Chapitre 26

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Bonjour à toutes et à tous ! Voici le nouveau chapitre! Désolée encore une fois pour l'attente ! N'hésitez pas à voter ça me fait plaisir, et surtout à commenter et laisser vos avis c'est un plaisir pour moi d'y répondre (et c'est un plaisir de les recevoir, c'est tellement encourageant)! Bonne lecture à vous !
Merci beaucoup pour vos retour sur le dernier chapitre, merci d'être encore aussi nombreux après cette longue attente vous êtes tou(te)s adorables ! Full Love !! ❤
PS : I'M BAAAAAAACKKKK ! Et je sors de ma semaine de partiels je suis exténuée...🤧

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-PDV d'Emma-
Un vibrement proche me tire de mon sommeil, il fait encore nuit noire, ça a intérêt d'être urgent pour que Price m'appelle si tôt sur mon téléphone... Je décroche maladroitement dans l'obscurité et plaque mon téléphone contre mon oreille.
- Allô ?
- Bonsoir chérie, prête à revoir tes parents ?
L'accent russe me réveille directement.
- Pardon ?
- Tu sais ma jolie j'ai tout un tas d'informations sur toi... Je peux entre chez toi quand je veux...
Je devine qu'il s'agissait de Gregorovitch ou d'un de ses complices très rapidement.
- Qu'est-ce que tu veux espèce de malade ?
-Oh moi ? Trois fois rien mais il me semble que tu en saches trop... Ce n'est pas bien ça jeune demoiselle tu sais...
- Vous êtes malade.
- Crois-tu ? Je te conseille vite d'aller regarder sous le paillasson ma belle...
Je me redresse et me relève rapidement, je retire une lame du plancher... Sortant une petite boîte noire dans laquelle trône un 9mm que je saisi. Je me lève et pars vers ma porte, l'arme pointée devant moi. Un rire gras sort de sa gorge.
- Oh ma chérie ce pistolet ne te servira à rien.
Je me promis de vérifier chaque recoin de l'appartement rapidement après ça. J'ouvre la porte avec prudence, le pistolet toujours pointé devant. Personne, pas la moindre trace. Je soulève le paillasson, un petit trousseau de clef que je détaille avec des adresses dessus. La mienne, celles de mes anciennes familles, une autre que je ne reconnais pas mais qui est identifiée comme celle d'Ana et plus important encore... celle de Regina.
- Qui sait ce qui pourrait lui être arrivée... Elle n'est pas si bien protéger que ça tu sais...
- Qu'est-ce que vous lui avez fait ?!
- Oh rien, tu veux peut-être l'entendre ?
Mon cœur se serre, priant intérieurement pour que ce ne soit pas vrai.
- Laissez-là, elle ne fait pas partie de cette histoire.
- Oh je te conseille de te dépêcher de te rendre chez elle... Le temps presse ma jolie.
La personne à l'autre bout du fils raccroche le téléphone. Je m'empresse d'enfiler rapidement des vêtements pour me rendre chez ma professeur, je l'appelle en même temps pour m'assurer que tout va bien. Le téléphone sonne mais personne ne réponds, je retente une seconde fois.
-Allez décroche !
Toujours rien, la troisième fois, le téléphone sonne toujours, je ferme la porte à clef m'empressant de descendre les escaliers, toujours pas de nouvelles de Regina. Je tente son téléphone professionnel, pendant ce temps je me dirige vers la voiture et démarre. Toujours pas de réponse, j'abandonne mon téléphone, je serai chez elle dans 10 minutes si tout va bien. Je me dirige vers chez elle a une vitesse bien au-delà de la limite autorisée, les dix minutes qui me séparent de chez elles sont les plus longues de ma vie... Les feux rouges semblent durer une éternité, heureusement à 4 heure du matin, peu de gens sont sur les routes.
Une fois arrivé, je me gare rapidement dans le parking sous-terrain et m'empresse de partir vers l'ascenseur. Après 5 minutes interminables à tenter de l'appeler dans l'ascenseur, les portes s'ouvrent, je me dirige vers sa porte la boule au ventre, je frappe... après une minute sans réponse je sens les larmes me monter aux yeux, je frappe à nouveau, plus fort et plus longtemps. Aucun bruit, je sens une larme roulée le long de ma joue, je frappe contre le mur avant de m'appuyer contre ce dernier. Puis un bruit se fait entendre, une porte qui se déverrouille, puis s'ouvre. Ma professeure m'ouvre à moitié endormie.
- Emma ? Qu'est ce que tu fais ici à une heure pareille ?
Je me tourne vers elle, soulagée, voyant mon état je peux voir les questions fuser dans sa tête.
- Qu'est-ce qui ce passe ?
Sa main a à peine le temps d'effleurer la mienne que je la serre dans mes bras, je me fiche de ce qu'elle peut penser, elle me serre en retour. Je suis à deux doigts de fondre en larmes de soulagement.
- Viens rentre... Explique moi... Tout va bien, je suis là...
Elle sort de mes bras avec difficulté avant de me tirer derrière elle... je remarque qu'elle ne porte qu'un peignoir de soie noire par dessus une chemise blanche beaucoup trop grande qui lui arrive à mi cuisse. Je me sens rougir de l'avoir dérangée si tard...
Je m'apprête à m'asseoir sur son canapé lorsque 3 coups résonnent contre la porte. Elle se retourne s'apprêtant à ouvrir.
- Non ! N'ouvre pas...
Elle me dévisage, voyant la peur sur ce dernier, elle prend rapidement conscience de la situation et s'empresse de sortir son arme d'un des tiroirs... Elle s'approche de la porte à pas de loup. Elle déverrouille lentement la porte, puis appuie lentement contre la poignée avant de l'ouvrir d'un coup pointant le canon du révolver sur l'homme. Le gardien du sous-sol se mit à bégayer sans savoir réellement quoi dire, en un soupir elle baissa son arme.
- Que voulez-vous tous à une heure pareille bon sang ?!
- Désolée... Je... c'est votre voiture.
- Qu'est-ce qu'elle à ma voiture ?!
L'homme la regardait avec de grands yeux ahuris et à la fois complètement désolés.
- Elle vient d'exploser...

Miss Price...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant