chapitres 13

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Daryl.

Un mois, un putain de mois que je la cherche, et il s'avère qu'elle est la gonzesse de mon frère, quelle merde sérieusement. J'imaginai déjà la prendre en levrette, à la faire hurler de plaisir, mais nan, quelle chance j'avais pour que la meuf qui hante mes fantasmes soit la fille dont mon frangin est amoureux.

_ Qui t'as dit d'arrêter !

Sandy, s'active avec plus de ferveur sur ma queue. Une de mes innombrables poules de luxe, la blonde est une des meilleures que j'ai, pour les fellations. J'attrape sa queue-de-cheval, pour accompagner son mouvement plus rapidement, plus fort. Ses petits yeux globuleux m'observent avec avidité. Les miens se ferment pour penser à la jolie rousse. Et putain, je rêverai d'avoir sa bouche indécemment pulpeuse sur ma verge. À défaut de pas pouvoir la sauter, j'essayerai juste d'imaginer quelques scènes torrides. Ça me passera vite. Je sens mon sexe tressaille, signe que j'arrive bientôt. Les petits gémissements qui sortent de sa bouche prouvent à quel point elle aime ça. Coquine, j'aime encore plus.

_ ouais ..... putain.

C'est avec du rouge à lèvres plein la teub que je remonte mon fut. J'ai horreur de ça par contre, elle va devoir y remédier.

_ Qu'est-ce que tu fais mon poussin ? Dit-elle en se mettant sur mes genoux ?

Elle doit attendre un retour, mais là, j'suis plus d'humeur.

Et vu mon regard, elle comprend.

_ T'es sérieux Daryl ?!


_ J'ai l'air de plaisanter. Sort d'ici maintenant.


Mon ton est sec et cassant.

_ Tu es vraiment un connard j'te jure.

Elle soupire et claque la porte de mon bureau. Je passe encore quelques coups de fil. Tout en sirotant mon shiva 12 ans d'âge, l'alcool brûle ma trachée et le goût émoustille ma langue. Je soupire, j'ai des putains de transactions à effectuer et j'suis éreinté. Mais la Bella muerte n'attend pas. Je lève les yeux vers mon bras droit qui se tient à la porte.

_ On ta jamais appris à frapper.
Lui dis-je un ton irrité.

_ Si jefe. Je l'ai fait. Tout va bien ?

_ Pourquoi ça n'irai pas ?

_ Pareces preocuparte. (tu as l'air préoccupé)

_ Nan, ça va. Fait venir un truc à bouffer, J'ai encore rien avalé.

_ Si.

_ Aaron, prévient Dom, pour la meuf de mon frère, ils mettent les boucher double, il doit rien lui arriver claro (clair).

_ si jefe.


Je repose ma tête sur mon fauteuil. Quelle soirée de merde putain.La frimousse de Casanova apparaît, demandant des caresses. Je pose ma paume sur son crâne pour grattouiller le haut. Cette boule de poils qui était censée servir pour des combats canins. C'est avérer être une vraie poule mouillée. Dans un premier temps, j'ai voulu m'en débarrasser, ce que j'ai fait le soir où il m'avait fait perdre un sacré paquet d'oseille en se cachant entre mes jambes. Putain la honte. Sur les nerfs, je l'avais foutu dans le coffre de ma bagnole. Arrivé dans un trou perdu je l'ai lâché et redémarré, c'est en voyant sa petite tête courir de toutes ses forces derrière le bolide, hurlant à la mort, qui m'a fait changeait d'avis, et putain je regrette pas, j'aime ce cleps, comme si c'était mon gosse.

Je regarde affectueusement ce goinfre sur patte.

_ Alors mon pote, tu la trouves comment la gonzesse à Matt ?

Pour toute réponse, il couine de contentement, saute et lèche.

Ce chien est un brin hyperactif.

_ Je vois ça, elle t'a tapé dans l'œil aussi hein. Mais elle est chasse garder.

Dommage que ce soit Matt son mec, ça aurait été un autre, j'aurais profité et retourné son cerveau en deux secondes. Je me remémore son visage de porcelaine, ce visage qui a agité, mes nuits les plus lubriques.

Trois de mes hommes font leur entrée, valises en main, qu'il dépose sur la surface de mon bureau. J'ouvre une première. Les liasses superposaient me rendent euphorique.


_ Tous s'est bien passé à ce que je vois. Dis-je un ton satisfait.

_ Si jefe.

_ le compte y est ?

_ Si.

_ Bien. Repos ce soir. La semaine prochaine sera chargée. Profiter pour décompresser.

