Chapitre 1 ✅

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Pdv Elena:

J'entends quelqu'un monter les escaliers de la maison sans doute mon père mais je ne m'en préoccupe je n'en n'ai pas la force ni l'envie. Je continue d'admirer ma connerie, mon futur regret, ma liste est déjà longue mais je ne fait que de l'agrandir. Mon père frappe à la porte, je remarque à sa respiration saccadé et à la force de ses coups sur la porte qu'il est énervé, très énervé... Pris d'un frissons de peur je déside de mettre de l'eau en vitesse et de nettoyer rapidement mes poignets j'ouvre à mon père même si je sais déjà à quoi m'attendre, celui ci me regarde avec haine, il a bue sa put l'alcool.

Mon père: Vient-la sale pute je vais te régler ton compte! Qui t'a donner le droit de me voler de l'argent hein! On va voir si après sa tu va faire encore la maline.

J'ai pris de l'argent car c'est le seul moyen que j'ai pour me nourrir... Je ne mangerais pas si ça ne tenait qu'à lui, cette espèce d'alcoolique.

Moi : C'est le seul moyen que j'ai pour me nourrir car tu ne laisse pas même ta propre fille manger ! Dit-je hors de moi.

Lui : Ferme ta gueule t'es pas ma fille, tu ne l'a jamais été et tu n'a pas besoin de manger t'es déjà assez grosse !

Il me fous une droite puis me prend part les hanches j'essaie de me débattre mais j'en ai plus la force de toute façon sa ne change rien à la finalité de cette situation je serais roué de coup. Il me jette à la cave, il me prend le poignets se qui me laisse sortir un gémissement du au coupure fraîche, je vois qu'il y a quelques gouttes de sang qui coule le long de mon poignet, je prie pour qu'il ne les ai pas vu. Il commence alors part me donner des coups dans le ventre, les jambes, les bras et m'oblige à m'asseoir sur une chaise sur la quel il me torture. Je sens les larmes me monter au yeux.

...

Maman j'ai peur...

...

Quand est-ce que cela va-t-il s'arrêter...

...

Il m'attache les bras et les jambes, je n'en peut plus, j'attends le jour ou je succomberais à mes blessures.

Personne ne viendra, il prend un biquet et me crame littéralement la cuisse, j'hurle je douleur, je sens une vague de chaleur me traverser le corps et ma tête se mets à tourné. J'ai les larmes au yeux mais aucune larme ne tien à couler, j'en ai même plus la force et sa fait bien longtemps que je n'est pas pleurer, il me donne un dernier coup de poing sur le visage se qui me fait m'évanouir.

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Je me réveille avec des douleurs sur l'intégralité de mon corps alors que je n'ai même pas ouvert mes yeux. Je ne suis plus sur la chaise mais part terre, j'ai extrêmement mal partout, je tente de me lever mais n'y parviens pas mon corps fatigué de cette bataille contre mon père est en train de lâcher à chaque journée qui passe. Je m'aide du mur pour me lever et pour pouvoir commencer à marcher, ma tête me fais un mal de chien, après d'interminables minutes j'arrive dans la salle de bain histoire de voir se qu'il m'a fait.

Putain je suis horrible à voir je déteste mon reflet.

Ah ça c'est sûr je suis répugnante.

J'ai l'acade péter, un gros bleu sur ma joue, et d'énormes hématomes qui se forment sur les côtes, j'ai aussi la brûlure qu'il m'a fait, il faut vite que je désinfecte les plaies ensuite je peine à prendre ma douche je mets un gros pull et un bas de jogging, je vais dans ma chambre et m'allonger dans mon lit je lute contre insomnie, demain j'ai cours, c'est la rentrer je vais en prendre plein la gueule comme chaque fois que se soie part mon père et puis je vais m'en prendre plein la gueule part les élèves de mon lycée pour qui certain on développer une haine profonde envers moi sans raison.

J'ai mal partout...

Maman tu m'a oublié ?

