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Point de vue de janvier

J'ai commencé la fajr. C'est une prière qui s'étend de la fin de la nuit, de l'apparition de la lumière de l'aube jusqu'au lever du soleil. La prière se fait sur le tapis.

Téléphone en main , je sors sans faire du bruit. Tout le monde dort. Hors de la maison, je remarque une abondance d'appel manqué. Une grande partie provient de la famille paternelle. Je les écris que je vais bien , qu'ils ne s'en fassent pas. Je marche dans les rues. Un voiture s'arrête à mon niveau.


Moi : Encore , toi.

Lui : monte, m'ordonne-t-il en ouvrant la portière.

Moi : n'oublie pas que tu n'es qu'un ami d'Alheri. Tu n'es pas lui.

Lui : je le sais. Alheri m'avait chargé de te surveiller.

Je suis décidée à ne pas monter. Il est décidé que je monte. Il ouvrait la portière quand je la refermais. C'est du tic au tac.

Moi : je ne suis pas une gamine de cinq ans qui fera des bêtises après le départ de sa famille. Mon frère n'est plus , je ne te retiendrai pas.

Lui ( Yannis) : Alheri faisait partie de mes meilleurs potes et le restera. Je lui dois au moins ça.


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Moi : à moi , tu dois rien.

Yannis : arrêtons ce jeu. 

Moi :  je n'étais pas entrain de jouer. 

Yannis : attends.

Il sort de la voiture. Il se tient droit dans ses bottes devant moi. Sa taille est approximatif à celle d'alheri.

Moi : j'en ai aucune envie.

Yannis : Janvier...les petits d'Alheri sont sous ma responsabilité. Maintenant qu'il reste plus, il ne reste que toi , j'ai plus d'ardeur à te protéger.

Moi :  nous partageons aucune relation. S'il te plaît arrête de t'en faire comme si toi et moi sommes proches.

Yannis : décidément tu es une vraie tête de mule.

My Reason To Believe[En Pause]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant