Chapitre 8

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C'est lundi, 17h30, dans une salle d'entraînement du Mi6.

Q : tu as vraiment le potentiel pour faire partie de l'équipe, Rose.

Rose songe a son père qui ne veut pas qu'elle se mette dans les histoires d'agents secrets...

Q : en plus avec les trois membres talentueux qu'elle comprend, vous ferez une belle équipe tous les 4.

Rose : j'adorerais mais mon père voudra jamais...

Q : merde, je sais...

Abby : Q, où est Luce ?

Q : je l'ai envoyé me chercher quelques dossiers, il va revenir.

Jesse : comment on pourrait convaincre ton père, Rose ?

Q : voilà une bonne question.

Rose : déjà le convaincre que notre adresse est connue des gens qui lui en veulent, et que donc je ne suis pas plus en sécurité là que si je faisais partie de votre brigade...

Q : oui. Les bandits travaillaient pour une organisation qui en veut a ton père. Ils voulaient, en plus de le tuer, l'adresse d'un des ministres pour convaincre ce dernier que le Mi6 doit absolument fusionner avec leur organisation terroriste.

Luce : chaud...

Rose : tu es revenu ?

Luce (la regarde profondément) : oui.

Q prend les papiers.

Q : Merci, Lucien. Et bien je crois que c'est bon...

Rose regarde ses camarades.

Q : Abigail, Jesse, Rose, Lucien, vous pouvez disposer.

Les 4 amis s'en vont vers la sortie.

Rose : je vais essayer de convaincre mon père.

Abby : oh oui, ce serait génial.

Ils se saluent tous.

Luce : je t'accompagne ?

Rose : si tu veux mais pourquoi tout d'un coup ?

Luce : y a déjà des gens qui ont saccager ta maison et qui ont faillit tuer ton père, j'ai pas envie de te laisser seule. Et j'ai envie de te parler.

Rose : alors faisons un détour pour faire durer la conversation, j'habite pas loin d'ici.

Ils marchent vers le quartier de Luce.

Luce : t'es dépressive ?

Rose se tut.

Luce : es-tu dépressive ?

Rose laisse passer un silence.

Rose : comment tu sais ça, Luce ?

Luce : ton dossier était un des papiers que je devais aller chercher, et cet élément y apparaissait.

Rose : ...

Luce : toi aussi tu te sens seule ?

Rose : ...oui... ma mère, en fait, c'est pas vraiment ma mère, c'est une mère porteuse. Et elle m'a élevée. Y a un gouffre incompréhensible entre nous. En plus, quand j'avais 3 ans... je l'ai entendue dire un jour qu'elle n'était pas ma vraie mère. Elle me l'a avoué le jour de mes 15 ans. C'était pour ça qu'elle ne m'aimait pas... J'avais 7 ou 8 ans, je comprenais mieux pourquoi Adele n'était pas très affective... Il y a tellement de questions que je rêve de lui poser... y a pire, mais on ne vit pas les mêmes choses pareil. Je suis faible...

007 X Rose BondOù les histoires vivent. Découvrez maintenant