« Je veux penser à ton amour...
Désirer, sans presser le temps
Passer des nuits sans les cadrans
Ma main doucement logée dans la tienne.Je veux frémir sous tes regards,
Sentir tes yeux, tes lents égards,
Te pardonner tous tes écarts,
Étourdissant mes sombres cauchemars...Penser à toi sans retenue,
Tu ne seras pas inconnu,
Peut-être un air de déjà vu.
Chaque fois tu éloigneras ma peine.Une légère envie d'espoir
Pour m'éclairer dans l'ennui noir,
Alimentée par mes histoires
Que j'aime me conter, seule le soir.C'est, lorsque passera le jour,
Ce qui éloignera ma peine -
Et même au creux de la nuit noire :Le souvenir de tes regards d'ébène. »
25/01/20
VOUS LISEZ
𝑬𝒏𝒄𝒐𝒏𝒏𝒐𝒊𝒓
Poetry« Les nuits blanches sont des mensonges, elles sont bien plus sombres qu'elles ne luisent » Entonnoir à conneries, et à joies ; poésie au genre fluctuant J'avais jamais lu Baudelaire avant 2021 mais faut croire qu'on se comprenait déjà aurèle Du 12...