C'était la voix de Maria. Après ce qu'elle venait de faire, elle osai venir me voir. C'est dégueulasse. J'ouvris la porte. Et la regarda avec mes yeux tout mouillés.-Pourquoi tu lui as dit ?
-Il est venu me voire et m'as demandé ce que je pensais de toi, je n'allais pas lui mentir, c'est mon ami, je ne veux que son bien.
-Tu m'avais promis de garder ça pour toi !
-Peut importe, il ne c'est rien passé à la soirée entre toi et Raf, et ça on le sait tous.
-Mais si tu ne lui avais rien dit, personne n'aurait connu l'existence de ma maladie. Mais maintenant tout le lycée le sait.
-Mais sans en apprendre l'existence, on aurait jamais sut la vrai raison du fait que tu te sois énervé en écoutant parler Rafaël. Tu est attiré par lui et pas par Gabi, il faut que tu le comprennes.
Moi, plus attiré par Rafaël ? Absolument pas, quand je vois Gabriel j'ai comme des papillons dans le ventre. Impossible.
-Ça n'a rien à voir! J'arrivais à me contrôlé jusqu'à maintenant.
La sonnerie retentit, je devais aller en physique. Maria et moi n'avons même pas eu le temps de finir notre conversation que j'étais déjà sorti des toilettes, pour aller en direction de mon casier.
La tête dans mon cassier, j'entends quelqu'un m'interpeller. C'est Gabriel. Il ne manquait plus que ça.
-Maya, il faut qu'on discute.
-Il faut que j'aille en cours là, pas maintenant.
-Juste 2 minutes, s'il te plaît.
Je ferme mon cassier et avance en direction de ma salle, sans adresser un mot à Gabriel.
-Il faut vraiment qu'on s'explique.
Je me retourne face à lui.
-Alors passe chez moi ce soir vers 20h00, on pourra parler sans empiéter sur mon cour.
-Je serais là.
L'après midi fut très long. Je redoutais d'arriver jusqu'au soir. Mais la sonnerie annocant la fin des cours retentit. J'embarqua toutes mes affaires dans mon sac, et rejoignit mon cassier pour y récupérer ma veste.
Sur le chemin de chez moi, je m'imaginai parler avec Gabriel. Tout lui expliquer, pas le fait que moi en Rafaël nous connaissons, non, mais le fait qu'il ne se soit rien passé à la fête, que je m'en fou de ses ex et qu'il ne m'attire absolument pas contrairement à lui. Mais je ne suis pas sûr d'y arriver au moment même.
Arrivée chez moi, j'étais fatigué, exténué. Je pris juste un bout de pain et un carré de chocolat pour un minimum me remplir l'estomac. Je mangea mon en-cas sur le chemin de la salle de bain.
Je n'avais qu'une seul envie, prendre un bain. J'ouvris le robinet, pour laisser l'eau chaude couler au fond de la baignoire. En attendant, je m'observa longuement dans le miroir. J'avais peur, peur de comment allait finir cette histoire. Si Rafaël et moi allions continué de nous déchiré ainsi jusqu'à que nous n'aillons plus rien à cracher sur l'autre. Cela m'effraie vraiment.
Je repris vite mes esprits juste attend pour que la baignoire ne déborde pas. Enleva mes vêtements un part un et les déposa sur le bord du lavabo. M'attacha les cheveux en un chignon. Et m'installa paisiblement dans l'eau. Je ferma les yeux. J'étais bien. Le temps passa. Je ne me souciais plus de ce qui allait arriver après. J'étais si détendu que je m'étais même pas rendu compte qu'il était déjà 19h45. Gabriel allait arriver dans 15min et j'étais encore entrain de faire trempette.
Je me précipita de sortir me sécher, mais l'humidité me fit glisser et mon front s'éclata contre la porte du placard. J'entendis ma mère toquer à la porte.
-Maya, ça va ? Tu t'es fais mal ? Ouvre moi s'il te plaît.
- Euhh...Attend 30 secondes maman.
Je me remis légèrement de cette cascade, attrapa un linge et m'enroula dedans. Ouvris la porte et regarda ma mère d'un air étourdie.
-Ohhlala, t'as le front tout rouge ! Qu'est-ce que tu as fait ?
-Mais j'ai glissé, et je me suis pris le placard, j'ai vraiment mal, je vais avoir un énorme bleu maman..
-Viens là.
Elle ouvre le placard à pharmacie, attrape un tube de crème, dévisse le bouchon et m'en dispose délicatement sur le front.
-Aïe!
-Tu préfère avoir une bosse ? De toute façon tu auras un bleu!
-Bon faut que j'aille m'habiller!
-Fait attention, laisse bien imprégner la crème!
Je me dirigea plus méticuleusement vers ma chambre et enfila mon jogging gris et un débardeur noir. Je me démêla les cheveux et m'hydrata la peau.
Ça sonne à la porte. Je me dirige rapidement pour être la première à la porte et éviter les présentations entre ma mère et Gab. Arrivée dans l'entrée, j'attrape une veste, ouvre la porte et me retrouve fasse à Gabriel. Je referme la porte derrière moi et lui dit;
-Vient on s'assoit sur le banc.
Il observe mon front déjà bleuit.
-Qu'est-ce que t'as fait ?
-J'ai glissé et je me suis cognée, rien de très grave.
Je mis installe face à lui en me mettant en tailleur. Il me dit;
-Je comprend tu sais, que tu sois attiré par Rafaël, c'est un beau mec, mais pourquoi t'as pas mis les choses au clair dès le début entre toi et moi?
-Il n'y a absolument rien entre lui et moi, faut que tu le comprennes, il ne sait rien passé à la fête et il ne se passera jamais rien!
-Maya, t'as rien besoin de nier avec moi. Je ne t'en veux pas de ne pas partager mes sentiments pour toi.
Ses sentiments pour moi? Ohlala!
Il continue.-Tu ne sais sûrement plus où tu en ai avec ta maladie, et ça doit être très compliqué pour toi de comprendre ce que tu ressens. Mais je t'en supplie ne fais plus semblant avec moi.
-Je n'ai jamais fais semblant avec toi Gabriel !
J'eu à peine le temps de finir ma phrase que la porte d'entrée s'ouvrît. Ma mère y sortie.
-Oh bonjour, euh...Maya le dîner est prêt, tu dis au revoir à ton ami s'il te plaît.
-J'arrive.
Elle referma la porte. Gabriel me dit;
-Bon je vais y aller alors, mais crois moi, je te souhaite tout le bonheur du monde, avec Rafaël peut-être, vraiment !
Je n'eu même pas le temps de contester qu'il m'avait déjà embrassé sur la joue et s'en était allé en direction de sa voiture.
Nan, mais ne pars pas, tu ne comprends rien, tu ne fais pas l'effort de comprendre, il m'énerve! Mais je l'aime trop, c'est fou!
Je rentra manger le repas qu'avait préparé ma mère. Alla faire mes devoirs, et peut de temps après, alla me coucher.
Cette journée était horrible et étrange à la fois, je ne sais plus où donner de la tête.
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Teen FictionJ'adorais partir en vacances. Pas pour les paysages ou les changements de décors, mais parce que là bas, peut importe se que tu fais ou se que tu dis ce n'est pas grave. Tu ne reverras pas c'est personnes, enfin, c'est se que je croyais. Après mes...