Wayland Tome1 [ Drago Malfoy vf ]

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Vendredi 20 Mai 1996 : 1 mois après la fin de la troisième et dernière épreuve.
Ça fait une semaine que moi et Clary on essaye de s'habituer à cette nouvelle vie parmi les moldus. Ou plutôt se réhabituer en ce qui concerne Clary. Elle a tellement de bons souvenirs ici mais également de très traumatisant et je conçois que cela lui prenne du temps de se réhabituer à tout ça et surtout d'arriver à revivre ces souvenirs constamment. Et dire que tout ça est du à mon père, ça me fait mal au coeur de voir que tout ce que la fille que j'aime le plus au monde vis c'est de la faute de la personne grâce à qui je suis né.
Le fait qu'il se pourrait qu'elle soit de la famille de Potter serait un digne retour de karma, le grand Malfoy qui se retrouverait amoureux de la soeur de son pire ennemie, c'est quelque peu cocasse on va dire. Même si le fait de faire parti par alliance de la famille Potter ne m'enchante pas plus que ça, j'arrive malgré tout à me faire une raison c'est si peu subir pour finalement être avec la fille que j'aime, et je sais malheureusement que ça ne sera pas la seule chose. La furie de mon père ne tardera pas à s'abattre sur moi et je le sais.
— Dray tu fou quoi ? On va être en retard !
Clary s'agitait dans tout les sens dans l'appartement alors que j'étais à moitié habillé, ma chemise dans la main, encore assis sur le rebord de notre lit.
— Ne t'inquiète pas on va être à l'heure
— Oui, parce que je m'active et que je fais tout ce que tu es censé faire pendant que monsieur reste dans la lune
Je rigolais et enfilait le reste de mon uniforme scolaire et suivait Clary pour prendre le bus.
Ça parait si anodin vu comme ça et pourtant c'est bien la vie que je vivais depuis une semaine avec Clary, ça me fait encore bizarre de ne pas utiliser la magie au quotidien pour moi qui suit né au coeur d'un cocon magique, d'une famille de sang pure, une des plus connue qui plus est.
Au fond de moi tout ceci me mettait un peu mal à l'aise, me dire que tout ce qui faisait souffrir Clary était de la faute de mon père, venait également à me faire me demander si ma présence ne lui rappelait pas constamment cela et que quelques part je l'empêcherai d'avancer, maintenant ou plus tard. Je sais que l'hypothèse qu'elle soit une Potter, n'est qu'une hypothèse mais je sais aussi que malgré la joie que ça va lui procurer de quelques part trouver un semblant de famille auprès d'Harry, je sais que cette information aura raison de mon petit confort et que je pourrais dire adieu à tout ce que je connais depuis mon enfance, le manoir, la richesse, les privilèges, et mon statue de prince de Serpentard au final, on sait tous, et moi le premier que tout ça existe parce que mon père fait tout ce que je lui demande mais je sais que à partir du moment où Clary sera officiellement une Potter ça sera la goutte d'eau qui fera déborder le vase et qu'il n'y aura pas de retour en arrière.
Il y a quelques année j'aurais clairement jeter en pâture la moindre personne qui aurait menacer de faire sombrer tout ce petit royaume confortable que je m'étais créer, maintenant je pense et je ne vis que pour la personne qui le fera s'effondrer, Claryssa Wayland.
— Drago, magne toi !
Clary le fît sortir de ma rêverie, elle s'efforçait de marcher le plus ce possible pour rejoindre notre salle de court et moi je suivait péniblement pas tellement motiver par les cours qui nous attendaient, c'est très différent du monde magique c'était très .... terre à terre mais en même temps très naïf, car se préoccuper de Mathématique, de Français, de Littérature, alors qu'une guerre de préparait dans une partie du monde cacher aux yeux de tous, ça me semblait surréalistes.
— J'arrive, j'arrive, déstresse on est jamais arrivé en retard c'est pas maintenant que ça va arriver tu le sais bien
— C'est parce que c'est moi qui te presse !
— Tu sais aussi bien que moi qu'on est pas là pour rapporter des bulletins de notes moldu exemplaires à nos parents
— Drago ! Je t'ai dit quoi ! Pas de terme du monde magique quand on est en dehors de l'appartement ! S'efforçait de chuchoter vivement Clary
Je soupirais évidement et la suivait en cours.
