Aomine Daiki x reader : partie 2

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Tu te réveillas à cause du bruit de la porte, tu ouvris les yeux et croisas le regard de madame Aomine.

Désolée, je pensais que vous étiez réveillés vu qu'il est déjà onze heures, s'excusa-t-elle doucement.

C'est pas grave, ne vous inquiétez pas, répondis-tu, en te redressant.

Daiki grogna, dans ton cou et te rapprocha de lui. Tu soupiras, tandis que sa mère sourit, attendrie par la scène.

Enfin, je suis venue pour vous demander si vous aviez besoin de quelque chose, parce que je pars faire les courses, dit-elle souriante.

Ah...euh comment dire ? J'aurais besoin de hauts sans manches, je ne peux pas enfiler de t-shirt, mais je vous rembourserai la totalité de la somme, demandas-tu gênée.

D'accord, je vais voir ce que je trouve et pas la peine de me rembourser, ça me fait plaisir. Tu dois être la première fille qu'il ramène ici, qui pourrait faire office de belle fille, bonne fin de nuit, te dit-elle, malicieusement, alors que tu prenais encore une autre teinte de rouge.

Quelques secondes après avoir fermé la porte, tu étais toujours rouge écrevisse et Daiki te serra encore plus contre lui, dans son sommeil. Bercée par sa respiration régulière, tu sombras, encore une fois, dans les bras de Morphée.

Une heure plus tard, tu te réveillas une seconde fois, car une main se baladait doucement dans tes cheveux, tu redressas la tête vers le visage de Daiki, il te fit un baiser sur le front et il se redressa délicatement contre le mur, avec toi toujours dans ses bras.

La belle marmotte se réveille enfin, se moqua-t-il, gentiment.

Je te signale que j'étais réveillée avant toi, mais que je me suis rendormie, répondis-tu, en gonflant les joues.

Oui, oui, c'est ça. Avoue juste que t'es une marmotte, c'est plus simple, continua-t-il.

Mais c'est vrai ! Ah, au fait, j'espère que t'avais besoin de rien ta mère est partie faire des courses et tu dormais, donc t'as pas répondu, déclaras-tu en levant les yeux vers lui.

Non c'est bon, j'ai besoin de rien. Bon, il faudrait songer à se lever vu qu'il est midi passé, on va rater le repas à cause de toi, la marmotte, dit-il, en te faisant un clin d'œil.

Se foutre du monde, c'est comme ça que ça s'appelle, rétorquas-tu, en lui donnant un petit coup de poing sur le torse.

Ma petite t/p, tiens c'est pour toi, lança madame Aomine, en entrant dans la chambre avec un sac, coupant Daiki dans sa réplique.

Il vous regarda l'une après l'autre, se demandant ce que vous maniganciez. Tu sortis les quatre hauts qu'elle avait acheté et la remercias de tout coeur, elle sortit de la chambre, aussi vite qu'elle est arrivée, avec un sourire attendri. Tu enfilas un des hauts, pour le malheur de notre pervers national et vous vous dirigiez au rez-de-chaussé, pour manger le repas de midi.

Une fois celui-ci fini, vous parlez encore de vous pendant plusieurs heures. Tout se passait bien, aucune dispute à l'horizon.

Ellipse de trois jours

Avachis dans le canapé, devant un documentaire animalier, définitivement une passion pour vous deux, on toqua à la porte, madame Aomine laissa entrer un arc-en-ciel de Power Rangers, qui voulaient prendre de vos nouvelles.

Tous étaient surpris de vous voir si proche en seulement trois jours et toi aussi, pour ne rien cacher, en très peu de temps, tu étais tombée amoureuse de Daiki, mais, honnêtement, tu avais peur de lui dire, peur de sa réaction.

Daiki, lui, était absolument perdu, il n'avait jamais ressenti ça pour personne, mais il savait qu'en ce moment il ne voulait qu'une seule chose, t'embrasser et te serrer dans ses bras encore et encore. Ce sentiment était légèrement bizarre pour le grand, le seul et l'unique Aomine Daiki.

Trois heures plus tard, la GDM quitta l'habitation, vous laissant seuls, dans la chambre de Daiki. Pendant la visite de vos amis, certains d'entre eux, Akashi et Tetsu surtout, avaient posé des questions auxquelles vous réfléchissiez encore, le silence régnait donc sur la pièce.

Tu soupiras et posas ta tête sur l'épaule de ton âme sœur assise à tes côtés, il soupira lui aussi et vous fit basculer sur le dos, de façon à ce que tu te retrouves la tête dans son cou et de son bras libre, il t'enlaça, comme si tu allais partir d'un instant à l'autre.

À cet instant, vous aviez la réponse à toutes vos questions. Aucun de vous deux ne voulait faire le moindre geste, néanmoins, Daiki vous releva, il te plaça sur ses genoux face à lui. Le regard que vous échangiez ne laissait transparaître aucune hésitation, quant à ce que vous ressentiez.

Vos lèvres se rencontrèrent dans un baiser tendre et doux, vous vous sépariez et vos mains se décollèrent enfin. Tu admirais ton âme sœur en souriant, Daiki te bouffait du regard, il te trouvait magnifique, déjà en manque de tes lèvres, il se jeta sur elles. Ses bras te collèrent encore plus à lui et tu mis les tiens derrière son cou, sa langue demanda un accès à ta bouche, que tu donnas immédiatement.

Putain, tu sais que je t'aime toi, dit-il en recollant vos lèvres dans un baiser passionné.

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