Trahis

Chapitre 15

Flash back

Fenrir ne chercha pas plus d'explication auprès de ça femme il transplana rapidement et se retrouva devant la porte du manoir Malfoy.
Il renifla l'aire cherchant le danger mais rien à part une odeur de pheromone des plus entêtante il passa la porte et bizarrement il ne fut pas accueilli par le maître des lieux ni par un elfe.

Les sens aux aguet près à agir si il le fallait Fenrir se dirigea vers la salle de balle la première pièce du manoir mais il n'y avais personne alors il laissa cette délicieuse odeur parcourir ces sens et avança jusqu'au salon...

A peine fut il dans la pièce qu'il entend un gémissement non de douleur mais de plaisir, son regard accrocha la scène qui se dérouler devant lui.
Severus Snape dans le plus simple appareil le sexe droit comme un I  emprisonner dans la bouche d'un Lucius Malfoy qui le pompée vigoureusement.
Figer voilà comment était Fenrir, son beau fils était entrain de souffrir non pas parce que son âme sœur était en danger mais parce que celui ci prenais du plaisir avec un autre qui ne l'avais toujours pas remarquer . La colère l'envahi il sortie sa baguette envoya lucius voler de l'autre côté de la pièce, figea severus alors que celui ci ouvrai les yeux sous la perte de son plaisir. Sans un mot Fenrir s'approcha de lucius il lui effaça la mémoire veillant à ne pas trop ene ffacer et se dirigea vers severus qu'il attrapa par le bras et le fit sortir du manoir pour transplaner et se retrouver devant chez sa femme.

Fin du flash back

Severus était figer du moins son corps était figer il suiver des yeux ce qu'il se passer si il avais pu blanchir un peu plus il serai sûrement devenu blême en arrivant devant la maison de son ex âme sœur... Il se demanda ce qu'il faisait la quand le lien lui revient à l'esprit si deux être était séparer et que meme si le lien était rompu avais ou serait sur le point de tromper l'autre la magie enverrai des vagues de douleur à la personne trahi qui pourrai durer des heures entière il essaya d'avaler sa saliver quand il vit arriver Bella sa mort était proche.

D'abord soulager de savoir severus en sécurité Bella dechanta bien vite quand elle le vit en tenu d'adam pas besoin d'explication elle savais ce qu'il c'était passer elle sortie sa baguette la pointa vers lui et lui envoya un doloris ça colère la submergea elle senti ça magie passer dans chacune de ses veines puis sortir de son corps par vague, elle se dirigea vers severus et lui envoya des décharge de douleur.

Severus ne pouvais bouger pour essayer de faire passer la douleur il était Prisonnier de son propre corps, la douleur se fit de plus en plus forte

Le ciel s'obscurcie le tonnerre gronda Bella les cheveux plus échevelé que jamais  et les yeux noir charbon était concentré sur severus elle sentais sa magie qui voulais tuer oui à cet instant elle voulais tuer de sang froid severus mais une douleur plus grande que ça vengeance traversa son coeur elle se calma légèrement pendant un instant elle avais oublier que Altair mourrai si elle tuer severus. Elle se deplaca vers lui

Bella: je vais te faire souffrir severus chuchote t'elle tellement souffrir que tu va me supplier de tuer mais je ne le ferai pas non non non mon fils aussi incroyable soit il t'aime toujours et je ne le ferai pas souffrir...

Elle se retrouva vers son mari et d'un geste de la main lui fit signe d'emmener severus loin d'elle. Elle retourna auprès de son fils qui était entrain de rêver

Attention Lemon:

Harry était entrain de rêver de sa première fois avec severus il venait de sorti du cours de potion qui comme à son habitude ne c'était pas du tout bien passer il était énerver et en avais marre plus les jours passer et plus son attirance envers son professeur grandisse devenant une obsession et harry ne pouvais plus continuer comme ça , sachant que severus irez directement dans ces appartements après son cours il pris son courage de gryffondor et alla jusqu'à la porte des appartement de son professeur. Heureusement pour lui severus venais d'arriver et aller seulement passer la porte, Harry poussa Snape en appuyant sa main sur son torse pale et presque glabre, tout en refermant la porte avec son autre main libre, sans quitter une seule seconde son professeur des yeux.