Chapitre 14 : Expérience

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PDV Edward

Ses lèvres attaquèrent violemment les miennes alors que j'ouvrais la bouche pour lui donner tout accès à ma langue. La sienne joua gentiment avec la mienne alors qu'il passait un de ses mains dans l'ouverture arrière de mon short. Son doigt retourna taquiner puis pénétra en moi je lâcha un gémissement qui fut étouffer par la bouche du brun. Je me releva légèrement à l'aide de mes genoux pour m'empaler sur son doigt.

- Hm Edo fais pas de choses si pervers, mon ange. Dit-il en se séparant de mes lèvres.
- Pourquoi ? Demandai-je les joues rouges.
- C'est moi le méchant et le démon ici et toi t'es juste un ange que j'ai corrompu.
- C'est bien résumer en effet. Répondis-je en flattant son torse.

Pour me punir de ma réponse un deuxième doigts secs s'infiltra dans mon corps. Peu habitué par ce genre de contact intime, je laissa passer de drôle de bruits qui encourageait l'homme sur qui j'étais assis. J'avais encore du mal à mis habitué, la situation était complètement folle jamais je m'étais sentis aussi dépendant de quelqu'un. Sa langue chatouillait mon lobe d'oreille alors que je tentais de lui retirer son t-shirt.

- Attend pousse toi. S'exclama t'il en me repoussant de son corps et en se levant.
- Envy qu'es que tu fais ? Demandai-je un peu paniqué qu'il parte.
- Chut chibi profite juste du moment.

Il retira lentement son t-shirt me laissant à chaque fois un peu plus de chair. Son torse que je n'aurais jamais imaginé aussi musclé était maintenant nu devant moi. Je voulu le toucher mais il m'en dissuada d'un regard.

- Ne sois pas trop gourmand, chaque chose en son temps Edo. Souria t'il en s'approchant de moi.

Je pensais qu'il allait me reprendre sur ses genoux alors je tendis les bras vers lui mais à la place il me retourna et me plaqua contre le canapé. Je finis allongé sur le ventre, ses mains agrippant mon bassin pour que je me relevais sur mes genoux offrant complètement mon corps au brun. Quelques bruits me firent comprendre que le brun venais de se déshabiller entièrement.

- Quel magnifique vue...
- Envy je-

Je ne pus finir ma phrase car trois doigts venaient de pénétrer dans mon corps. Je me cambra ignorant les larmes qui coulaient le long de mes joues. Le brun débuta un mouvement en moi alors que je tentais de m'habituer à la présence des intrus. Il faisait des mouvements de ciseaux écartant mes chairs encore vierges.

- Détent toi... sinon ça rentrera jamais.

Je sentais une pointe d'agacement dans sa voix alors je souffla doucement essayant de me concentrer sur autres choses. Un grognement dans ma dos suivis d'une morsure me coupèrent dans mes états d'âmes, Envy était impatient il n'allais pas attendre que je n'ai plus mal au contraire, si ça passe pas...

Il forcerait.

- Envy...  s'il te plaît ah... laisse moi te voir...

Ma voix était tremblante, j'avais terriblement peur et pourtant j'en avais envie, tout mon corps était tendu. J'avais tellement besoin de douceur. Il retira ses doigts de moi pour ensuite retirer le short en cuir que j'avais sur les hanches. Il me retourna enfin et c'est là que je pus voir son corps nu et tendu ainsi que son air sévère. Mon regard glissa sur son corps pale, passant par ses larges épaules puis son torse fin mais bien dessiné et enfin mes yeux retrouvèrent son membre imposant.
Il arracha le tissu qui cachait mon torse me laissant complètement nu face à lui. 

Sans trop comprendre il attrapa l'une de mes chevilles dans sa main droite puis il leva ma jambe.

- Envy qu'es que tu fais ? Demandai-je toujours incertain de la suite des événements.

Il ne répondit pas se contentant d'approcher son corps du mien, je voulais l'interroger mais des que son gland se présenta à mon entré j'eus le souffle coupé.

- Edo, donne moi le coussin derrière toi.

C'était un ordre je l'avais bien compris alors je m'exécutais peur d'une représaille. Envy me lança un sourire sournois alors qu'il tirait un peu plus sur mes jambes pour soulever mon bassin. Il plaça ensuite le coussin sous mon bas du dos, et me laissa doucement tomber sur l'oreiller. Je comprenais toujours pas ses attentions, sa main tenait toujours fermement ma cheville lui à genoux devant mon corps couché. 

- Je vais te poser la question une dernière fois, veux-tu toujours le faire avec moi ? Me demanda t'il son visage ne trahissant aucune émotions.
- O-Oui Envy, je veux. Répondis-je les yeux pleins de larmes.
- Alors dis le, chibi.
- Prend moi Envy, s'il te plaît.

Il me souria puis laissa une main contre mes hanches alors qu'il rentrait doucement en moi. Il poussait en moi délicatement comme pour ne pas me blesser mais ça ne changeait rien, c'était gros ça faisait mal.

Mais c'était Envy en moi.

Alors dans un mouvement suicidaire je me releva rapidement et emprisonna la tête du brun de mes mains qui finit allongé contre mon corps. Il me regarda avec choque alors je l'embrassais comme ci ma vie en dépendait. Il en profita pour se replacer correctement et me pénétra entièrement. Je dû stopper le baiser pour hurler, je me sentais comme écarteler. Lui il laissa passer un grognement de plaisir alors que nous faisions plus qu'un.

Envy me regardait avec une tendresse que je n'avais jamais vu dans son regard bien que mon corps me criait d'arrêter le massacre mon coeur lui battait tellement fort. Alors le temps que je m'habitue à sa présence le brun avait embrasser mon visage, il avait caressé mes cheveux et m'avait regarder comme la plus belle chose du monde malgré sa frustration. Grâce à ce là je me sentais complètement détendu alors je fis le premier mouvement lui montrant que j'étais prêt.

Il m'offra le plus beau sourire que j'ai jamais vu et débuta des doux mouvements, puis le plaisir arriva d'un coup j'ouvra brutalement les yeux et laissa échapper un cri de plaisir.

- Je te présente ta prostate mon amour.

Je voulu répliqué mais il tapa au même endroit me faisant perdre la tête. Et comme pour me rappeler le début de la soirée le brun se releva avec mon corps dans ses bras pour m'asseoir sur son membre. Je pleurais mon plaisir alors qu'il me pilonnait avec force je passais mes mains sur ses épaules pour accompagner ses mouvements.

Nos corps se mouvant ensemble jamais de ma vie je n'avais ressenti de telles sensations. Complètement comblé et épuisé je venu entre nos torses alors qu'il continuait ses mouvements en moi au bout de quelques minutes il éjacula aux creux de mes entrailles alors que je me laissait tomber vers l'arrière.

Il me rattrapa de justesse se retirant brutalement de moi puis m'allongea contre le divan.

- Envy... L'appelais-je alors qu'il s'était relever pour boire un verre de whisky.
- Dors Edo, je reste là...

Ce fut les derniers mots de la soirée...

Play With Fire《Edvy》Où les histoires vivent. Découvrez maintenant