chapitre 16

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Avec Gray a la cafétéria.
- Natsu! C'est notre seul jour de la semaine ensemble, tu pourrais au moins faire SEMBLANT d'être content!
- Gray tu serais venu hier que il aurait été bien mieux. happy répondu
- Toi, j'aimerais bien savoir d'où tu viens mais ça peut attendre. Raconte moi plutôt ce qui le déprime comme ça.
A côté de moi, Happy relatait ce qu'il savait. Mais j'avais modifié l'histoire devant lui, et Gray semblait me comprendre, car il me jeta un coup d'œil très compréhensible ; ce que Happy lui racontait ne me ressemblait pas.

Je soupire et me lève.
- Je rentre.
- Pas question! protesta Gray, je t'emmène avec moi, peu importe où je vais.
Happy déploya ses ailes et nous suivit.
Gray me "trimballait" dans les rues et chaque personne nous regardais bizarrement. Je les saluait avec un sourire forcé pour atténuer la honte... Mais non eux ils te fixent. Raaah mais ils m'énervait !
Il m'a traîné dans un immeuble. Je savais pas où de toute façon j'étais trop occupé a faire en sorte a ce que l'on ne voie pas mon ventre ( parceque Gray me tirait sur le T shirt.)
Il m'assit et je me rendis seulement compte maintenant que j'étais dans l'appartement de ... Lisanna?
- Alors... Il te plaît mon cadeau?
Je me retourne et trouve Lisanna , froide, derrière moi. On aurait dis qu'elle allait exploser tellement ses traits était contractés.
- Lisanna. Salut! Heu, ça va?
J'étais moi même un peu déconcentré. C'est vrai que Lisanna était venue me voir alors que j'étais mal et m'as offert Happy. Mais je ne lui ai pas donné de nouvelles. Enfin je n'ai pas pris la peine.
- Natsu, me dis Gray, je te retrouve chez toi .
Pas la peine de le saluer ou de lui dire au revoir. C'est a cause de lui que je suis obligé de faire face à ça. Mais évidemment, j'y aurais été confronté a un moment où a un autre.
- Lisanna je suis désolé... Vraiment... Laisse moi t'expli_
- M'expliquer ? Oh mais non, c'est très simple : tu as fait genre que tu m'aimais. Et après tu m'as abandonné. Alors que j'ai tout fait pour que tu aille mieux. Comme dirait mon grand frère, tu n'es pas un homme.

Je la regardais intensément. Je n'ai pas d'argument. Je n'ai pas fait ce qu'il fallait. Et je ne l'ai pas affronter. J'aime cette inconnue. Mais je ne peux pas l'aimer. Je peux , mais je ne peux pas . C'est comme si mon cœur le voulait et ma tête refusait.

- Je suis un lâche.
- Bien. Très bien. Retrouve moi demain au resto, on essayera de régler tout ça et de au moin s'accepter.
- et on peut pas le faire maintenant.
- Figure toi que tu n'est pas seul. J'ai d'autres choses a faire que penser a toi.

Et elle m'as poussé dehors et a claqué la porte.
Je suis égoïste. Je suis obligé de faire mal aux autres. Car comme je suis malheureux, je veux que les autres le soit aussi.
Comme le dirai son grand frère ;
Je ne suis pas un homme . Je suis un lâche.

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