Chapitre 16

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Cela dois faire au moins trois jours que je me balance d'avant en arrière toujours à la même place. J'ai de plus en plus faim, mon corps cris de plus en plus qu'il a sommeil. Mais je ne dormirai pas. J'ai peur de mourir pour de bon. Moi je n'avais rien demandé, juste être avec Lucas. Je n'en peux plu, j'ai l'impression que tous mes membres pèsent trois cents kilos.

***

Trois heures plus tard j'entendis plus de bruits que d'habitude dans le couloir. Alors que celui-ci est resté très calme pendant ces trois jours. Je m'approche doucement de la fenêtre, soulève doucement les rabans et vois des hommes, environ cinq dans le couloir. Tous en habillé de bleu. Ils regardent tous les noms des pieces. Ils s'arrêtent devant la mienne. Je recule instinctivement et la porte s'ouvre brusquement. Je recule jusqu'à heurté la table où j'étais allongé quelques heures plu tôt. L'homme entre est leur dit: c'est elle.

Il m'empoigne violemment par le bras et me tire hors de la piece. Tout le monde m'attend en cercle. Ils me regardent tous comme si j'étais la 8ē merveille du monde. Puis l'homme qui m'a sorti me pose un manteau sur mes épaules. Puis il dépose sa main au bas de mon dos et me pousse vers la sortie. En arrivant dehors mes yeux se plissent faute au soleil. Puis le temps qu'ils ne s'habituent ou me pousse dans un 4x4. L'homme s'assoie à coté de moi. Il dit au conducteur de démarrer et le temps commence à passé. Et je m'endors sur l'épaule de mon "sauveur" à force de regarder le paysage défilé.

Je me reveille, nous sommes toujours dans la voiture.

-Bonjour princesse, me susurre-t-il à l'oreille.

Je sursaute et me colle contre la fenetre. Nous roulons pendant plusieurs heures encore. Avant que la voiture s'arrête dans une station essence.

-J'ai besoin de sortir et d'aller au toilette, dis-je.

-Attends je vais voir si le champ et libre pour que tu puisses sortir, me répond l'autre idiot qui m'a fait peur tout à l'heure.

Il revient quelque instants plus tard, il m'ouvre la porte et me pousse dans un coin sombre de la station. Il me tourne le dos. Alors je me releva doucement, ramassa un gros bâton, le brandit au dessus de sa tête et frappa du plus fort sur je pus. Il s'effondra a mes pieds. je récupéra son pistolet et parti en courant. Je trébuchais dans les herbes hautes mais me relevai.
J'avancais a present plus lentement quand entendis un craquement sur ma droite. et je me retourna. Tremblante. je reculais un peu quand tout a coup mon prenom retentit dans toute la foret. Et mes craquement de branche pres de moi continuais alors je cria de toute mes forces: "JE SUIS LA VENEZ ME CHERCHER S'IL VOUS PLAIT !"

Quelques minutes plus tards je me retrouvais dans la voiture. Tous les regards sur moi et je vois l'homme que j'ai assomé avec de la glasse sur la tete. Il me lance un regard noir, très noir. Ils ne poussèrent pas de questions et on reprit la route.

Suis-je vraiment morte?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant