𝑙𝑜𝑣𝑒 𝑖𝑚𝑝𝑜𝑠𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑏𝑢𝑡 𝑦𝑒𝑡 𝑟𝑒𝑎𝑙//𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑢𝑠𝑒

Chapter 8...

Point de vue Eva...

Je suis sur le canapé attendant Baptiste qui est au toilette. Oui ce n'est pas super classe mais bon, on n'y peux rien... Je suis habillée assez simplement mais j'aime beaucoup. J'ai un jean troué noir, un t-shirt blanc avec un dos nu et des petites converses blanche. Niveau maquillage parce que oui maintenant j'ai du maquillage ! C'est Lila qui me l'a acheté pour aucune raison particulière juste ça lui faisait plaisir. Un peu de mascara et un gloss brillant. Je me suis aussi lissé les cheveux. Pendant que j'étais sur mon téléphone, Baptiste sort de la salle de bain. Il était habillé d'un jean slim bleu, un t-shirt moulant noir et des Air force 1 toutes noires.

Baptiste: On y va ?

Moi: Ouaip !

Je me lève et rejoint Baptiste, il me reluque de la tête au pied je dois avouer que je suis légèrement gêné. Jusqu'à ce qu'il sorte, la phrase qui me fait devenir rouge vif...

Baptiste: Tu es magnifique.

Mon coeur à louper un battement je crois...

Moi: Tu es pas mal non plus.

Il sourit et me laisse passer devant. Nous arrivons à sa voiture et montons dedans. Mais il manque quelque chose...

Moi: Je peux mettre de la musique ?

Baptiste: Tous ce que tu veux sauf Bim Bam Boum ou Wejdene.

Moi: Sinon quoi ?

Baptiste: Tu le regrettera.

Je joue avec le feu je sais mais rien que d'imaginer sa tête si je met cette musique, il va me tuer. Je cherche LA musique qui ne fallait pas et la lance...

Moi: ET CA FAIT BIM BAM BOUM ! CA FAIT PSHIT ET CA FAIT VROOUM !

Baptiste: Enlève ça !

Moi: ET CA FAIT BIM BAM BOU- Oh mais non ! Tu as coupé !

Baptiste: Je t'avais prévenu !

Moi: Pfff... Tu es nul. Je te boude.

Je tourne la tête en direction de ma fenêtre et fais semblant de bouder comme une enfant de 5 ans. Je l'entend rigoler et j'essaye tant bien que mal à rester sérieuse.

Baptiste: Allez, tu bouderas quand je t'aurai mis la pâté aux bowling !Dit-il en déposant sa main sur ma cuisse.

La même chaleur que d'habitude venais envahir mon corps...

Moi: N'importe quoi ! C'est toi tu va chialer en voyant ta défaite !

Baptiste: Allez arrête !

Nous sommes arriver et il enlève sa main. Il trouve une place et comme si la météo le faisait exprès, il commence à pleuvoir. Nous sortons et commençons à courir en direction du bâtiment. On rentre trempé, les autres sont secs et quand ils nous voient arriver, ils ont compris qu'ils resteraient à l'abris encore un moment... Apres avoir un peu séché, on commande nos parties. On va à la piste indiqué. Baptiste lance la première boule, il en a fait tomber 3.