Il faut que je dorme...

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BIP BIP... BIP BIP....

Je balance mon réveil par terre, il me casse les oreilles, c'est juste la pire création de l'homme, un frisson de douleur parcours mon corps, ça va être dure aujourd'hui. J'espère ne pas avoir réveiller mon père, je ne veut pas me faire frappé juste avant d'aller en cours. Je m'habille simple, je mets un jean noir puis un pull noir. Je mets des vêtements foncée histoire de pas attirer l'attention. C'est cliché vous me dirais ? Je sais mais c'est ma réalité.

Je camoufle mon bleu sur la joue avec du fond de teint j'en mets une bonne couche, fait chier ça fait tellement mal quand j'applique le maquillage sur ma joue...
Je n'y arrive pas on le vois toujours, je vais me débrouiller pour qu'on ne me prenne pas la tête aujourd'hui. Ce connard ma taper tellement fort que le bleu sur ma joue est devenu violet, je fait attention de ne pas faire de bruit, je prend mon sac et mes écouteurs et part, je ne prend pas à manger j'ai pas faim.

Je prend le bus et mets une playlist au hasard. J'arrive au lycée quelque minutes plus tard je vois des regards de haine sur moi je ne sais toujours pas pourquoi on ne m'aime pas, d'où vient leur haine ?

...

Maman toi aussi tu ressens cette haine envers moi ?

...

Il y a aussi des regards de pitié, je passe mon chemin et je me dirige à mon casier, j'ai toujours détester l'école, le collège et le lycée mais je me surpasse pour y aller. Je sort de mes penser quand je vois une silhouette qui me plaît pas du tous, Samantha une garces, elle est persuadée que je veut lui piquer son copain qui lui prend un malin plaisir à foutre encore plus la merde dans ma vie. Je fait demi tour et comme de part hasard je tombe nez à nez avec Tyler, le copain de Samantha, le mauvais sort s'acharne sur moi aujourd'hui, tous y est pour que je passe une journée de merde. Il analyse mon visage et fonce les sourcils sourcils une fraction de seconde.

Tyler : Tiens donc qu'est-ce que tu fait ici la coincée ?

Moi : Si t'étais moins con tu serais que je suis venu ici pour aller en cours alors tu va me faire le plaisir de bouger ton cul et d'me laissée passer.

Tyler : Oula mais c'est qu'elle sort les griffes et qu'est-ce que tu fais si je veux pas te laissée partir ? Dit-il en se rapprochant de plus en plus de moi.

Moi : Laisse moi partir bordel ! Je commence à me débattre. Viens le tour de l'autre conne qui nous à remarqué.

Samantha : Mais t'en a pas marre de rester coller à mon copain ? Tu vois pas à quel point t'es ridicule à force, on vient à peine d'arriver que tu lui saute déjà dessus. Dit-elle faussement triste et assez fort pour attirer l'attention.

Moi : C'est pas moi qui lui parle, dit à ton truc qui te sert de copain d'arrêter d' me coller au cul, je comprends que sa doit être vexant de voir son copain aller voir une autre. Dit-je d'un ton provocant. Elle me regarde, probablement vexer et me mets une gifle.

Samantha : Sa t'apprendra connasse ! Tyler lâche-la mon amour ! Dit-elle en se collant à son mec, ça me dégoûte au sens propre.

Je remarque que tout le monde nous observe et me regarde encore avec pitié ou haine, je me retiens de foutre une baffe à Samantha ramasse mon sac et me casse au chiotte je sentais les larmes me monter au yeux sa faisais bien longtemps que sa ne m'était pas arrivé...

...

Maman, est-ce que je te déçoit, ça doit être certainement le cas...

...

Toute sorte d'émotion me traverse, l'angoisse, une amie de longue date vient faire sont retour est s'empare de moi.
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Merci beaucoup d'avoir lu.

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Bonne journée/soirée !

«luchar contra la sangre» (FR)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant