OS YAOI

Royale •ereri•

PARIS, 1850

Bonjour à tous et à toutes je m'présente, Eren Jaeger jeune orphelin de 18 ans vivant avec le petit peuple.

Je suis ce qu'on appelle un voleur ou un prolétaire, moi je pense que je suis simplement un être humain comme les autres qui est obligé de voler et arnaquer pour vivre.

Ouais, en gros mon travail c'est de voler et mon salaire c'est ce que j'ai voler.

Enfin bref aujourd'hui est une grande journée.

Pourquoi ?

C'est la découverte du prince Ackerman 5ème du nom, personne ne l'as jamais vu au paravant, et sa mère la reine Kuchel a décidé que le visage son fils serait révélé au grand jour aujourd'hui.

Il y a un monde pas possible près de Versailles, ça sera plus simple pour voler.

Je décide de me promener un coup dans les rue de Paris, sur le chemin je croise Armin un ami d'enfance.

« Salut champi !

- Salut le suicidaire !, je rigole face à ce surnom qui me vient d'un autre amis que je traite moi même de chevale.

- Dis moi, où vas-tu comme ça ?

- Je vais aller voir mon grand-père..., Armin a perdu son grand père y'a deux ans.

- Tu lui passera le bonjours de ma part hien !, j'adorais son grand père sa mort m'a pas mal affecté aussi.

- J'y manquerais pas ! »

Je le regarde partir jusqu'à ce qu'il disparaisse au coin d'une rue.

Je marche encore un peu, je passe dans l'une des innombrables ruelles de la ville.

Je connais un paquet de personnes, surtout des voleurs comme moi.

Je vois Ymir et Sacha entrain de discuté, Sacha lui montre qu'elle a encore volée des pomme de terre.

« Salut !, je fais une bise aux deux filles.

- Tu vas bien ?, demande Sacha.

- Plutôt et vous ?, Ymir soupir et me dis tristement.

- Je ne peux plus voir Christa...

- Pourquoi ça ?

- Son père a appris qu'elle fréquentais de "la mauvaise graine" alors je te laisse imaginer sa réaction.

- Fais chier pour une fois que quelqu'un de haut ne nous prenais pas pour des moins que rien, Christa est une fille de noble avec qui on a fais connaissance, elle et Ymir sont raide dingue l'un de l'autre.

- À qui l'dis-tu... et toi des nouvelles de ton beau noiraud ?, elle me sourit en me donnant un coup de coude.

- On devrait se voir aujourd'hui, elle me fais un regard plient de sous-entendu, et non on va pas faire ça.

- Rooh j'rigole ! Mais tu devrais profité imagine que du jour au lendemain il disparaisse comme moi avec Christa tu t'en mordras les doigts crois moi.

- Je sais... »

Elle n'as pas tords, le "noiraud" comme elle l'a appelé c'est Livaï, je l'es rencontrer il y a 2 ans je ne l'avais j'aimais vue au paravant.