Riccardo.

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- mais tu te prend pour qui pauvre con.

- je suis ton commando je te signale. Et tu v'as vite la fermer. Tu dois faire ce que je te dis et que ça te plaises ou non et sans discuter mes ordres.

- mais va te faire foutre.

- Laylah joue pas à ce petit jeu là avec moi.

- si non quoi ? Tu pense faire peur à qui sérieux.

- vous allez arrêter de vous disputer sérieux. Vous nous donnez mal au crâne à force de gueuler en longueur de journée. On dirait des gamins sérieusement. Nous crie matheo dessus

- je suis désolé math, mais je fermerais pas ma gueule pour un idiot dans son genre.

- et moi encore moins pour une petite pouffiasse comme elle.

- mais là pouffiasse elle t'en merde grosse merde. Et profondément.

Arrrg j'en peux plus de lui !! Qu'elle caractère de cochon il peut avoir celui-là ! Je vais finir par l'étrangler ma parole.

- Laylah viens la.

Je suis Justin et nous sortons dehors avant que ça n'aille plus loin.

- qu'est-ce qu'il sait encore passer ?!

- monsieur ce crois tout permis il a cru quoi lui en vrai ?

- c'est vrai qu'il abuse en ce moment. Nous dis Jeny

- à tu crois !

- t'es pas obligé de me parler mal Laylah

- désolé, c'est juste que je suis à crans en ce moment.

- je te comprend tu sais.

- il va finir par ce calmer t'en fait pas. Me dit mon frère.

- ça fais deux semaine qu'il est ainsi j'en peux plus je le supporte plus. Il n'a plus rien de celui que j'aimais.

- Effectivement. Celui que tu as connu est mort. Lance Raphaël

Je me retourne choqué je ne pensais pas qu'il était là.

- à cette condition là tu aurais du l'être pour de vrai.

- Laylah !!! Me hurle ma meilleure amie choquée

- Quoi !? C'est la vérité, t'es qu'une merde Raphaël.

- t'a gueule Laylah

Sans plus attendre je lui envois une gifle monumental sous le regard de choquer de mes amis et je m'en vais.
Je ne sais pas ce qu'il ce passe dans ça tête mais je n'arrive plus à le supporter. Il est toujours froid avec moi il me parle mal je ne comprend pas pourquoi, puis il faut dire que je ne ferme pas ma gueule non plus. Je m'allonge dans mon lit, croise mes jambes et mets mes bras derrière ma tête et ferme les yeux. Quand on toque à ma porte.

- ouais ?

- laylah on doit monter à rocinha tout de suite. M'informe Math

- pourquoi ?

- on ce fait attaquer.

Je me lève d'un coup, me précipite dans mon dressing et j'attrape ma mitraillette et mes chargeurs et mes dagues chinoises.
Je me précipite vers ma voiture et entre dedans aussi vite quand une personne s'installe à ma droite. Raphaël. Je ne prend pas le temps de lui répondre que j'ai déjà démarré. J'accélère de plus en plus vite, je double les personnes qui sont devant moi à toute allure certain me klaxonne, d'autre doivent m'insulter.

Rocinah vivra.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant