A Tear On The Piano...

Chapitre 2 : La pluie et les oiseaux

PDV Seokjin :

Ce matin-là une pluie torrentielle c'est faite annoncer vers le début d'après-midi, je n'y prêtais guère attention trop occupé à terminer mon petit-déjeuner perdu dans mes pensées lointaines avec le son de la télé en fond, la météorologue qui présentait justement la météo me semble être une stagiaire qui faisait ses preuves pour la première fois avec son chemisier rose et sa jupe longue noire ainsi que sa veste blanche.
Tout semble penser à un style bien correct pour un premier jour de travail, mais inutile de m'attarder là-dessus après avoir fini mon bol de céréales je le mis dans le lavabo puis me dirigea vers ma chambre pour m'habiller de quelque chose d'à peu près sobre, neutre, élégant mets du moins assez à l'aise pour avoir la possibilité d'assouplir mes mouvements de poignet pour ne pas me gêner.

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J'arrive à l'Académie, il y avait déjà pas mal de monde, une foule se précipita devant l'entrée comme des furies pour regarder si leurs nom sont sur les fiches d'inscription pour la réussite à l'examen d'entrée certains ou certaines pleuraient peut-être de réussite d'autres pleuraient sans doute car ils avaient échoués,
Moi je m'en fiche je sais déjà que je suis inscrit, sans me vanter je passe tout le temps au la main ses test ou examens ridicule au quotidien pour réviser quelques fois si le coeur m'en dit.

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Étant donné que je n'avais pas vraiment envie d'aller en salle d'arithmétiques je me dirigea vers une salle qui était "rien" qu'à moi,
Cette salle est spécial personne d'autre que moi n'a le droit d'y rentrer même pas les dames de ménage je refuse catégoriquement que quelqu'un est le double des clés j'ai une autorisation exceptionnelle d'avoir cette salle je l'ai acheté cette salle où repose quotidiennement un piano, mon piano, il est le deuxième que je possède celui que je préfère, celui qui a le meilleur son, celui avec qui je peux vivre et explorer mes chansons se trouve dans ma chambre.

Le piano qui se trouve dans ma chambre et une édition de 1950 bois d'ébène et carrure d'Ivoire il est magnifique, somptueux même je ne serai décrire ce piano,
vous devez sans doute penser que je suis fou à décrire un piano comme si c'était une personne, mais ce piano ainsi que celui qui est devant moi même si celui qui est juste dans cette salle a un son inférieurement bon que celui qui se trouve dans ma chambre,
Je les décris certes comme des personne car pour moi ces de piano sont ma seule façon d'être c'est comme les gens qui ont besoin de parler à un psychiatre pour extérioriser moi il me suffit de composer, chanter, écrire, jouer, pour me sentir libre et détacher de ce monde rempli de mauvaise idée et de gens sans aucune ouverture d'esprit,
Jouer du piano pour moi équivaut effacer toute trace de vie et de présence autour de moi c'est comme si rien d'autre que le piano et moi ainsi que le son de ma mélodie existait dans ce monde.

Voilà ce que je ressens, et encore c'est très peu dire.

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J'ai passé près de 2 heures à jouer plusieurs chansons existante ou juste des bribes et morceaux de musique déjà entendu quelque part par ci ou par la.

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Je quitta l'Académie toujours dans le plus grand des silences qui pèse autour de moi comme autour de mon âme endormie.

Je me rendis sans être pressée à une représentation dans un théâtre connu de Séoul, je mis mon masque avant de rentrer puis je me dirigeait lentement vers ma loge où je me vêtus
Seulement d'une chemise blanche ainsi que d'un jean noir assez moulant.

Mon masque toujours sur le nez je m'avançait sur la scène éclairée de plusieurs néons et là je vis par dégoût le piano qui m'attendait, il est laid au regard et doit être aussi laid à entendre, donc à moi d'arranger ça.

La voix du représentant du théâtre fis calmement son entrée en spectacle pour ainsi dire :

- Mes Dames, Mes Demoiselles , Messieurs ?

Je vous présente quelq'un a ne plus présenter !

Le pianiste anonyme Jin !

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Le son de ce piano était un véritable tremplin vers l'otite pour moi !

J'ai jouer la balade du chien de Chopin pour essayer de marier le son du piano avec cette mélodie complexe.

Ils mon applaudies comme d'habitude.

Je rentra avec lassitude dans ma loge sans pour autant enlever mon masque puis d'un pas sans énergie quelconque je me dirigea vers ma table basse et mon petit sofa.

Il me suffit de baisser les yeux pour faire face à une lettre bien placer au centre de la table basse.

À suivre...