Play With Fire《Edvy》

Chapitre 2 : Envy

PDV Edward

La pièce prend soudainement un température froide et angoissante, une silhouette fais son apparition face à moi. Les battements mon coeur s'accélèrent, ma respiration se fais plus rapide, je gigote, tremble ça y est il est là devant moi.

- Je suis de retour fullmétal minus. Dis l'ombre en riant.
- Envy... soufflais je en sentant mon corps se tendre.
- Qui d'autre ? Et puis si j'ai bien compris c'est toi qui m'attendais pas vrai mon petit Edo ?
- Comment es-ce possible... je t'ai vu mourir de mes propres yeux... tu es mort envy ! M'exclamai-je encore choqué de sa présence.

Il se rapproche, passe une jambe sur le lit et monte à quatre pattes au dessus de moi. Son corps se tend brutalement, je vois ses muscles se contracter, et ses lèvres viennent  s'étirer dans un sourire malsain. Je me sens mal, mais je n'arrive pas bouger, je suis cloué au lit, immobilisé, complètement dominé par lui. Ses mains viennent doucement saisir mes cheveux, qu'il caresse du bout des doigts.

- Tu n'as pas intérêt à crier, car je voudrais pas avoir à t'abîmer. Susurre t'il au creux de mon cou.
- Tu sais bien que c'est pas mon genre.
- Alors c'est vrai, tu as récupérer ton bras et le corps de ton frère, bravo nabot.
- Oui mais j'ai perdu-
- Ton alchimie. Me coupe t'il en s'approchant de ma gorge.

Sa langue viens caresser ma gorge alors qu'un gémissement de surprise m'échappe. Il pose sa main à plat sur mon ventre et exerce une légère pression.

- Tu as maigris, depuis un certain temps.
- Normal, je me sens observer alors je n'ose plus rien faire. Répondis-je en restant toujours immobile.
- Tu mens, tu fais des choses très intéressant, dans ce lit par exemple.
- E-Envy depuis combien de temps m'observes tu? Demandai-je en rougissant.
- 2 mois, 6 jours, 1 heures, 30 minutes et 45 secondes exactement.
- Je trouve cela tellement malsain.
- Ça l'a toujours été, entre toi et moi.

Je balance ma tête d'un côté pour éviter son profond regard qui m'a toujours perturbé. Il viens mordre ma pomme d'adam, je me laisse faire n'arrivant plus à penser correctement ça a toujours été pareil avec lui, je lui laisse le contrôle sur mon corrps et mon esprit. Alors que je ne devrais pas.

- J'aime quand tu t'abandonne à moi, malgré le fais que tu me déteste, dis le Edward, dis que tu peux pas me voir, que tu me préférais mort.
- Va te faire foutre Envy.
- Voyons microbe, il faut te détendre, t'a toujours su le faire avec moi.
-Un monstre comme toi, ne pourra jamais avoir de sentiments. Dis-je en baissant légèrement la tête.
- C'est ce que tu penses ? Dis moi minus, tu changerais d'avis si on jouait à un jeu ?

J'hoche la tête, mais si je sais que face à lui je ne fais pas le poids... J'ai toujours été soumis à lui. Depuis le début.

- Edward, va dans la cuisine et va chercher un couteau.
- Envy, non, qu'es que tu vas me faire ? Demandai-je inquiet.

La peur me prend, je frissonne d'angoisse, j'ai ce goût amer en bouche. Le brun s'écarte de moi pour que je puisse passer et telle un soumis je m'exécute. Envy à trop de pouvoir sur moi mais j'ai peur je me sens tellement faible, j'ai plus rien pour me défendre j'ai envie de hurler mais je sais que si je le fais, Envy me tuera moi, ou Al et May.

Je reviens avec le couteau entre les mains, il me fais signe d'allumer la lumière. Des que l'ampoule ce met a briller je vois enfin le brun entièrement, il n'a pas vraiment changé à part qu'il ne porte pas ses vêtements que j'avais l'habitude de voir. Là, il a juste un jogging noir et débardeur de la même couleur.

Mon dieu qu'il est sexy... Je secoue la tête pour me remettre les idées en places je suis pas sensé être attiré par lui.

Je m'approche de lui mais il saisit mes jambes pour me faire tomber assis sur ses cuisses. Je rougis brutalement face à notre proximité alors qu'il attrape le couteau.

- Fais moi confiance, nabot, je ne te ferais pas de mal.

Il approche la lame de son bras et se coupe au niveau de l'avant bras, un cri de douleur lui échappe alors que le liquide rouge viens s'échapper de sa plaie.

- Envy ! Tu saigne putain ! Criais je inquiet.
-C'est ce que je voulais te dire Chibi, je suis humain, comme toi. Me dit-il en souriant tendrement.