" Un terne été,
Je t'ai vu, pour un premier jour.
J'ai rougi et il a plu,
Il faisait chaud comme dans un four ;
Mais c'était mon cœur qui brûlait.Un terne été,
J'ai cru que tu voulais m'aimer.
J'ai patienté sur le palier,
Mais j'ai sûrement bien plus pleuré
Que je n'ai voulu t'embrasser.Et terne idée
De te quitter, le cœur si lourd
Alors que tu m'avais tant plu
Alors que j'avais tant d'amour,
Tant de souvenirs à coller,Sur les pages de mes cahiers-
-les craies ont tant dansé...
Je t'ai souvent dessiné,
L'âme brisée.C'était, il me semble,
Une éternité "AJ
06/01/20
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𝑬𝒏𝒄𝒐𝒏𝒏𝒐𝒊𝒓
شِعر« Les nuits blanches sont des mensonges, elles sont bien plus sombres qu'elles ne luisent » Entonnoir à conneries, et à joies ; poésie au genre fluctuant J'avais jamais lu Baudelaire avant 2021 mais faut croire qu'on se comprenait déjà aurèle Du 12...