Les frères Hudson : Gary

Chapitre 20 Naya

( Je vous conseille cette chanson, perso elle m'inspire pour la partie hot tout comme Tank )

Ça fait environ 3 heures que Gary est entré et qu'il tourne en rond en marmonnant des choses qu'il est le seul a comprendre.
Au bout d'une heure à le regarder faire, j'ai laissée tomber .
J'imagine bien que la rencontre n'a pas du bien se passer, ça ne m'étonne pas.
Lors du procès qui a eu lieu en huit clos pour mon plus grand bonheur, il s'est montré particulièrement odieux et cruel.
Le juge n'a pas réussi à masquer ses pensées le concernant, il s'est montré très prévenant lorsque ce fût à mon tour de prendre la parole.

Joe et Mary ont montrés un peu de remords et bien que concernant Mary ça ne changeait rien pour moi j'ai tout de même remerciée Joe.
Son témoignage nous a beaucoup aidé.

Le sperme ne prouvait pas grand chose, son avocat aurait pu dire que nous avions eu un rapport sexuel consentie assez musclé d'où la présence de bleu ect... Mais grâce à Joe, tout était clair.
Et le comportement de Leeroy n'a fait que le desservir.

Qu'il ait pu dire ou faire quelque chose qui ait fait sortir Gary de ses gonds ne me surprend pas.

Je l'ai laissé ruminer le temps de préparer le repas, au moment d'éteindre les plaques 2 bras m'enlacent, ahhh bah il était temps.

- Désolé bébé susurre-t-il a mon oreille.

Le grand retour de Gary-mouille-ma culotte.

- Pas grave, je comprends repondis-je.

Il bécote mon oreille et une de ses mains remonte jusqu'à mon sein qu'il empoigne.

- Si, c'est grave, je vais devoir me faire pardonner.

Oh, si il tient qui suis je pour refuser ?

- Tu comptes t'y prendre comment ? Demandais-je.

- Je vais commencer par te déshabiller, une fois entièrement nu, je vais lécher et dévorer ton si délicieux minou avant de m'enfoncer en toi dit-il.

Bordel ! J'ai chaud, je brûle.

- Assez parlé reprend-il.

Il me retourne, passe ses mains sur mes cuisses et fait remonter ma robe.

Débarrassée de cet obstacle, il fait glisser lentement mon tanga.
Il me soulève et m'allonge sur le plan de travail, mes jambes écartées, les pieds posés sur ses épaules, il se lèche les lèvres avant de fondre sur moi.

Délicatement, il écarte mes lèvres humides, incline la tête et donne un long coup de langue.
Je me tortille sous les assauts de sa langue, je  gémis à mesure qu'il me rend folle en me léchant lentement.
Sa langue vient régulièrement me taquiner, feignant de me pénétrer pour toujours se dérober.

C’est une putain de torture et un plaisir dingue.

- Arrête de faire ton connard râlais-je.

Il ricane, sa bouche si près de mon sexe envoit des vibrations qui me font crier.

Il me pénètre d'un doigt par surprise.

Ses vas et viens sont rapide, je rire sur ses cheveux attendant ma libération avec impatience.
J'en peux plus, j'ai besoin de jouir.

Il me déguste pendant que son doigt s'active et là... j'explose.
Je me brise en de millions de particules de plaisir en poussant un cri désincarné.

Il me lape encore avant de relâcher mes jambes pantelantes.

Les yeux clos, je n'ai pas le temps de reprendre mon souffle que d'un coup de rein il me pénètre m'envoyant une décharge.
Je ne l'ai même pas vu se déshabiller.

Mes seins bougent en rythme de ses coups de reins, je suis déjà proche de l'orgasme.

Mes gémissements s'évanouissent quand il prend possession de mes lèvres.
Je suis incapable de lui rendre son baiser, mes jambes tiennent difficilement autour de sa taille.

Je hurle en jouissant une seconde fois, la mâchoire crispée il n'arrête pas.

Il passe mes jambes autour de son cou et me pilonne avec force et brutalité.
C'est tellement bon.

Un nouvel orgasme me surprend, mes hurlements de jouissance sont couvert par le long râle qu'il pousse en se vidant en moi.

Il donne encore de léger coup avant de s'effondrer sur ma poitrine .

Le souffle court, nos peaux marquées par la sueur, nous nous abandonnons pleinement à l'allégresse.