{ Bonne lecture 🥀}
" Elle a choisi l'argent"
Cette phrase que mon père a prononcé me torture l'esprit depuis trois mois, trois mois depuis qu'elle a disparu aucune trace d'elle comme si la terre la avaler. Trois mois depuis que je suis redevenu plus brutal que je l'étais plus inhumain plus cruel.
Je regarde les bébé serpent qui se trouve dans cette cage en verre ma place a toujours était ici avec des animaux qui me comprennent et ma place restera toujours ici.
Je sors de cette pièce pour atterrir dans la mienne je rentre dans la salle de bain pour laver mon visage qui a changé je suis devenu barbue avec un peu de cerne qui se voit.
Mon regard se pose sur les cicatrice qui se trouve sur mon corps soudainement mon téléphone sonne je décroche.
Conversation téléphonique
Sultan : il est avec nous.
Moi : j'arrive
Fin de la conversation téléphonique.
Je mets mon t-shirt ensuite je descend dans le salon j'allais sortir mais Layale m'intrompe.
Layale : revient tôt la famille de ta fiancé vont venir dîner avec nous.
Je sors en claquant la porte je monte dans ma voiture, ce n'est que quelques minutes j'arrive à ma destination. J'ouvre la porte de cette petite maison je trouve Ibrahim attaché à une chaise au milieu du salon j'affiche un grand sourire.
Je me dirige vers lui je lui enlève le bandage de ses yeux, il me regarde étonné.
Moi : j'espère tu es prêt Ibrahim.
Ibrahim : je vais te tué.
Je souris je commence à rigoler il n'est pas prêt à ce que je vais lui faire vivre, les démons me chuchote dans mon oreille des truc que tu ne peux pas imaginer Ibrahim.
[•••]
Je lui ai fait exactement ce qu'il m'a fait mais ce n'est pas tout je lui réserve une belle surprise.
Je le détache je l'attrape par les cheveux pour qu'il me regarde.
Moi : on va partir chez ton papa d'accord !
Je le jette par terre il tombe à quatre pattes exactement cette position que je veux, je lui met un collier de chien et la laisse.
Moi : aller maintenant on marche vers la voiture.
Ibrahim : fils de pute.
Je lui donne un coup de pied dans le dos il tombe sur le ventre je tire la laisse.
Moi : aller toutou on doit partir chez ton papa.
Il se relève et se met à marcher jusqu'à l'intérieur je le fais monter dans la voiture et ferme la porte.
Shihab m'attrape pour m'empêcher de monter.