𝒸𝒽𝒶𝓅𝓉𝑒𝓇 𝟪

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|𝑠𝑜𝑚𝑒𝑡𝑖𝑚𝑒𝑠 𝑖𝑡'𝑠 𝘩𝑎𝑟𝑑 𝑡𝑜 𝑓𝑎𝑐𝑒 𝑟𝑒𝑎𝑙𝑖𝑡𝑦|

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Au réveil, j'ai préféré partir silencieuse de chez Mattia pour prendre le week-end pour moi et pour réfléchir à ce qui venait de ce passer dans ma vie en l'espace d'un week-end. Mattia m'avait harceler de message tous les uns plus déchirant que les autres, il a essayer de m'appeler à travers son balcon mais mes stores étaient fermer. Au risque de vous décevoir, oui. Je me suis dégonflée, j'ai refoulée mes sentiments au plus profond de moi. J'ai laissé ma raison prendre le dessus sur mes sentiments qui commençaient à naître pour Mattia.

Et aujourd'hui je crois que quelque chose en moi a changé, quelque chose en moi c'est même peut-être brisé. C'est complètement idiot et pathétique et j'en suis consciente.

On est lundi, et aujourd'hui je devrais tout affronter. Je peux plus me cacher sous cette couette comme je l'ai fais ces deux derniers jours. Je respire un grand coup pour relire une dernière fois ses messages.

De: Mattia.
Miller alors comme ça on part comme une voleuse ?

Miller ?

???

Oh, Seyna

Tu joues a quoi réponds

La putain de ta race t'es sérieuse ?

Seyna je t'en supplie

Tu te rends compte que j'te supplie de me répondre ?

Je vais t'appeler

Répond

Réponds ou je sors dehors

SEYNA MILLER.

Je vais venir sonner je m'en fou.

Tu veux pas répondre ?

En faite tu veux que j'te déteste pour de vrai cette fois c'est ça ?

Continue à ne pas me répondre t'es sur la bonne voie.

J'aurais pas du t'embrasser. T'es une pute. Va te faire foutre.

Je ravale mes larmes et le noeud qui se formait dans ma gorge d'avance en imaginant croiser son regard, vous devez vous dire, putain mais elle est conne pourquoi elle fait sa alors qu'elle aime le mec. Ma dernière relation m'a presque coûtée la vie et elle m'a brisé, j'ai pas envie que sa recommence j'ai bien trop peur pour ça alors je préfère fermer les yeux dessus.

Je range mon téléphone et enfile mon long manteau noir, je met un bonnet de la même couleur et des Air Force one blanches, il faisait gris aujourd'hui et froid alors autant en profiter. Je sors de chez moi les écouteurs dans les oreilles et je marche jusqu'au lycée.

Je vois Alex toute souriante ce diriger vers moi, avant même qu'elle dise quoi que ce soit je la regarde. Et avant même qu'elle dise un bonjour elle perds immédiatement son sourire et affiche une mine terriblement inquiète, elle est inquiète pour moi. Car je n'ai aucun émotion dans mon regard, on y voit le vide.

Elle se précipite dans mes bras et je resserre l'entrante comme si c'était ce donc j'avais besoin et je crois que c'était le cas à vrai dire.

Alejandro arrive suivi de Kairi et ils affiche aussi une mine inquiète

Alejandro me prends dans ses bras

« Toi aussi elle était dans ton pieu ale ? Pas mal »

J'avale un sanglot en sachant d'avance de qui venait cette voix même si ma tête étais enfouie dans le torse de Alejandro

Alejandro se détache de moi et me regarde déçu

Alejandro: c'est vrai ce qu'il dit ?

Seyna: écoute ale, à la soirée on s'est embrassé et il m'a proposer de dormir chez lui j'ai accepter..

Alex fit un petit sourire et je savais ce qu'elle se disait « enfin ils se sont embrassé », Kairi lui semblait triste et Alejandro lui. Son regard ressemblait petit à petit au mien, vide.

Alejandro: d'accord. Je vais y aller.

Et avant même que je puisse en placer une il tourne les talons et s'enfonce dans les couloirs puis dans la foule.

Une larme ruisselle le long de ma joue et Alex me tient la main

Alex: ça va aller.

Kairi: ça va lui passer, c'est juste que je crois qu'il t'aime beaucoup et qu'il s'attendait à qu'il se passe un truc entre vous disait-il doucement

Et la je me sentais doublement conne, putain comment j'ai fais pour pas remarquer que Alejandro avait un crush sur moi.

La leçon suivante était anglais, je tremblais déjà rien que d'imaginer son regard croiser le mien mais il ne le fit pas, pas directement du moins..

La prof commence son cours

Madame Martinez: POLIBIO  ! A votre place !

Ce dernier était encore en retard, bien évidemment il se dirige pas à sa place habituelle qui était à côté de moi et la prof lui hurle à nouveau dessus. Il se lève de la ou il est cest à dire devant moi au milieu

Mattia: il est hors de question que je m'assois à côté d'une salope dans le genre de mademoiselle Seyna Miller, envoyer moi chez le directeur faite comme bon vous semble mais je ne m'assoirais pas à côté d'elle. Dit-il parfaitement calmement mais toujours avec une froideur extrêmement dans sa voix

Madame Martinez: chez le directeur immédiatement Mattia, de quel droit insulter vous une femme de salope ?! Dit-elle hors d'elle

Mattia ce retourne pour me regarder d'un air glacial, d'un air vide qui a manquée de me faire trembler. Le néant ce lisait dans ses yeux et à ce moment là.

À ce moment précis, j'ai vu dans son regard que je l'avais perdu. Que j'avais merder et pour de vrai. Et quoi que je fasse je pouvais m'en prendre qu'à moi, parce qu'il ma dit qu'il m'aimait et je l'ai repoussé.

Alors à ce moment là j'ai pris peur.

Mattia: c'est une salope et une très grosse même.



Et mon monde c'est effondré.




Bordel de merde merci pour les 2K les gars j'y crois pas cette histoire c'est ma fierté je vous aime fooort

Depuis mes 13 ans j'écris des chroniques vous savez pas a quel point ça me fait chaud au coeur tout ça

𝒾'𝒹  𝒻𝒶𝓁𝓁𝑒𝓃 𝒻𝑜𝓇  𝒶  𝓁𝒾𝑒.   m.p / a.rOù les histoires vivent. Découvrez maintenant