A ses côté en cours de mathématiques, je fini par briser le silence.
— Sérieusement Clary, tu comptes faire quoi, on est pas là pour des bonnes notes je comprend pas pourquoi tu t'efforces à travailler.
— Il faut qu'on paraisse le plus normal possible Dray
— On est là pour un cours temps, le temps de réunir des informations et c'est tout on va pas rester là un an.
— Je sais très bien mais ça m'aide à ne pas penser constamment à ce que je vais découvrir ! Laisse moi vivre ça comme je peux et à mon rythme ! Tu n'es pas à ma place, tu ne sais pas ce que ça fait de se retrouver à 2 doigts de savoir la vérité qu'on a attendu pendant des années et qu'on a essayer en plus de comprendre enfermer dans un putain de cachots ! Sur ces derniers mots elle s'était emportée et en plus du regards en biais que nous avais jeter les autres élèves on s'est prit une remise à l'ordre du professeur qui mis fin à la discussion jusqu'à ce que Clary rajouta discrètement :
— On a un rendez-vous après les cours donc ne soit pas en retard à la sortie s'il te plaît
Je sentais dans sa voix que mes remarques l'avait blessé mais c'était pas vraiment le moment où l'endroit pour tenter de me faire pardonner. Ce que je sentais aussi c'était qu'elle était extrêmement stresser et ne me doute bien que toute ceci va faire d'elle quelqu'un d'à cran toute la journée.
La journée de cours passa, toujours aussi banale, aussi rasoir, aussi peu intéressante, je me demandais vraiment comment les moldus faisait pour enchaîner autant d'année d'école sans jamais péter un câble.
Clary m'attendais comme prévu à la grille d'entrée et c'est dans un silence monstre qu'elle me fit monter dans un bus qui nous emmenait je ne sais où.
— Tu comptes ne pas me décocher un mot de tout le trajet ?
Elle ne répondit pas.
— Écoute, Clary, je sais que j'ai été dur avec toi tout à l'heure, même si je ne peux pas entièrement comprendre ce que tu peux ressentir vis à vis de tout ça, ça a quand même beaucoup d'enjeux pour moi aussi et je pense que t'en a conscience, on est tout les deux un peu à cran, tu sais parfaitement ce que j'ai à perdre dans tout ça et même si je ne t'échangerais pour rien au monde avec le confort que j'avais avec ma famille, comprend que ici je débarque dans un tout autre univers en laissant tout ce que je connais derrière moi, ainsi que le confort du statut de ma famille et il y a une chance sur deux pour que quand je reviennes je ne récupère que très peu de ce que j'ai laisser en partant. Tu fonces dans l'inconnu, et peut-être que c'est pas le même inconnu mais j'y fonce aussi et c'est autant terrifiant pour moi. Je comprends que tu cherches à retrouver un semblant de ce que tu connaissais avant ici mais pour moi c'est pas aussi facile que pour toi de m'habituer à tout ça, je n'ai jamais été en contact avec le monde des moldu avant et là où toi tu retrouves tes reperd moi je dois m'en créer de nouveau avec aucun point d'attache autour de moi.
— Je sais bien, soupira-t-elle, écoute je me rend bien compte qu'on est tout les deux à cran, pas forcément pour les même raison mais on est tout autant stresser, je pense qu'on devrait essayer de se rassurer ou de faire comprendre à l'autre ce qu'on ressent plutôt que de se sauter à la gorge à chaque réflexion ça serait mieux pour tout le monde et surtout bien plus supportable car si on continue comme ça, ça ne va nous mener nulle part. 
— Je suis bien d'accord... Bon, alors, où tu m'emmènes ?
— A la mairie et après au conseil départementale qui est juste à côté, pour récupérer mon actes de naissance et mon dossier d'adoption.
— Tu penses que étant donné que tu as été placé après la mort de tes parents biologique il y ai une quelconque trace d'eux ? 