Mes hommes hochent la tête et retournent à leur occupation.

Maintenant second problème a réglé. Le fait que Vladimir est jeté son dévolue sur elle. Il ne lâchera pas l'affaire. Comment mon idiot de frère peut-il croire sa dégénérée d'ex-copine. Lui et sa putain de rédemption, croire que chaque personne a un bon fond, il me donne la gerbe. Mais avec tout ça, je vois l'opportunité qu'il réintègre la Bella muerte et tout redeviendra comme avant, la tornade Ortega réuni comme au bon vieux temps. Ça m'manque. Je soupire, passe ma main dans mes cheveux les frotte au passage. Je vais devoir rendre une petite visite à ce cher Vladimir, ce qui ne me réjouit pas des masses.

J'engloutis la pizza qu'Aaron m'a apporté. Tout en répondant aux innombrables mails. Être à la tête d'un gang n'est pas de tout repos.

C'est la tête plus reposée, allonger sur mon lit king size, que je sommeille d'un œil. L'image érotique de la rousse vient perturber mon repos, me filant une trique monumentale. C'est avec le souffle court que je termine de ma main ce que j'imaginai la poupée me faire.

_ Putain fais chier.

Nayra.

Je caresse du bout des doigts le visage endormi de Matt. Quelques mèches retombent sur sa joue et ses yeux, la vision face à moi du bad boy me rend fébrile. Je le sens frémir à mon contact, un petit rictus apparaît sur sa bouche pulpeuse, ses bras viennent m'entourer affectueusement.

_ Bonjour toi.

_ Bonjour beau brun, bien dormi ?

_ Hum pas assez à mon avis avec les prouesses qu'on a faites, princesse.

Je glousse en pensant à cette vision diablement sexy, Matt a était juste incroyable, tantôt doux, sauvage, j'en ai encore des frissons. Il enfouit sa tête dans mon cou, parsème celui-ci d'une multitude de baisers. Je soupire d'aise sentant ses lèvres glisser sur ma clavicule.

_ J'aime ton odeur princesse, ça me donne encore plus envie de te goûter.

_ Et je ne vais pas t'en empêcher. Lui dis-je un ton espiègle.

Ses dents mordillent ma peau et mes mains viennent s'enfoncer dans sa tignasse, je tire légèrement dessus, ce qui le fait gronder de plaisir.

_ Tu as envie de faire quoi aujourd'hui ?

_ Pour le moment, c'est toi dont j'ai envie.

Je ferme les yeux pour apprécier le toucher du brun qui est devenu plus pressant.

_ Humm... Matt.

Sa tête glisse sous la couette, quant à ses lèvres, elle son déjà sur mon ventre, elle le cajole avec douceur. J'agrippe les draps, sous les assauts passionnés du bad boy. Bon sang Matt et sa langue magique, je ne m'en lasserai jamais. Ses mains font glisser ma petite culotte, qui je suis sûre est déjà trempée.

_Toujours prête pour moi bébé. Dit-il une voix sensuelle.

Il embrasse langoureusement ma féminité, celle-ci pulse d'excitation. Mes gémissements se transforment vite en cri de bonheur, quand il insère ses doigts. La boule dans mon bas-ventre s'intensifie. Je ne peux contrôler les tremblements de mes jambes. Quand il s'arrête d'un coup. Il se redresse avec empressement et tire un préservatif de sa table de chevet, je ne l'ai jamais vu s'activer à une tache aussi rapidement ce qui me fait pouffer de rire.

_ Tu riras moins dans 2 secondes, princesse.

Après avoir prononcé sa phrase Matt s'enfonce entre mes cuisses, me laissant pantoises par l'effet de la bête. Les va-et-vient du brun sont brutaux. Quant à moi, je suis plus qu'un brasier en éruption. Mes ongles s'enfoncent sur ses omoplates, le griffant au passage. Matt adule mon corps comme si s'était son bien le plus précieux. J'aime tellement, oui bordel, j'aime ce qu'il me fait ressentir. Nous sommes essoufflés, Matt continue de me labourer, ces grognements bestiaux décuplent mes sensations. Je lui hurle à quel point, j'aime le sentir en moi. Je le somme d'aller plus fort,d'aller plus vite. L'apothéose vient nous prendre dans un accord parfait.

 L'apothéose vient nous prendre dans un accord parfait

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_ Bordel ... je t'aime Matt.

_...

❤Chapitres 13 terminé❤
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Perfect Love (Is It Love Matt)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant