à ma famille, à mes amis, à celle que j'étais
Alors que le crépuscule m'appelait tel un ange égaré
J'ai enlacé son ombre, et perdu la clarté.
Dans un monde sombre à l'harmonie fragile,
Je composais des souvenirs à l'encre indélébile.Joyeuse douleur aux artifices débordants,
Me berçait en murmurant des songes angoissants.
Triste ivresse aux plaintes bavardes,
M'épiait, m'observait, la chair blafarde.Je frémissais dans la nuit brumeuse,
Les pupilles pluvieuses ô nymphes malheureuses,
Mais entourée de séraphins,
Je demeure sur le droit chemin.Et me guidant dans la lumière divine,
Les gardiens de mon souffle,
Me protègent et me dessinent.03/19/2020 - 10:44PM
ʕ•ᴥ•ʔ
-ophelia
fragment de la madone sixtine de Raphaël
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à l'heure où les lucioles dansent avec la lune
Poesíaelle est à court d'oppyum et elle a consumé son monde. elle a consumé son monde pour en planter un nouveau dans ses rêves, la graine de mots dans une main, la pelle de peine dans l'autre. et demain fleuriront Nostalgie et Espoir, dont les pétales s...