Ce livre est pour moi un recueil de mes idées en très courte histoire, souvent un passage dont j'ai rêvée ou qui m'es simplement passée par la tête.
Je suis toujours dans l'envie d'apprendre et de progresser, mon style d'écriture change souvent. Co...
Je ne l'ai pas relus !!! Donc les fautes sont présentes !!
Os: Un détail.
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Je me leva et je paya le barman, puis je suivit l'homme en costume noir dans la voiture, une fois que l'ont fut installés, je lui demanda si mes affaires et celle de mon équidé étaient arrivées dans la pension. Il me répondit qu'il n'y avait pas de problèmes et que tout était sur place depuis un moment déjà.
Alors qu'on tournait à un carrefour, mes yeux azure croisèrent ceux ambre/rouge de la tête de poivron, la voiture se stoppa à un feu rouge, lui laissant le temps de venir jusqu'à moi. Je baissa ma vitre afin d'entendre ce qu'il avait à me dire.
- Qu'es que tu veux, tête de poivron ? Je lui demande en espérant que le feu passe vite au vert.
- Déjà j'ai un nom. Et je voulais juste m'assurer que tu était bien celle que je pensais~ Il susurra ses dernière paroles, comme pour me faire comprendre qu'il savait.
- Je ne le connais pas ton nom, imbécile. Je rétorqua un sourire espiègle aux lèvres.
- C'est vert. Fit le conducteur.
- Karma Akabane, souviens-toi en car tu vas bientôt plus pouvoir te passer de moi~
Nos yeux se croisèrent l'espace d'un instant et pour la première fois de ma vie je ne sus quoi répliquer, quelques chose au fond de moi était attiré par ce drôle de personnage. Comme un aimant.
La voiture repartit sur ses dernières paroles, je tiqua et je sortit mon téléphone pour renommer son contacte, aillant déjà deux têtes de poivrons dans mon répertoire.
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- Chut, on se calme, tout va bien. Je suis là.
Je lui caressa la tête de haut en bas en lui parlant le plus possible jusqu'à ce que Azuma ouvre la porte du van à l'avant, quant ce fut fait, je la fit avancer et descendre du camion blanc.
- Ranger le, je m'occupe de mon cheval. Je dis sèchement à l'homme.
Je n'écouta pas sa réponse et je fis marcher Caféine pour lui dégourdir les jambes, puis je fis parvenir mes affaires à la douche. Je mouilla les antérieurs et les postérieurs de la jument, qui ne broncha pas le moins du monde. Je l'emmena ensuite dans son box et je la nettoya de font en comble, puis je la sella.
On entra dans la carrière dans la fin de l'après-midi, je la fis marcher partout puis trotté de la même manière. Étant seule dans la carrière, je fis plusieurs figures de dressages simples, pour lui dégourdir les jambes après un long voyage en avion et en van. Je ne lui demandais rien de compliquer. Puis on galopa, sur des cercles, des diagonales et des demis voltes renversé.
Je descendis et je lui retira la selle, je remonta à l'aide d'un cube et je la laissant brouter dans le début du cross en contre-bas du manège. Un tendre sourire se dessina sur mes lèvres.
