Narnia 3 : Le passeur d'aurore [Terminer]

Coriakin

Edmund qui venait de regarder le manoir apparaitre, se retourna en entendant des bruits provenir de derrière eux, comme tous le monde d'ailleurs.

Tous purent voir Eustace.

- Je trouve ca vraiment énervant que tous le monde me laisse tomber, dit il en se secouant les bras mais il se stoppa en voyant les nains.

- C'est le cochon, dit un des nains faisant rire Kaien suite au surnom de Eustace.

- La situation devient de plus en plus étrange, continua t'il.

- Étrange ?

- C'est lui qui nous trouve étrange ?

Sortant du manoir, un homme habillé d'un long manteau qui trainait sur le sol et Lucy s'approchèrent du groupe.

Les nains prirent peur et se cachèrent derrière les marins en même temps qu'ils disaient a répétition : L'oppresseur.

Éoria se plaça a gauche de Caspian avec son frère tandis que l'Oppresseur s'inclinait devant le roi.

- Votre majesté, dit il tandis que Edmund rangeait son épée.

- Caspian et Edmund, commença Lucy. Je vous présente Coriakin. Nous sommes sur son île.

Caspian et Edmund accompagné des enfants d'Aslan s'inclinèrent tandis que le chefs des nains qui était caché derrière Edmund s'exclama.

- Ça c'est se qu'il croit. Vous nous avez jouez un tour magicien.

Coriakin s'avança vers le chef avec les autres tandis que les nains reculaient en sautant.

- Non, je ne vous est joué aucun tour. Je vous est rendu invisible pour votre sécurité.

- Vous avez le sens de l'humour, dit le chef.

- Moi je dirais plutôt qu'il est fou.

- Je ne vous est jamais oppressez voyons, continua t'il calmement.

- Mais vous auriez pu si vous aviez voulu, continua le nain a la barbe rousse.

- Disparaissez, dit il en sortant quelque chose de sa poche et en l'envoyant dans les airs effrayant encore plus les nains qui partirent sans demander leur reste.

- Qu'est se que c'était ? lui demanda Lucy.

- Ne dites rien mais se n'est que de la poussière, répondit Coriakin faisant sourire la fille du grand lion.

- C'est quoi ça au juste ? demanda Eustace a l'Oppresseur.

- Des Dufflepuds, répondit il simplement en retournant vers son manoir avec Caspian, Edmund, Lucy, Drinian et Eustace.

Il s'arrêta devant les enfants d'Aslan qui l'observèrent sans dire un mot.

- Vous êtes ces enfants ? leur demanda Coriakin tandis que Kaien approuva d'un signe de tête. Je sais la raison de votre venu. Venez avec moi.

Tous suivirent Coriakin dans son manoir en silence.

- Pourquoi avez vous dit que vous vouliez les rendre invisible pour leur sécurité ? demanda Lucy curieuse.

- Ca semblait le meilleur moyen de les protéger du mal incarné, répondit Coriakin.

- Vous parlez du brouillard ? demanda Edmund derrière avec Caspian.

- Je parle de se qui est tapi derrière le brouillard, corrigea Coriakin en le regardant.

Suite a cela, tous le monde entra dans la pièce qui était une immense bibliothèque. Éoria qui se tenait près de Caspian observa le magicien sortir un parchemin de sa poche et sous les yeux de tous le monde, il l'étendit sur le sol.

Sous leurs yeux ébahis, le contour de la carte se mit a prendre vit et on pouvait voir quelques moments importants dans l'histoire de Narnia. Dans un coin, on voyait un centaure soufflé dans une trompe. Au milieu on distinguait un chevalier en armure chevauché une licorne. A ses côtés se trouvait un centaure brun avec a leur pieds, 2 guépards.

Éoria se retint de pleurer en voyant cela. Elle se souvenait de Eoris et de comment elle l'appréciait par le passé.

- C'est splendide, commença Eustace en volant les mots de Kaien. Ça le serait encore plus si tout se que je vois était réel.

Éoria leva les yeux au ciel tout en se concentrant sur le magicien qui s'approchait.

- Voici l'origine de tous vos malheurs, commença Coriakin en pointant une ile.

Sous leur yeux, la carte prit vit et tous purent voir une ile noire avec de la fumé verte qui s'en échappait.

- L'île de la nuit, continua le magicien en se plaçant devant Edmund. Un lieu ou le mal règne en maitre. Il peut prendre toutes les formes et il peut faire en sorte que vos pires cauchemars se réalisent. Il est en guerre contre le bien depuis toujours.

Kaien lança un regard a Edmund qui le regarda aussi.

- Il veut plonger le monde dans l'obscurité.

- Comment l'en empêcher ? demanda Lucy qui fit que Coriakin se plaça devant elle.

- Sa malédiction doit être brisé, répondit il avant de se tourner vers Edmund. Cette épée que vous portez. C'est l'une des 7 qui existent ?

- Vous les avez vu ? lui demanda Edmund.

- Oui.

- Les 6 seigneurs, continua Caspian. Vous les avez croisés ?

- Absolument, lui répondit le magicien.

- Et où allaient ils ? continua le roi.

- La où je les ait envoyés.

La carte se remit a bouger avant de s'arrêter sur une autre île.

- Pour briser le charme, vous devrez suivre l'étoile bleue, jusqu'à l'île de Ramandu. Vous devrez déposer sur la table d'Aslan les 7 épées. Se n'est que là que leur pouvoirs magiques pourra être révélé.

Caspian échangea un regard avec Éoria qui se contenta de lui rendre son regard sans rien dire.

- Mais prenez garde. Vous allez tous, sans exception, être testé.

- Testé ? dit Lucy.

- Tant que ces 7 épées ne seront pas réunis, le mal aura toujours l'avantage et il fera tous se qui en son pouvoir pour vous tenté. Soyez fort, termina t'il.

Éoria se raidit suite a ces mots mais Caspian mit sa main sur son épaule afin de la calmer se qui fonctionna a moitié.

- Ne cédez jamais a la tentation, continua Coriakin en se plaçant devant la fille d'Aslan. Afin de vaincre le mal sur la terre, vous devez d'abord vaincre le mal qui est en vous.

Suite a ces mots, Kaien regarda sa soeur qui regardait l'île de Ramandu.

Caspian s'approcha et d'un commun accord, ils partirent vers la sortie.

- A quoi penses tu ? demanda Kaien a sa soeur une fois de retour sur le bateau.

Cette dernière le regarda avant de se diriger vers sa cabine voulant lui parler en privé. Une fois dans sa cabine et la porte fermé, elle s'assit sur son lit.

- On devra faire un choix, lui dit sa soeur. A la fin de tous cela. Enfin, si on y survit évidemment.

- Je sais mais vivons le moment présent et je suis sûr qu'on survivra à tous cela. On doit resté uni.