Deuxième critique
Après avoir eut la méthode.
J'ai eut 15/20 parce que la première partie "subjective" n'était pas assez précise comme j'ai pas aimé le livre. J'ai pas assez expliquer ce qui ne me plaisait pas exactement.
Ce livre ne m'as pas spécialement plut. En fait, deux éléments m'ont empêché de bien apprécier ce livre à sa juste valeur : tout d'abord dans la forme, le lettrage m'a donné des difficultés à lire. Les mots fusionnaient et les lettres se confondaient, sans parler que parfois je ne comprenais même pas les phrases. Le deuxième élément est l'humour contenus dans le livre ou plus précisément l'humour de Luz et ses collègues dans l'ateliers de « Charlie ». C'était certainement de vrai conversation mais à aucun moment cela ne m'as fait rire. C'est vraiment un humour que personnellement je trouve odieux. Il y a quoi de drôle à parler de cul ou dessiner des bites à longueur de journée ! et encore plus pour des enfants ! Un passage qui m'as fortement dessus et pour lequel j'ai juste eut envie de fermer le livre est lors de la séance de dédicace ou un des collègues de Luz a dessiné une « schtroumfette » a un enfant. Je sais que Charlie hebdo est un journal satirique mais de là à faire ça ! Tout cela pour dire que ces deux éléments m'ont gâché la lecture car l'histoire racontée par Luz, en soi, et avec le recul d'avoir tout lu est intéressante. Elle raconte sa vie pour le journal et les coulisses de celui-ci mais surtout le livre raconte la passion de Luz pour le dessin. le passage ou Cabu apprends a Luz a dessiner dans sa poche est vraiment bien. C'est aussi un hommage à tous ceux qui sont mort dans les attentats. Et pour cela je trouve que le livre a quand même quelque chose de touchant et de mélancolique.
Ce livre a été publié pour la première fois le 1 novembre 2018 aux éditions Futuropolis. Il relate, au cours d'une nuit d'insomnie, les souvenirs que Luz se remémore de sa vie à Charlie hebdo, sa vie avant les attentats. On y voit donc sa rencontre avec son mentor Cabu, ses reportages, ses amis. Si ce livre a pu être écrit c'est parce que Luz était en retard le 7 janvier 2015. Ce retard a sauvé sa vie littéralement bien qu'après ça, Luz a arrêté le dessin de presse et presque 4 ans après Luz sort le livre Indélébiles.
CommeLuz le dit sur la 4eme de couverture, l'adjectif indélébiles, éponyme du titresignifiant « qui ne peut pas être effacé », fait ici références nonseulement aux traces d'encre sur ses doigts mais aussi aux souvenirs, auxrires, au journal et au dessin.
Celivre reste tout de même dans l'esprit caricatural de Charlie Hebdo. Desdessins souvent très simple avec perspective mais sans ombre. Bien qu'il y aquelques dessins plus détaillé sur les visages de ses amis et de son mentor ouquand il veut vraiment caricaturer un personnage.
L'autreexception est lorsque l'on se trouve dans le « présent ». Latechnique est très différente : On y retrouve une impression beaucoup plus« pinceau » ou « gros feutre » avec des taches plus que des traits pour lesformes. Un effet un peu brouillard. On y retrouve également du noir en majoritéautour de lui, voir du bleu, couleur froide représentant la nuit et peut-êtremême son sentiment de tristesse et de mélancolie. Lui en silhouette blanche ouun peu bleu, toujours en teintes froides. Mais deux objets sont représentésavec une couleur chaude : le rouge. Ses deux objets sont un cadeau deCharb et la plume qu'il utilise à la fin. Deux objets matériels de son passé àCharlie Hebdo. Pour ce qui est de la composition des cases, il fait ressortirune certaine liberté en ne dessinant pas de cadre, laissant ses dessins libressur la page et parfois se mélanger aux autres sauf pour quelques raresoccasion. Néanmoins, le rythme du livre, pages par pages, est très varié. Ilpeut y avoir des pages très aérienne avec peu de dialogue et d'autres trèsremplis, voir bazardeuse avec beaucoup d'échanges.
Denombreuse fois dans le livre Luz a confondues deux bulles, venant de deuxpersonnages différents mais en les reliant aux deux personnages avec deuxqueues différents. Ça peut porter un peu à confusion au début du livre maiscela crée aussi un effets d'enchainement rapide entre les dialogues. Etant unrécit autobiographique le langage utilisé est familier, que tout le mondeutilise à l'oral. Ce qui donne un effet de réalité. Autre éléments pouvantporter à confusion est la temporalité des anecdotes qui ne sont pas toutes dansun ordre chronologique ce qui peut être dérangeant cependant, pour remédier àcette confusion, à la fin du livres les anecdotes utilisées sont restituées enannexe avec la page dans le livre mais aussi leur situation chronologique, end'autre thermes leur année ou même parfois leur moi de« réalisation ». Cependant en pleine lecture il y a aussi deséléments pour nous rattaché à la temporalité par exemple lors des élections detel présidant, tel manif, tel guerre etc. ces éléments ont donc aussi un cotéhistorique. Tout le livre se fait sous le point de vue de Luz, aussi bien dansle « présent » que dans le « passé » et ces souvenir nousmontre son quotidien. Le lecteur peut alors entrer dans les coulisses dujournal, apprendre sur les personnes qui y travaillaient et sur le journal enlui-même. Apprendre des choses pas forcement visible pour les simples lecteursde Charlie Hebdo.
01.11.2019
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strip and text of ABD
Acakici, tout mes travaux fait pour mon école : croquis, essaie de techniques, dessins, planche, webtoon, texte, critique de BD. je confine tout la dedans et j'arrête d'encombrer mon artbook qui lui sera pour mes dessins a moi. Voici mes matières DE = d...