« le 21 septembre 2020
je ne compte plus les jours. je ne sais même plus depuis combien de temps tu n'es plus là. il ne me reste plus rien. tu étais tout ce que j'avais, j'ai envie de partir moi aussi. ça ne rime plus à rien de vivre sans toi. on avait la vie à vivre putain.
tu auras pu me laisser un mot, rien qu'un mot. une explication, une preuve que tu as bien existé. je me sens folle. folle de toi. et si j'avais rêvé ? pourquoi tu n'es pas restée ?
tu me manques terriblement. ton absence me ronge et ta présence me manque. tu me manques tant. je ne sais plus vivre sans toi.
isilde »
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adieu nos corps fanés
Storie breviisilde a rencontré la vie pour la perdre au détour d'une fleur. | mars deux mille vingt > avril deux mille vingt |