John marchait dans la rue aux côtés de son nouvel ami.
Il faisait la conversation pour deux et n'était même pas sûr que Sherlock l'écoutait au moins une once...-Shit... fit-il soudain. John avait remarqué qu'il n'utilisait pas ce genre de vocabulaire, alors il s'inquiéta encore plus lorsqu'il cacha sa bouche pour parler. John, suis-moi...
- Hein ? Protesta John, en chuchotant aussi. Sherlock Holmes, je ne bougerais pas temps que tu ne m'auras pas expliquer ce qui se passe ! Parce que j'en ai marre de parler à un mur ! le blond commença à accélérer sa marche "un pocco crescendo" pour rattraper son ami.
Inconsciemment, il le suivait. Car au fond, même si le brun ne lui expliquait pas, il l'aurait quand même suivit.
- Je crains devoir t'y forcer Watson.
Il n'avait pas envie de perdre John pour lui exposer son problème, et il n'avait pas envie de le perdre car il se ferait tabasser dans une rue. Alors il l'attrapa la main et commença à courir dans la ville de Londres.
John avait eu le temps de donner un petit coup d'œil derrière et avait remarqué avec effroi que c'était des hommes habillés de noir semblable à ceux dans Matrix.
Sherlock le trimbala sans ralentir son allure à travers les ruelles de Londres. John commençait à paniquer, ils avaient faillit se faire écraser par des voiture plus de cinq fois, bousculant un couple de vieille personne dans les escaliers... Mais surtout, ils se faisaient poursuivre par des hommes, adultes et qui avait l'air de tout sauf non-armé et enragé.
- John, part !
- Qu-quoi ? répondit le plus petit, essoufflé. Pas même une chance.
Le blond s'accrocha à sa main, la serrant encore plus. Son cœur, boosté par l'amour, les entrainements de rugby et l'adrénaline lui permettait de continuer. Malgré le danger de mort, ou il ne savait quoi, il souriait. La sensation d'adrénaline était si addictive, et la main de Sherlock dans la sienne...
Les deux adolescents courraient jusqu'à ne plus sentir leurs jambes. Ils courraient à un rythme égale, un moment d'euphorie les laissa croire s'être débarrassés du danger. Bientôt même, John dépassa Sherlock en course, ce qui lui apporta, sans le cacher, une satisfaction personnelle. Mais cela ne s'avéra pas être une bonne idée, car il ne savait quelle direction prendre.
- À...À gauche ! Lui cria son ami hors-d'haleine.
- Merde Sherlock, ... c'est, c'est un cul-de-sac ! Qu'est...-ce qu'on f-fait maintenant ?
- Attend... Lui répondit le brun. Il appuya ses bras sur ses genoux.
- SHERLOCK !! fit blond sur les nerfs, touts la joie et la satisfaction retombant d'un coup.
- JOHN STOP !!
Sherlock, d'un côté il réfléchissait, John le voyait au tremblement de ses paupières (qui ressemblait beaucoup à des spasmes ce qui était plutôt terrifiant) et d'un autre côté, il tentait de reprendre son souffle. Mais sa condition physique ne suivait pas sa capacité mentale pour une fois.
"Alors comme ça le génialissime Sherlock à ses limites ?" Ne pu s'empêcher de penser John.
John n'avait pas de quoi se vanter. Sans lui, ils ne pourraient pas s'en sortir. Et puis, il était plus petit, peut-être un peu plus costaud mais n'avait pas les capacités intellectuelles de son ami.
Son souffle était presque rétablit mais l'adrénaline le quittait peu à peu et la fatigue et la terreur le gagnait. Il commençait à ce rendre conte que si Sherlock ne trouvait pas de solution, ils allaient se retrouver dans une situation plutôt déconcertante, même très déconcertante. Avec de sérieuse conséquences.- Qui, qui sont-ils ?
- Qui ?
- Sherlock, tu te fou de moi !
- Ah! Eux !! Ce sont... des gens qui me veulent quelque chose. fit-il, les pensées ailleurs.
- Je sais ça !
- Pas le temps de t'expliquer, ni l'envie d'ailleurs. Tu sais te battre ?
- Heu... Non..?
- Reste derrière alors.
Sherlock avait lâché la main de John depuis longtemps mais pour John, c'était comme si elle était toujours là.
Bien sûr qu'il avait peur d'être dans se coin sombre sans pouvoir appelé la police car tous cela lui semblait être pour une raison pas très net et il n'avait pas envi que son ami ai un denier souvenir de lui comme un traître.
Il lui semblait tellement impossible que quelque chose puisse lui arriver, à eux, en fait à ces côtés, John se sentait invulnérable, fort et confiant... Et... Il espérait avoir raison.
Les hommes en noirs semblable à ceux de Matrix arrivèrent peu après l'autre duo.
"Du deux contre deux très inégale." songea John emplit de stress et d'anxiété.
Surtout les regards que les adversaires leur jetaient.
Des promesses de mort...
Sherlock se mit en garde sur ses deux jambes, de même pour les autres.
Le premier fonça dans le brun qui l'esquiva.
Le deuxième lui fit un coup de pied et Sherlock l'attrapa pour le repousser, mais l'homme réatterit sur ses jambes.
L'autre tenta une attaque dans le dos de Sherlock. Tout se passait si vite que John n'avait pas même le temps de s'impliquer, choqué parce ce qu'il voyait.
- Attention ! Lui cria John qui commençait à immerger de son choque contemplatif.
En fait c'était pire, car, comme tout réflexe humain, Sherlock se retourna vers lui et se prit le coup en plein dans le ventre.
Tombé à la renverse, les hommes en noirs commencèrent à le ruer de coups.
John, qui enfin avait récupéré ses esprits, se dit qu'il fallait agir. Malgré ses muscles développés de rugby (il ne faut pas se mentir), il savait qu'il ne pouvait rien contre ces deux hommes experts en combat. Il vit alors une poubelle conteneurs, et la jeta avec toute l'énergie de désespoir sur celui qui était assit sur Sherlock pour mieux le battre (et peut-être même pire).
Le brun qui avait les cheveux en sang esquiva l'homme assommé, et prit la peine, pendant une milliseconde de lui sourire. Le ventre de John se tortilla d'une façon étrangement spécifique, mais agréable.
Le second tenta de fuir mais une voiture noire semblable à celle d'où étaient sortit ces hommes lui barra la route, enfin plutôt le propulsa...
Une vitre s'abaissa.
- Montez !
- Vous êtes qui ? cria John par terre prenant le pouls de son ami qui était comateux. Il le tapait légèrement sur les joues, rassuré qu'il avait un pouls, mais inquiet tout de même.
- C'est... Tenta d'articuler le brun en ouvrant difficilement ses yeux. Ses pupilles roulaient vers le haut, comme s'il tentait de faire un 360.
John faisait sans doute trop confiance à celui-ci, mais vu qu'il semblait le connaître, et ne pas le craindre, John le prit dans ses bras et le mis dans la voiture.
A peine la porte fermée, la voiture démarra...
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Tout commence par un cours de maths - Teenlock
Fiksi PenggemarJohn arrive en retard à un cours de mathématique lorsqu'il s'aperçoit que la place à ses côtés, usuellement vide, est occupée par un nouvel élève. Qui aurait pu prédire tout ce qui allait s'en découler ? Je reprend donc les personnages de John Watso...