Comment vont réagir les membres de la Don Quichotte Family, lorsqu'une ancienne membre de la Famille, revient du jour au lendemain demander au manoir? Et pire encore que Doflamingo, lui-même décide pour une obscure raison de la pardonner et de la la...
C'est donc sous l'emprise d'un chant mystérieux, que Sugar et moi quittons le manoir, incapable de retrouver la maîtrise de nos corps. En passant l'imposante porte du manoir, Dellinger nous avait vu et ce dernier essaya même d'attirer notre attention mais rien n'y fait alors il s'est précipité pour rentrer affolé prêt à aller rapporter à Doflamingo et aux autres ce qu'il venait de voir. A peine il pose le pied à l'intérieur de la propriété qu'il tombe sur l'avis de recherche concernant Kyoko coincé dans l'embrasure de la porte et commence à parcourir la feuille des yeux surpris. Mais interrompt sa lecture en découvrant Law et Doflamingo accourir au rez-de-chaussée pour venir voir ce qu'il se passait, eux-aussi alertés tout d'abord par les bruits de bagarre provenant de la cuisine du manoir, puis par celui de l'énorme porte d'entrée qu'on essaye d'ouvrir.
- Que se passe t-il encore Dellinger?
- Oulalala! Capitaine, je viens de croiser Kyoko et Sugar en train de sortir du manoir, elles avaient les yeux bizarres, complètement sombres et inexpressifs et elles ne m'ont même pas reconnues. Elles se sont justes contentaient de marcher comme des robots.
- Des yeux sombres et inexpressifs. On dirait...
- Grr. De l'hypnose. Conclut Doflamingo en fixant la porte ouverte, d'un air préoccupé mais en s'efforçant de ne rien laisser paraître.
- Oulalala ! On fait quoi maintenant ?
- Fufufu. Comment ça on fait quoi on va à leur poursuite bien sûr triple idiot. Grogne Doflamingo après avoir ordonné à Law d'aller avertir Trebol pour qu'il le rejoint au port avant qu'il ne soit trop tard.
- Au fait, je viens de trouver ça. Dit-il en tendant l'avis à son chef en espérant que ce dernier puisse le donner plus d'informations.
- Alors c'est à cause de cet avis que les hostilités ont commencés dans la cuisine tout à l'heure. Réalise le grand corsaire en repensant aux échanges tendues entre Sugar et Kyoko, qu'ils avaient entendu grâce à son escargophone et celui qui était dans la cuisine. Comme quoi savoir s'attirer des ennuis c'est dans les gênes, qu'elle petite peste celle-là.
Alors que le reste de la Family était à notre poursuite dans les rues de Dressrosa en pleine nuit, de notre côté toujours sous l'emprise d'un ensorcellement, Sugar et moi marchons jusqu'au port où nous attendaient un navire pirate dont le drapeau avait comme emblème une sirène armée d'un arc et d'une flèche visant l'horizon, avec à son bord six femmes à la beauté fatale et si particulière, aux corps gracieux et longilignes, la seule chose les différenciant des femmes humaines lambda étant les deux membranes filandreuses identiques à des branchies amphibies à la place de leur oreilles.
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Une particularité physique propre au peuple des mondes sous-marin et ici, plus particulièrement des sirènes. Aussi appelées les ensorceleuses des mers. En raison de leurs terribles pouvoirs psychique en particulier le talent de manipulation mentale, qui fait d'eux des créatures à la fois unique et cruelle, sans parler de leur soif insatiable de d'or et de sang. En nous voyant arrivées docilement, celles-ci se mettent à glousser joyeusement pendant que l'une d'elle me tend élégamment la main pour m'aider à monter à bord de leur navire.
