𝑙𝑜𝑣𝑒 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑠𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑏𝑢𝑡 𝑦𝑒𝑡 𝑟𝑒𝑎𝑙//𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑢𝑠𝑒

Chapter 5...

1 semaine plus tard...

Cela fait maintenant une semaine que je suis là et logiquement je sors aujourd'hui. Je vais un peu mieux mais les médecin m'ont dis que ça passerai avec le temps, du repos et les médicaments. Mon frère est venu me voir quelques fois car il avait quelque chose à "régler", j'espère que ce n'est pas super grave parce qu'il peut vite se mettre dan sua merde quand il veux. Heureusement pour moi Baptiste et Nathan ne ce sont pas recroiser depuis leur dernière "discussion", enfin, si on peut appeler ça comme ça. Contrairement à Nathan, Baptiste est venu me voir tous les jours, il a quand même réussit à me faire sourire malgré le fait que je sois cassé dans tous les sens. C'est même lui qui viens me chercher toute à l'heure. J'ai hâte de sortir d'ici et de pouvoir sentir l'air frais sur mon visage et une autre ambiance parce que j'aime pas trop l'ambiance qui règne ici... Je suis sur mon téléphone attendant patiemment qu'une infirmière vienne et me dise que je peux sortir, j'attend aussi Baptiste... J'ai regardé quelques rediff de ces lives et je m'étais fait une idée reçu, il n'est pas aussi énergique que je me l'imaginer. Je trouve qu'il sais même un peu calmé mais je préfère largement le Locklear que je connais... Je suis sur mon téléphone quand j'entend la porte toquer et vois l'infirmière et Baptiste rentraient dan sua pièce.

Baptiste: Bon mauvaise nouvelle, tu reste encore une semaine...

Mon sourire s'efface directement. Quoi ? Sérieusement ?

Baptiste: Je rigole poupée.

Moi: Que tu es con des fois...Dis-je mis rassuré mis amusé.

L'infirmière s'approche et retire les derniers fils au quel j'étais encore relié. Je me lève et commence à marcher mais une violente douleur à la cheville m'arrête dans mon élan et me rassoit.

Infirmière: Je vais vous passer une athèle et des béquilles, je reviens.

Elle part presque en courant, chercher le matériel.

Moi: J'ai un mauvais souvenir des béquilles...

Baptiste: Pourquoi ?

Moi: Quand j'étais petite j'en avais et ça c'était super fatiguant du coup depuis j'ai toujours fait attention.

Baptiste: Oh percher ! On a un mauvais souvenir avec les béquilles ! Tu veux ton doudou pour allez mieux ?Me dit-il en prenant une voix d'enfant

C'est toi mon doudou imbécile !

Moi: Ce n'est pas drôle !Dis-je amusé.

L'infirmière arrive et me met l'athèle comme il faut. Je me relève une seconde fois et j'arrive à marcher sans les béquilles. Nous signons les papiers de sortie et sortons de cette torpeur. Un pied dehors et je me sens déjà mieux. Je boite légèrement, Baptiste veux m'aider mais je lui dit que je n'ai pas besoin. Nous arrivons devant sa voiture et rentrons tout les deux.

Baptiste: Tu veux allez où ? Je suppose que tu ne veux pas t'enfermer chez toi maintenant ?

Moi: Tu n'as pas tord. Tu connais un café pas loin ?

Baptiste: Euh oui. C'est à 20 minutes d'ici.

Il démarre la voiture et sors du parking. Le chemin se passe dans le silence, seul la musique de la radio se faisait entendre mais une question me brûle les lèvres depuis le début de notre rencontre. J'hésite à lui poser la question. Apres tout, il n'y a qu'une manière de savoir.