la rencontre.

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Aujourd'hui mes parents sont partis pour la journée ils reviendront en soirée. Ma tante elle ne rentra pas avant deux jours pour son travail, ce qui veut dire que je suis seule aujourd'hui. J'ai dit aux domestiques de prendre leurs journées de congés que je ne dirais rien à ma tante, je suis assez grande pour m'occuper de moi-même.

Je décide de fouiller un peu dans la villa pour savoir dans quoi ma tante travaille, mes parents mon dit qu'elle travaillait en tant que patronne en œuvre d'art, qu'elle vendait beaucoup d'œuvre d'art et que ça lui rapportait bien mais j'en doute, je ne sais pas pourquoi. Alors je fouille partout pour trouver quelque chose d'intéressant. Dans son bureau il y a un tiroir fermé à clé, c'est là-dedans que se trouve les informations que je veux. Je devrai lui piquer les clés quand elle rentra.

Je regarde l'heure il n'est que onze heures du matin je passe par ma chambre et va mettre un maillot de bain deux pièces de couleur noir. J'attrape au vol une serviette de plage et mon huile de bronzage et mon portable ainsi que ma baffe pour écouter de la musique et je descends à la cuisine prendre une petite bouteille d'eau. Maintenant Direction la plage

Je m'installe t-elle une sirène, allume la musique, les lunettes de soleil sur le nez, de l'huile sur le corps et je me repose dans la tranquillité, bercé par le bruit des vagues et de mes chansons. Quand une ombre se mets face à moi me privant le soleil, je n'ouvre pas mes yeux en pensant à mon père vu l'ombre de ce gabarit qui me cache complètement du soleil

- ce sont des plages privées ici alors va-t'en. Me dis une voix masculine.

J'ouvre les yeux à l'instant même où la personne a parlé. Et déjà d'où il me parle ainsi celui-là ! Je ne le connais pas, sûrement un domestique qui n'a pas eu l'information du prenez votre journée. Il ne doit pas savoir que je suis la nièce de Katia.

- hum merci du conseil. Je suis chez moi ici, vous avez votre journée pour aujourd'hui. Disparaissez avant que je vous face virer. Le menaçais-je.

Le garçon face à moi rigole à mon nez, je ne comprends pas de ce qu'il y a de drôle, il continue de rire ce qui m'énerve. Et là, monsieur s'installe sur ma serviette en face de moi et il me fixe tout sourire.

- bouge de ma serviette abruti. M'emportais-je.

- du calme la diva, toi tu n'es pas d'ici.

- bien sûr que si ! Je vis ici, et je ne vois pas en quoi cela te concerne.

- vois-tu miss pète cul, j'aime bien me renseigner sur une jolie demoiselle quand j'en vois une. Me répondit-il en souriant

Mais pour qui il se prend celui-là !!! Attend, tu vas voir !

J'avoue qu'il est plutôt beau garçon, il est châtain clair, yeux noisette, vraiment pas mal, mais qu'est-ce que je raconte-moi !!!

- écoute moi bien monsieur roi du monde tu vas descendre de ton podium et vite fais bien fait et dégager tout de suite de ma serviette. Et tout de suite pauvre abruti.

- ah ah ah. Mais il ce fou de moi !!! Trop drôle je t'assure, tu devrais voir comment tu es marrante, ferme là le moustique tu ne piques pas plus que tu aboies.

- laisse tomber je m'en vais. Dis-je en me levant

- non attend je rigolais, je vis à la villa sur la gauche, et comme j'ai vu que tu étais seul suis venue te saluer. Me dit-il tout sérieux

- bien, salut.

- seigneur que tu es chiante. Assieds-toi va. Moi c'est Julio et toi comment tu t'appelles ?

Rocinah vivra.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant