Chapitre 5 : Un mariage contre du métal

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Un paquet avait été glissée dans la boite aux lettres de Laure. Elle savait ce que c'était, et cela émerveilla en partie sa journée. Elle avait reçu les fameux rubans qu'elle avait commandé, il y a de cela 1 semaine. Après avoir vérifié quelle n'avait pas d'autre lettre, elle remonta d'un pas presser vers chez elle. Arrivé dans sa chambre, elle s'empressa de déchirer le carton et de enfin toucher l'objet du problème. Le ruban était enroulé sur deux bobine métallique d'un bout à l'autre, le ruban lui-même avait une partie noire et une partie rouge. Elle se repencha devant la machine, ce questionnant de la façon de procéder pour installer le mécanisme. Internet fut vite la solution, et puis après tout il fallait faire preuve de précaution. Elle fit chaque étape qui étaient énoncée sur le forum qu'elle avait trouvé. Premièrement, elle appuya sur la touche Majuscule verrouillé, ce qui eut comme effet d'abaisser tous les caractère (qu'elle avait appris comme étant "la corbeille"). Deuxièmement elle plaça les deux bobines dans des trou à gauche et à droite de la machine, trou prévu à cet effet. Et enfin, elle tritura le petit ergot se tenant juste devant la feuille pour y faire passer le ruban dans deux encoches. Maintenant que ce travail fastidieux aux yeux de Laure fut terminé, elle re enclenchât une feuille dans le mécanisme, et réitéra son expérience. Bingo ! En pressant la touche F, un f se marqua sur la feuille, dans un claquement auquel elle s'était accommodée maintenant. L'esprit satisfait, elle regagna la salle de vie pour y lire. Non pas un nouveau roman, car elle n'en avait plus à terminer, ni d'envie d'en commencer. Elle se remit à lire l'histoire de la boite à biscuit.

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20 juillet 1939

Bonjour Monsieur Mirabeau

Je souhaiterais m'entretenir plus amplement sur notre dernier arrangement. Je sais que vous n'êtes pas enclin pour l'instant à marié votre fille à mon fils, et je vous comprends. Pour l'instant vous ne tirai aucun n'avantage de cette union, mais voyez les choses à plus long termes. La classe politique qui est pour l'instant vos principale actionnaire est voué à disparaître, car elle a fait son temps, car elle est contreproductive pour la France. L'avenir est dans l'alliance, et la paix. Vous voyez comme moi l'issue prochaine. Si nous nous entêtons à mener une politique de répression, la guerre viendra. Je suis ahuri des exactions menait par nos allier, le premier ministre Chamberlain place notre coalisions en perdition. Rangée vous de mon côté, et venez unir nos familles, pour le bien de votre économie dans les années à venir. Car de tout évidence si l'Europe entre en guerre, vous perdrai beaucoup de client. Quand on est patriote, on a tendance à acheter chez soi.

Je viens aussi vous informer que l'aviation est en pleine essor c'est dernier temps, et ceci car l'effort de guerre arrive, car tout le monde l'attend cette guerre. J'ai entendu que l'entreprise SNCASO sont en plein développement d'un nouvel aéronef bimoteur. Je penser pouvoir faire monter votre entreprise par mes relations, pour disons un contrat avec le ministère de l'armement. Vos usines de métallurgie et de fonderie pourraient nous être utile, et pour longtemps. Encore faut-il que vous soyez encore dans mes bons papiers, et votre fille aussi.

Bien à vous

M. Flaudin

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M. Flandin ? Laure connaissait ce nom et pourtant elle n'arrivait pas à mettre la main sur les relations qu'il avait avec la famille Mirabeau. Elle refouilla les lettres, et elle comprit. M. Flandin est le père de Marianne, la Marianne que Alice parlée il y a de cela deux mois. Dieu seul sait comment en l'espace de ce temps elle était devenue aussi importante dans la vie des Flandin. Elle déduisit un peu au hasard que le fils Flandin, prétendant de Alice était Raymond, à moins qu'il n'y en avait d'autres.

Un aigle sur un champ de bleuetsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant