Réflexion. (page 4)

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PDV Ryusaki :

-Je suis venu te rendre visite. Et aussi m'inscrire dans ton lycée.

Light un peu gêné répondit :

-C'est étrange, pourquoi venir dans un lycée en cours d'années ? Alors que tu ne connais personnes ?
-Si tu veux je peux partir ? Et puis, je te connais, toi, c'est déjà bien.

Light sentait ces joue devenir rose et détourna le regard. Quand à Ryusaki, il se demanda pourquoi Light avait des chaussures. Car lui, n'en mettait jamais.

-Pourquoi tu mets des chaussures Light?
-Et bien parce que on est obligé de les porté en lieux public. Question de politesse.
-ho, je vois dans ce cas je vais devoir en porté aussi ?
-Oui tu vas devoir en portés cela attirera moins l'attention sur toi.

Un peu de jalousie pouvait s'entendre dans les derniers mots de sa phrase, et Ryusaki encore une fois le remarqua mais cet fois-ci il ne dit rien. Il se contenta de sourire en regardant Light comme si, il le voyait pour la première fois.

*Ellipse de la journée*

-C'est super le lycée !
-Oui c'est vrai, bon on rentre ?
-Bien sûr, je vais faire pareil.

PDV Light :

Au fond de moi j'avais hâte d'être 17h30. Mais une partie de moi angoissais car je ne savais pas s' il allait aimé ma surprise. Vers 17h24 Ryusaki toqua à la porte. Je sorti et redécouvrit le magnifique visage de Ryusaki.

PDV Ryusaki :

Quand il ouvrit la porte se fut comme dans un rêve: il avait un charisme étonnement, plus séduisant que d'ordinaire. Ce charme lui allait si bien que je pouvais le regardé pendant des heures. Malheureusement il interrompit mes belles pensées, en disant :

-Ryusaki, j'ai une surprise pour toi ! Dit-il avec les joues qui commençaient à virées au rose.

-A bon ? J'ai hâte de la voir !dis-je en essayant de paraître normal, mais je sentais battre mon coeur plus vite que l'a normale.

-Oui j'ai hâte de te l'a montré ! J'espère qu'elle va te plaire.

Sur ces mots j'avais envie de lui dire que rien que le voir me faisait plaisir mais je devait rester professionnel. Alors je me contentais de dire :

-Je suis sur qu'elle me plaira.
-Aller viens !! Sinon ça va fermer !

Il me prena par la main et on couru dans une direction que je ne reconnaissais pas.

PDV Light :

Je ne sais pas ce qui m'a pris de lui prendre la main mais il n'a pas enlever l'a sienne donc j'ai supposé que ça ne le dérangeait pas. Il me posa la question suivante :

-On va où ?
-Tu verras Ryusaki.
-Appel moi Ryuga.

A ce moment là, il me regarda et me demanda s'il pouvait avoir confiance en moi, je lui répondu ceci :

-Bien sur ! Pourquoi cette question ? Il s'arrêta de courir, et me regarda droit dans les yeux.

-Parc'qu'on peut pas faire confiance à tout le monde, et je ne sais pas quoi penser de toi.

Il avait vu juste, je me demande ce qu'il fait comme métier. Mais il peut me faire confiance ; pour ça en tout cas. S'il a deviner ça, cela veut dire qu'il lit sur mon visage comme dans un livre ouvert, je dois donc faire plus attention a mon expression. Je décide donc d'improviser.

-Oui c'est vrai, mais moi tu peux me faire confiance. Dis-je avec de la conviction dans la voix.

-Bien je saurais, alors je vais te dire mon métier. Je suis... Il n'a pas eu le temps de finir ça phrase, car au même moment je le tira par la main et lui dit :

-Ça peut attendre tu sais ? J'aimerais que tu vois m'a surprise avant. Je lui faisait les yeux du chat botté. Et il n'a pas pu résister.

PDV Ryusaki :

Alors là, il m'a scotché ! Lui qui voulait tant savoir ce que je faisais dans la vie, il me dit que ça peut attendre ! C'est qu'il a très envie que je vienne avec lui pour sa surprise. Rien qu'en pensant à courir dans les rues avec lui, fait battre mon coeur à la chamade. Raaah ! Il faut que j'arrête de pensé comme ça, pense comme un détective voyons L, reprend toi ! Ne tombe pas amoureux d'un mec que tu connaît ni d'Adam ni d'Ève !
Je finis par dire :

-Bien allons à t'a surprise et ensuite, on parlera.
-Merci. Dit-il avec ce ton que je n'avait pas encore entendu dans ça voix, un ton un peu murmurer, on dirais, qu'il stress !
Sans le vouloir, je posa ma main sur son épaule et lui dis :

-Ne stress pas, ça va, d'accord ?
-Oui, c'est juste que je ne sort presque jamais de chez moi avec mes amis, du coup ça me fait bizarre.

Je me rendit compte que j'étais devenu rouge tomate, je retira donc m'a main afin récupérer ma couleur cadavre habituelle. Et on répartis, cette fois, en marchant tranquillement, l'un à côté de l'autre.

¡Fin !

J'ai dépassé les huits cent quarante mots!!!!
Je suis trop contente, moi qui était en panne d'inspiration !

Mon voisin, mon ennemi à jamais mais mon amour impossible. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant