•TYANA•
Il avait quand même fini par arriver. Il était venu me prendre, habillé de son trente et un comme d'habitude, c'était le genre d'homme pour qui l'apparence comptait.
Après des au-revoir avec les personnels de santé nous descendons au parking où était garé sa voiture. Toujours dans un silence calme mais assez joyeux de son côté on roula jusqu'à la maison.
Il avait mis de la musique, me parlait tout en souriant, il me narrait son boulot etc. Bref il voulait vraiment faire la discussion mais moi j'etais absente, plongée dans mon mal.
On fini par arrivé à la maison. Galant comme jamais il veint m'offrir la portière et m'aide à sortir de la voiture.
La maison avait l'air bizarre j'avais comme l'intuition qu'il se passait quelques choses. Et là on entre dans le salon lorsque:-BON RETOUR À LA MAISON!!! _Suivi de plein d'applaudissements
Je peux voir ma soeur Milly et son mari Alphonse, des amis de l'église, ainsi que des amis de Amir et mes collègues de travail. Pour être sincère seul la présence de ma soeur me faisait plaisir.
Milly : -Fais pas ta timide viens là me faire un câlin !
Je lui fais un câlin, je suis émue de la serrer dans mes bras et la culpabilité me ronge plus que jamais. On était deux filles dans la famille, comment j'avais été si égoïste jusqu'au point de lui laisser seule, laisser mes parents dans cette souffrance de ma perte et sans réponses à leur question.
Elle me regarde elle aussi émue, puis me sourit. Elle a toujours été jolie, elle est vraiment formidable.
Je suis couverte des bisous de partout, de câlin, des souhaits de rétablissement, mes collègues qui me faisaient rapports de mon congé maladie accordé et les gens de l'église qui me disait m'avoir accompagné dans la prière.
Je ne sais pas si tous ce gens étaient au courant que je ne parlais plus ou s'il avait remarqué juste sur place. Mais à un moment c'était devenu gênant de le voir me parler et entendre une réponse de m'a part et n'obtenir qu'un sourire ou un mouvement de ma tête. Ça me lacé et j'ai décidé de prendre congé.
J'écris une note à Amir pour lui dire que je ne me sens en forme et qu'il m'excuse au près de mes invités, puis je rejoins ma chambre. Une fois dans celle ci, je défais mes quelques bagages, cette pièce m'horrifie, elle a toujours été scène de mes malheureux violence physique. Il avait tout osé, me tabasser, me massacrer de coup de fouet, mais ce jour là il a poussé le bouton bien loin, il a osé me prendre de force avec toute sa brutalité.
À l'hôpital ils avaient bien compris la situation que je me faisais battre par mon mari, mais il fallait ma version, il m'ont posé plein de question auquel je n'ai pas vraiment répondu, je me suis limité à n'est pas nier ni affirmer quoi que ce soit, je n'avais pas osé balancer Amir , j'avais peur pour ma vie, ses menaces je les avais retenues.
Dans cette pièce à classer mes affaires je craque et je fini par fondre dans mes larmes.Milly: -Toc toc Tyana? Tu vas bien?
J'essuie illico mes larmes avant de répondre.
-Oui je vais bien juste un mal de tête
J'ouvre la porte
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Amant d'une femme marié ou Les Amants
RomanceLa chroniqueuse Angela_chro a l'immense plaisir de vous présenter cette chronique. Deux hommes, Deux femmes, Une chose les lie "Ils sont amants". •Mais vous savez ce qu'on dit ? L'amour n'est jamais plus beau que lorsqu'il est impossible •Par ce que...