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{ Bonne lecture }

« Bonne année 🖤  »

••• : Leyla Chérie tu vas bien, pour quoi tu crie ??

Je fais rapprocher mon serpent vers son visage mouillé de ses larmes il fait sortir sa langue et léche une de ces perles salé, ces pleures se doublent.
Je souris ensuite je lui dis en chuchotant.

Moi : si tu dis quoi que ce soit je le laisse te mordre.

Leyla : nan maman c'est rien, je regarde un film d'horreur.

Sa mère : d'accord tarde pas trop.

Ces putain de cheveux mouillent mon pull, je la pousse vers son lit.

Moi : dépêche toi de t'habiller on a pas trop de temps.

Leyla : jamais !

J'allais jeté mon serpent sur elle mais elle me stop et elle prend des vêtements pour s'habiller.

Leyla: retourne toi.

Moi : tu crois vraiment que ça m'intéresse de voir ton corps ? Habille toi avant que je perde mon calme !

Elle s'habille je regarde vers la fenêtre j'aperçois mes frères, ils regardent vers ma direction j'hoche ma tête signe de réussite, je tourne mon doigt sans exécuter ils tournent autour de la villa pour voir si y'a pas de danger.

La fenêtre reflète légèrement Leyla qui essaie de me frapper avec un vase, je me retourne rapidement j'attrape sa main je lui enleve le vase et le pose doucement pour éviter le bruit.

Moi : tu es courageuse pour une femme !

Je prends mon arme et le pose sur la tempe de Leyla, je regarde vers la fenêtre Shihab et Sultan sont revenu, ils me font signe de descendre les lieux sont vide, je hoche la tête je sors aussitôt d'ici.

[•••]

Il frappe fortement la table il se lève brutalement, son teint blanc devient rouge ses yeux bleus clair deviennent foncé il rougit tel un lion.

Père : MAIS C'EST DE LA FOLLIE !

Le sentiment de honte fait place soudainement sur moi, je suis toujours le fils exemplaire dans les yeux de mon père malgré mon comportement de fou jamais il ne m'a humilié de la sorte sur un plan que j'ai fais.

Père : tu viens de déclencher une guerre son fin !

Je ferme fermement mes poignées, il fait les cents pas en citant toutes les conséquences que mon act irréfléchi causera. Je me lève de ma chaise doucement.

Moi : je ne laisserai aucun individu marché sur ma fierté, moi Shahin Osman personne me battra quitte à mener une guerre sans fin !

J'affronte ses yeux pleines de colère je continue ce que j'ai à dire puisque il ne m'interompe pas.

Moi : que le meilleur gagne. Je leur rendrais pas leur fille avant qu'ils nous rendent ce qui nous appartient

 || C O B R A ||Où les histoires vivent. Découvrez maintenant