— Eh bien je me suis renseigné et en temps normal oui il y en aurait une mais vu que j'ai été confier à la DAS par je ne sais qui venant du monde magique et qui à tenter de me sauver je ne pense pas, et puis mes parents venaient du monde magique, il n'y a pas de trace d'eux dans les fichier donc je ne pense pas que ça soit possible. Après je dis ça comme ça mais je ne sais même pas si ça s'est vraiment passé comme ça...
— On arrivera à remonter jusqu'à tes parents biologique ne t'inquiète pas.
Elle ne dis rien et tourna son regards à travers la fenêtre, je lui pris la main et on resta comme ça jusqu'à notre destination, trop stressé pour parler de chose banale qui n'empirerais pas notre stress. 
Le bus se stoppa et c'est les mains moite que Clary descendu de l'autocar. J'appréhendais aussi la découverte et j'espérais au plus profond de moi que les informations des ses parents adoptif se trouvaient bien sur ces papiers.
Au comptoir de la mairie la jeune dame était très compréhensive et accueillante. Elle était le cliché du rat de bibliothèque, de grosse lunette ronde, une peau très pâle, des cheveux blond frisé coupé court qui formait comme une sorte de mini afro autour de sa tête qui retombait légèrement sur les côté et des habits très vieillot essentiellement composé de laine. 
Elle fini par donner un papier à Clary et on s'assit dans la salle d'attendre pour en prendre connaissance en détail :

— Bon, on a le nom de tes parents adoptifs, maintenant on fait quoi ?
— On va demander une copie du livret de famille de mes parents au conseil départemental 
Sur ces mots Clary se leva déterminer jusqu'au bâtiments de l'autre côté de la rue qui se trouvait être le conseil départemental. Malgré sa détermination on pouvais voir dans son attitude assuré une once de crainte et d'appréhension refoulées tenter de pointer le bout de son nez.
C'était donc repartit pour une attente encore plus longue que à la mairie, étant donner que la structure était supérieur, l'administratif quel plaisir... J'espère que la conclusion de cette journée sera une diminution du stress de Clary car la pauvre j'ai peur qu'elle me fasse un malaise tellement elle est tendue. Je ne sais pas si ces recherches vont mener à quelques chose rapidement ou quoi, tout ce que je sais c'est que Clary m'a promis qu'on serait de retour dans le monde magique pour la rentrée et c'est déjà ça. En attendant je vais faire mon possible pour aider Clary à obtenir des informations et ça commence par secouer les prunes de la dame aigris du guichet. 
— Ecoutez, elle vous a donner sa pièce d'identité, son passeport, son acte de naissance, qu'est-ce qui vous empêche de lui fournir les réponses qu'elle demande ? On vient de loin pour ces recherches et on a une limite de temps à ne pas dépasser, sans ces papier on ne peux pas avancer donc maintenant magnez vous parce que je ne vais pas rester calme comme ça longtemps, dis-je en tapant une bonne fois pour toute sur le guichet. 
La vieille aigris pesta mais partit chercher ce que Clary s'égosillait à lui demander depuis 20 bonnes minutes.
— Merci, me chuchota-t-elle à l'oreille en glissant sa petite mains dans la mienne.
La femme revins finalement avec les dis papier et nous apprîmes donc que le père de Clary, Leroy Alfred Wayland avait un frère plus jeune que lui, Thomas Jerry Wayland qui s'était marié avec une certaine Mary Janeth Ambrose. Thomas était apparement décédé mais sa femme vit toujours donc on avait prit la décision avec Clary de la contacter en rentrant en demandant aux standardiste téléphonique de nous mettre en lien avec et par miracle on tomba sur la bonne personne qui conclue une rendez vous avec nous le lendemain même après nos cours. 
— A demain Mary, raccrocha Clary, elle me sourit soulagée des tournures que prenait les évènement et vint déposer une baiser délicat sur ma bouche avant de s'endormir paisiblement dans mes bras.
L'avenir promettait de lui sourire. 

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Désolé pour le temps qu'a mis à venir ce chapitre mais j'ai du faire beaucoup de recherche pour les papier administratif pour faire le plus réaliste possible et ça a prit du temps et encore je ne suis pas sur de la tournure priser au conseil départemental mais bref après tout ça reste une fiction tout ne peut pas être parfait :), j'espère que vous apprécierez tout de même ce chapitre