| Chapitre 014

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| ᶜʰᵃᵖⁱᵗʳᵉ 14 |

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| ᶜʰᵃᵖⁱᵗʳᵉ 14 |

Aphélie se sentit plus nue qu'elle ne l'était déjà à la vue des deux hommes qui contemplaient chaque courbe de son corps. Ils ne se privaient guère de satisfaire leurs yeux tant qu'ils auraient pu faire autrement avec elle.

Elle partit immédiatement se couvrir, courant presque et rattrapant au passage son bout de serviette qu'elle avait jetté au sol, un quart d'heure plus tôt. Son coeur palpitait fortement dans sa poitrine qui gonflait.

Recouvrant son corps de ce tissu en coton, comme elle le pouvait, elle séparait la vue de ses deux petits monts colorés qu'elle gardait si précieusement, tandis que ses joues prirent une petite teinte rosée, dûe à la gêne.

Comme, revenant à la normale, Devytsen jeta un regard par-ci par-là, à la recherche sûrement de ses idées. Il avait été plus que troublé au vue de ce qu'il venait de voir, si joliment, apprêté à sa vue. Ses yeux devinrent noirs quand il se rendit compte de ce qu'il venait de se produire. Qu'il n'était le seul à avoir admirer ces membres si généreusement offerts à sa portée.

L'homme changea immédiatement d'attitude et agrippa dangereusement le bras de la jeune femme qui serrait fortement son tissu qu'elle gardait entre ses doigts frêles. Il l'emporta avec lui, dévisageant au passage Salvatore, que Aphélie avait presque oublié la présence. Tant, elle en fut dégoutée de ce qu'il se passait entre eux. L'homme resta là, planté et ancré au sol tandis que sa convoitise s'en allait avec un autre homme que lui.

Il voulut les suivre, au vue de l'expression pas très joviale que lui décrocha le fiancé mais, il se ravisa vite. Se disant qu'il ne devait pas plus s'emmêler, tant il y était déjà bien trempé jusqu'au cou où régnait sa maudite cicatrice. Il se rassurerait quand même demain que la jeune femme n'a rien, pensait-il en reprenant sa marche, plus que troublé et souriant.

- Comment as-tu pu me faire une chose pareille, te dévêtir de la sorte devant un homme qui n'est tien ! explosa Devytsen, une fois passé la porte de ses appartements. Tu me répugnes !

Il la balança d'un coup sec sur son matelas, l'imortalisant dans sa lancée, elle retomba lourdement contre l'oreiller en velours. Une peur la prit soudainement tandis que ses yeux s'ouvrirent en grand à son geste si brutal.

- Je me disais bien que tu fricotais avec ce satané prince, je n'aurais même pas du te faire confiance ! Regardes où ça nous mène maintenant !

Ses pas se dirigeaient vers elle, menaçants, dans une énième torture pour la jeune femme, qui agonisait presque tant la violence de ces mots la secouait. Un son franchit la barrière de ses lèvres. Elle allait répliquer un mot, se défendre, lui disant qu'elle n'était pas sa propriété mais, il la prit de court. Enlevant directement sa joie de vivre à sa future femme.

| 𝐈𝐧𝐝𝐞𝐜𝐢𝐬𝐢𝐯𝐞𝐧𝐞𝐬𝐬 ✔Où les histoires vivent. Découvrez maintenant