Ce livre est pour moi un recueil de mes idées en très courte histoire, souvent un passage dont j'ai rêvée ou qui m'es simplement passée par la tête.
Je suis toujours dans l'envie d'apprendre et de progresser, mon style d'écriture change souvent. Co...
Ceci est un bonus de l'os qui est en 3 parties ! Et j'ai encore eu la flemme de me relire donc bon ...
Bonne lecture 😉💞
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Pdv Sei
Huit, c'était le nombre de mois depuis que j'avais quittée le Japon. Deux cent quarante quatre, c'était le nombre de jours où l'on ne sait pas vues. J'avais donc pris la décision de parler à me géniteurs, de ce que j'allais faire.
Je faisait les cents pas dans ma chambre, essayant de trouver un paragraphe argumenté sur ce que j'allais leurs annoncer dans dix minutes. Mon téléphone en continue sur mon bureau, je le pris et un sourire idiot se colla à mes lèvres. Karma.
- Ouais ? Je demande en touchant mon collier.
- Avoue que ma personne te manque~
- Mouais, bof. C'est Nagisa qui me manque le plus, tete de poivron !
- Mais oui, j'te crois !
Bien sur, je n'avais pas mis au courant le rouge de mon future projet.
- Bon, tu me veux quoi ?
- J'ai pas le droit de t'appeler ?
- Je pars graille dans cinq minutes, Karma.
- Neee~ La bouffe passe avant moi ?~
- Large.
On toqua à ma porte, m'annonçant que mes parents étaient rentrés.
- C'est pas que je t'aime pas, mais je dois me cassée.
- Qui ne m'aime pas ~
Je leva les yeux au ciel, et je racrocha en lui disant des trucs niant, en me foutant de sa gueule.
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- Tu veux faire quoi ? Me demande ma mère en me regardant les yeux rond.
- Je veux habitée au Japon, t'es sourde ?
- Hors de question. Fit mon père en mangeant son saumon.
- Mais pourquoi ? Putain ! Je peux encore bien faire ce que je veux, merde !
- Voyons Sei, tu sais bien que c'est impossible. Et les concours ? Dit la douce voix de ma génitrice.
- Si c'est juste ça le problème. Alors j'arrenterais.
Mon père leva ses yeux bleus dans ma direction, et ma mère se pinça l'arête du nez, imaginant le pire.
- Si tu me donne une bonne raison j'accèpte. Dit l'homme de la famille.
- Putain, tu penses vraiment que je veux y aller sur un coup de tête. Ça se vois que tu me connais pas. Bref, déjà il y a un préstigieuse établissement, qui propose le cursuse qu'il me faut. De deux j'ai rencontré quelqu'un.
