas
-Comment veux-tu que je me calme, je viens d'apprendre que ma fille attend un enfant. Pourquoi tu ne m'as rien dit cria elle de douleur. Apres tout, vous êtes pareils, cet homme a detruit ma pauvre petite
-Arrête de la couver, Viviana n'est plus un enfant. Mais calme-toi sinon je te donne une fesée
-Oh toi!!Je te hais encore plus et..
Elle ne reussit pas sa phrase, d'un pas fut près d'elle et entoura les hanches de Violette de ses mains et la fire taire d'un baiser. Violette essaya de le repousser, il ne cilla pas prolongea leurs etreintes d'un gemissement. Toujours timide,elle baissa sa garde enroula ses mains contre son cou
-Je ne devrais pas, tu ne peux pas..
-Chut, nous allons tout regler mais calme-toi ma chérie
-Maman....décidemment, je te retrouve toujours dans des situations de cajolerie pouffa Viviana d'un rire
Violette s'arrache de l'etreinte de François pour tourner les yeux en direction de sa fille. Elle crut défaillir devant le visage triste de Viviana. Comment avait elle pu rester loin de sa fille? Quelle genre de mère etait-elle pour avoir bannir sa fille de sa vie?
-Maman, pardonne-moi murmure Viviana. J'aurais du t'écouter, si seulement je t'avais ecouté
-Pas un pas de plus, ne t'approche pas de moi, jeune fille
L'air manquait à Viviana, elle sentit une douleur vive irradier son ventre perdit l'equilibre.Elle eut le temps de sentir les mains de son père sur ses hanches puis ce fit le vide
Ses yeux la brulaient tant elle avait pleuré, elle toucha sa tempe et comprit qu'elle était dans sa chambre.-À cause de ta langue de vipère, notre fille a eu un malaise explosa la voix de son père.
-Que crois tu? J'etais seulement choquée de sa situation, tu crois que ça m'amuse de voir ma fille dans ses états
Viviana sourit devant les repliques de sa mère et fit toujours semblant de dormir
-J'ai reçu une lettre de France.La fuite d'Eric Roosevelt était bien justifier,son père avait eu un malaise à peine qu'il a posé les pieds sous le sol français que son père a rendu l'âme. Tu sous-estimais ce jeune garçon, il n'est pas comme ton soi disant fiancé
-Justin n'est pas homme à se retracter
-Maman reussit à dire la blanche. J'ai soif..
Aussitot dit, Violette attrape la carafe d'eau, prit un verre sur la table pour le remplir. Elle souleva le dos de la jeune femme pour mieux l'abreuvoir.
Viviana sourit devant tant d'attention et prit tendrement la main de sa mère-Tes cheveux ont perdu leurs éclats, depuis quand tu te negliges. Tu n'as rien pris de toute la journée, comment veux-tu que ton enfant grandisse, si tu refuses de manger gronda elle l'air joyeuse
-Mais...
-Pas de mais qui tienne, jeune fille.Regarde-moi, ne me dit pas de te pardonner, car tu étais amoureuse. Je peux te comprendre et tu as entendu ton père, il devait quitter la ville pour une bonne cause
-Et voilá,je t'ai preparé une bonne soupe.Ne fais pas la ronchotte ma fille
-Grand-mère!!!
Elle essaya de se relever,la voix de son père l'interrompit dans sa tentative
-J'ai horreur de la soupe,ça me donne envie de vomir.Arrête de me couver,j'ai depassé l'âge
-Mon Dieu,encore les hormones,si je calcule bien tu dois être dans les trois mois de grossesse et tu es pâle comme un linge.Allez mange,tu es encore pire que ta mère
Viviana reussit à sourire et accepte de prendre une bouchée.Elle vit le regard courroucé de son père en direction de sa mère ce qui redonna un sourire joyeux à son visage.Sa grand_mère comprit sa pensée cligna des yeux puis éclate de rire
_Qu'est-ce qui vous arrire s'enerve Violette.Ce n'est pas du tout ce que vous croyez
-Tu fais la maligne madame la dure à cuir
-J'en ai assez de voir ta tête,je rentre chez moi.On se reparle Viviana.Cette fois on aura une très sérieuse discussion
-Je te raccompagne ajouta François
Viviana prit son courage à deux mains pour prendre son équilibre.Ses pas l'amenaient à la fênetre de sa chambre.Elle tira une mèche de ses cheveux pour l'enrouler entre ses mains
-Ta mère disait vrai,tes cheveux sont tous enmelés dit sa grand-mère en prenant sa main et la fit asseoir sur une chaise longue de sa chambre
-Pas la peine grand-mère
-Eh,ne contredit pas ta grand-mère menace-elle mimique et brossa ses cheveux blonds soyeux pour le redonner d'éclat.Tu as une très belle chambre ma chérie
La chambre etait peinte en bleu richement decorés avec des bois massif.Un cadre représentait son père en grand plan et la chambre etait situé sur une belle vue.De loin,elle pouvait voir la mer et le coucher de soleil
-Oui,père a insisté pour que je la partage ,j'ai tant voulu retrouver mon père.Il a tant souffert,toi aussi tu l'as pardonné
-Ton père m'a donné une petite fille comme toi,je n'ai jamais gardé une rancoeur à l'encontre de François.Par contre ta mère refuse de voir la realité en face
-Crois tu qu'elle va toujours épouser Justin?
Martha hésite et fit un chignon dans les cheveux blonds dorés de sa petite fille
-Je ne sais pas,seulement si ton père veut la faire revenir à la raison.Mais où est passé ta barette en or
Viviana toucha son ventre à peine visible et poussa un cri
-Je l'ai jeté dans le jardin de père,c'etait juste pour évacuer ma rage
-La pauvre barrette n'etait pas fautif,il te manque n'est-ce pas?
-Non repondit-elle à la hâte.
-Viviana cria Marie toute chamboulée,j'ai decouvert une chose qui peut interrompre ton mariage et ce n'est pas beau à entendre
-Mariage dis-tu repète Martha l'air etonné.Quelle est cette histoire de mariage?Qui va épouser qui?
VOUS LISEZ
La Blanche et Le Libertin Terminer
Historical FictionElle est la fille d'un violeur Il est un voyageur français Issue d'un viol, la mère de Viviana voue une haine féroce á la peau blanche.Mais lorsque des troupes français rentrent dans le village.La mère se panique.Alors elle interdit sa fille de ne p...