Wherever , Whenever |Terminée|

•Chapitre 12 •

• Mylène, Rakel et Primaël en média •

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Pdv Rakel

Après une prière matinale, je descends au rez-de-chaussée pour aller dans la cuisine. Dans la cuisine, je trouve une dame nommée Léa: c'est la servante des Thompson. Je l'aide à préparer le petit déjeuner. Primaël est posé dans le salon, il lit un livre tout en me jettant des temps en temps des regards indiscrets...

Primaël, Mylène et Anaëlle se rassemblent dans la salle à manger. Alors que je verse du thé pour Anaëlle aidant ainsi Léa à servir,. Anaëlle m' interrompit :

- Veuillez te joindre à nous, Rakel. Léa va le faire!

- Oh non, je mangerai après.

- Il n'y a pas de non. Allez.. Assieds-toi. Continue Anaëlle.

- D'accord. Accepte -je en prenant place sur la chaise indiquée par elle.

Le petit déjeuner se passe en pleine discussion.
Après avoir enfilé les vêtements d'hier , je sortis de la chambre. Dans le couloir, je croise Mylène.

- Pourquoi portes-tu les vêtements d'hier?

- Je n'ai rien d'autre sur moi...

- Oh oui, c'est vrai! J'avais complètement oublié ça! S'exclame-t-elle en se tapant le front. Viens ! Continue-t-elle sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit.

Étant dans sa chambre, elle ouvre son immense garde-robe et y sorte des vêtements et me les tende.

- Va porter ça! Il est hors de question que tu portes les vêtements d'hier !

- Non...

- Vas-y ! Clame-t-elle en me poussant vers la salle de bain. Elle ferma la porte derrière elle, tout sourire.

Je soupire. Je ne peux pas riposter de toute façon elle ne m'écoutera pas. J'enleva mes vêtements et enfile les siens.

Après avoir remercié Mylène et salué Anaëlle et Léa, je montai dans la voiture avec Primaël. Le trajet fut silencieux. Arrivés au building du travail, on monte dans l'ascenseur et on se sépara , chacun dans son bureau.

Au bout d'un instant, le téléphone fixe sonne. Je décroche, c'est Primaël qui me recommande dans son bureau. J'entre après son accord.

- Oui, Monsieur?

- Amènez-moi deux cappuccinos , vous-même. Précise-t-il.

- Oui. Souffle-je.

Mais c'est le travail de la secrétaire cela. Je ne peux pas refuser faute d'être renvoyé.

Je lui ramène les cappuccinos recommandés et les posa sur la table.

- Merci. Glisse-t-il en prenant une tasse de cappuccino. Prenez place.

Je m'assois sans protester.
- La deuxième tasse est pour vous, mademoiselle Rubel.

Il but quelques gorgées et je l'imitai.

- Je voulais m'excuser pour hier . Je ne voulais pas vous faire perdre du temps et vous faire tomber dans les marches d'escaliers. Bredouille-t-il d'une voix tendue.

- Mais pourquoi vous semblez mal à l'aise ?

- Disons que je n'ai pas l'habitude de m'excuser auprès de mes employés.

- C'est évident ! Eh bien... J'accepte vos excuses... Mais à une condition.

- Laquelle ? Demande -t-il, les sourcils froncés comme s'il craigne le pire.

- À condition que vous m'amenez ce soir voir ma tante Anaëlle.

- Considérez que c'est déjà fait, mademoiselle.

- Bien, monsieur.
On se sourit mutuellement avant qu'il ne reprenne son sérieux. Son sourire semblait sincère et joyeux...

- Bon.. et j'aimerai qu'il y ait une bonne entente entre nous ainsi on pourra bien travailler ensemble et former une bonne équipe. Déclare-t-il alors que je suis éberluée par ces mots.

- D'accord, monsieur.

- Dernière chose... Amenez-moi les documents non-signés. Vous pouvez disposer.

- Oui, monsieur.

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