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{ Bonne lecture 💙}





Anubis : tu sais ça ne valais pas la peine de créé tout un problème sur mon visage brûlé.

Moi : tu t'entends parlé la ? Comment ça ça ne valais pas la peine, tu es rentré en prison pour nous couvrir il aurait dû prendre soin de toi. Je comprends pour quoi il nous interdit de te voir depuis l'an dernier.

Il soupir ensuite il se retourne en mettant ses deux mains dans ses poches.

Moi : qui a fait ça ?

Anubis : quelques prisonniers.

Moi : j'en suis sur c'est les hommes de Kamel.

Anubis : je ne sais pas et je souhaite ne plus avoir aucun lien avec votre travail j'ai eu ma dose.

Moi : je te promet Anubis qu'on te cassera plus la tête avec nos affaires.

Anubis : y compris mon surnom, désormais je suis plus le dieu de la mort, j'ai pris beaucoup d'âme et je paye le prix aujourd'hui.

Moi :...

Anubis : j'ai trop cru que je peux prendre la vie de n'importe qui je me suis lâché dans mon délire et Allah m'a bien punis en me fesant rappeler que je ne suis qu'un être humain je n'ai pas le droit d'enlever la vie d'une personne.

Je reste abasourdi devant ces paroles il a vraiment changé je n'ai jamais imaginé qu'un jour Anubis aura de la sagesse dans ces mots.

Je ne pourrais pas décrire mon sentiment envers se changement qui contredit  notre nature à nous, se repentir est comme impossible chez nous. Oui on prie, on jeûne, on fait pleins de trucs bien sans que personne ne le sache mais est-ce que tout ces bons actes feront le poids devant nos mauvais actes ?

La réponse est claire sans aucun doute c'est l'enfer qui va nous avalé . Je pose la main sur l'épaule d'Anubis.

Moi : tu sais on peut s'évadé comme à l'ancienne.

Il se retourne vers moi ensuite il me sourit ça fait plaisir de le voir ainsi.

Anubis : tu te cache encore dans ce chalet.

Moi : on change pas nos habitudes nous.

On rentre dans le salon on monte dans l'étage où se trouve les chambres je me dirige vers la chambre de mon père tout les regards me percent.

Mon père est allongé sur son lit ma mère a ces côtés.

Mère : une autre crise cardiaque et ton père finira sur une chaise roulante.

Je regarde mon père le cœur en miette je m'en veux a mort, j'aime mon père c'est mon héros je ne voulais en aucun cas le mettre dans cet état je sors de sa chambre suivie de Anubis

Anubis : il va s'en remettre il est fort tu le connais.

Je prends un verre d'eau que je bois d'une trêve je frappe fortement le plan de travail j'ai tout foiré absolument tout, ça ne doit pas être comme ça.

 || C O B R A ||Où les histoires vivent. Découvrez maintenant