| Chapitre 07

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| ᶜʰᵃᵖⁱᵗʳᵉ 7 |

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| ᶜʰᵃᵖⁱᵗʳᵉ 7 |

Le soir était tombé tandis que la jeune Aphélie s'apprêtait dans sa chambre avec l'aide de Suzanne qui ne la lâchait pas d'une semelle.

Un sourire gagnait le profil des deux jeunes commères qui se confièrent des petites choses, pas très absurdes.

Elles riaient ensemble tandis qu'elles admiraient toutes deux le reflet de la robe de bal que la princesse aînée devait porter pour cette soirée en son honneur. Suzanne se contemplait à son tour, heureuse.

Aujourd'hui devait être un jour de fête, de gloire pour le royaume. Alors, qui déclarait jour d'amusement, disait aussi que tout le monde parviendrait à se détendre. Même certains domestiques qui étaient en charge des bonnes uniformes de la gente royale requieraient de cet événement.

La jeune à la chevelure blonde prêta un vêtement bien entretenu, qu'elle gardait dans son placard garni à sa femme de chambre, qui s'écroulait presque d'exalter son grand bonheur. Tant elle ne fût accoutumée de ce genre de robe, si élégante, si raffinée. Que seuls les membres de la haute souveraineté pouvaient se permettre d'attirer de l'oeil en s'apprêtant comme ceci.

- Je vous remercie pour les soins que vous m'apportez Aphélie, je ne le mérite guère, se blâmait-elle.

- Mais que dis-tu, tu connais nos coutumes plus que quiconque, s'extasiait la princesse. Tu mérites tellement de choses que je ne peux t'offrir.

Suzanne lui révéla un grand sourire majestueux en la remerciant mille fois tandis qu'elle sortait un moment de la chambre pour laisser du temps à la précédente jeune femme de terminer de s'embellir à sa guise.

Depuis que l'ancien roi Constantinople, défunt père de Algor, roi en ce jour avait prit sa délivrance de fricoter avec une employée de maison, il avait mis ce décret en vigueur.

Il autorisait toute personne étant aux services de sa belle famille pour une durée indéterminée, à compter de son cinquante-et-unième anniversaire, à participer aux cérémonies du royaume.

Aphélie était fière de la décision que son grand-père avait pris avant sa mort. Selon elle, son père n'aurait peut-être pas permis cela et c'était une bonne décision, qui attribuait une égalité voulue envers son prochain.

La révélation que le roi précédent était un vrai coureur de jupons, ne faisait pas des siennes dans le château. Tout le monde en fût au courant, sauf la reine consort qui ne le su pas, bien avant que ce malheur ait éclaté dans l'enceinte de la demeure ; vingt ans après la naissance du fils prince.

Pourtant, un secret non su, se cachait toujours, bien derrière ce qu'ils auraient cru savoir.

Avantagée dans ce vêtement si humble qu'elle portait en son extérieur, elle se dirigea à grands pas vers la porte de ses appartements où devaient attendre sa mère, Phénicia et son petit rayon de soleil, Isabella, impatientes.

| 𝐈𝐧𝐝𝐞𝐜𝐢𝐬𝐢𝐯𝐞𝐧𝐞𝐬𝐬 ✔Où les histoires vivent. Découvrez maintenant