«luchar contra la sangre» (FR)

Chapitre 8✅

PDV Elena :

Je sursaute et m'apprête à crier une seconde fois quand une main se plaque sur ma bouche. Je me débat, de puissant bras m'encercle et me plaque contre le mur, je lâche un petit crie de douleur et ferme les yeux. Je m'attends à se que l'on me frappe mais rien sauf une voix grave que j'ai l'impression de connaître.

??? : Mais ferme ta gueule il t'arrive quoi !

J'ouvre les yeux et stop tous mouvement, Tyler est en face de moi et me lance un regard noir.

Tyler : Qu'est-ce que tu fou ici toi.Dit-il en me lâchant, il souffle quand on entend quelqu'un qui monte les escaliers.

??? : Tyler, il se passe quoi en haut avec Elena ?? Dit une voix masculine que je ne connais pas. Je regarde vers les escaliers et voix un mec qui me regarde paniquer.

??? : Pourquoi elle est pas dans la chambre ? C'est toi qui la sorti ? Dit l'homme.

Tyler : Tu sais quoi Aris, débrouiller vous avec cette ... grande gueule. Dit-il en appuyant son regard sur moi à la fin de sa phrase. Le dénommé Aris le regarde, souffle et passe sa main dans ses cheveux brun mi-long. Tyler passe devant lui et moi puis descends les escaliers. Je vois Aris lâcher un « putain fait chier. » avant de levé son regard vers moi et de voir que je l'observe, il semble mal à l'aise et ses joues se teinte légèrement de rouge, je ne peut m'empêcher de trouver ça mignon, ce dernier brise le silence et prend enfin la parole.

Aris : Excuse-moi, je me présente, je m'appelle Aris, enchanté de te rencontrer. Dit-il d'un ton chaleureux. Je recule pensent qu'il allait me frapper quand il me tend sa main, je lâche un soupire et me détend. Il semble comprendre ma réaction et baisse sa main pour la passer sur sa nuque, certainement gêner.

Moi : Euh... Enchanté aussi ? Dit-je pas sûr de moi. Il me fait un sourire franc puis hoche la tête.

Aris :Vient avec moi, on va voir les autres, il faut qu'on te parle.

Je ne comprend pas vraiment de quoi il parle mais le suit, on descend les escaliers et on se dirige vers un pièce qui doit être le salon, cette maison est vraiment immense. Il y a un groupe de personne, je reconnais Anna et Liam dans le groupe. Qu'est-ce que je fait ici ?? Je garde mes questions pour moi et je sens le rouge me monter au joue quand toute les conversations se coupe et que tous mes regards se pointent sur moi. Aris mon montre un fauteuil et je m'assoie dessus, il y a un silence gênant qui s'installe, mon mal de tête remonte en flèche.

Anna : Est-ce que tu va mieux ? Dit-elle.

J'esquive sa question part une autre question, sa ne regarde personne ici de savoir si je vais bien.

Moi : Où est-ce que je suis, et pourquoi je ne suis plus chez moi ??

Ils regardent surpris.

Liam : Elena, de quoi est-ce que tu te rappel ?

Je creuse ma mémoire mais je n'arrive pas à me souvenir de grand chose.

Moi : Mon père. Dit-je avec un frisson. Le regard d'Anna se baisse jusqu'au sol.

??? : Bon je vais lui dire on va pas passé pas 4 chemin. Dit une voix masculine, c'est le mec qui est assis à côté d'Anna qui vient de parler.

??? : Anna et Liam ton retrouver chez toi en train de te faire défoncée part ton daron. Dit-il d'une voix sec, Anna le regarde et fronce ses sourcils.

Anna : Thomas ! Soie plus doux, c'est une situation compliqué pour elle ! Le prénommé Thomas me regarde et souffle, j'ai vraiment l'impression de le faire chier. Je passe une main sur mon ventre, j'ai vraiment mal putain.

Thomas : Bon, tu a été amené à l'hôpital, tu avais juste besoin de repos mais Anna a découvert que tu été recherchée part la police, on pouvais pas te laisser là-bas car les policier ont ouvert une enquête sur toi. Dit-il froidement comme ci tous se qu'il venais de me dire étais tous à fait normal. Mes yeux formes des soucoupes et mes sourcils son froncé, j'ai perdu le fil au moment où il a dit:

« Anna a découvert que tu été recherchée part la police. »

Moi : C'est une blague j'espère ?

Liam : Non. Maintenant il faut que tu nous explique pourquoi t'es rechercher part la police et comment ta supprimer de leur base de recherche toutes les infos sur toi. Dit Liam sur de lui.

Moi : Mais de quoi vous parler je suis pas recherchée part la police, j'ai jamais rien fait d'illégal moi ! Dit-je en commençant à m'énerver.

Ils se foutent tous de moi ! Non mais c'est quoi leurs délires. Ils échangent tous un regard puis m'analyse histoire d'être sûr que je ne ment pas. Je commence vraiment à stresser, une question traverse mon esprit, enfaite non, plusieurs question traverse mon esprit. Pourquoi il m'aide si je suis vraiment recherchée, il se sont mit dans la merde car la police va croire que je me suis fait enlevé. Ensuite, comment ils en savent autant ? « Imagine qu'ils fasse parti d'une secte. » Cette pensée m'effraie, je les regarde à mon tour.

Aris : Elena, je crois que quelqu'un veut cacher ton existence. Dit-il dans ses pensées avec une main sur son menton.

??? : Je vais passer un coup de fil à Tyler pour lui expliquer la situation. Dit une fille qui étais rester à l'écart depuis le début de la conversation. Elle se lève et sort du salon, avant qu'elle ne passe la porte Anna l'interpelle.

Anna : Alyssa demande lui en passant quand les autres rentrent de mission. Alyssa hoche la tête puis sort enfin. Anna se retourne et me regarde dans les yeux.

Anna : Bon, Elena tant que cette histoire n'est pas réglé tu va devoir rester ici. Dit-elle doucement comme-ci elle avais peur de ma réaction. Je fronce encore plus mes sourcils.

Moi : Non je vais rentrer chez moi. Dit-je froidement. Je ne compte vraiment pas rester ici. Je... Je vais devoir retrouver mon père.

Thomas : Roh, fait pas chier, considère que on ta kidnapper, de toute façon c'est un peut déjà le cas donc contente ou pas tu va rester ici. Dit-il en se levant, il sort ensuite de la pièce.

Moi : Non mais j'y crois pas... Dit-je en faisant passer mes mains dans mes cheveux. J'hallucine. Je me lève et commence à crier.

Moi : NON MAIS VOUS VOUS PRENEZ POUR QUI LA ?! Vous croyez que vous êtes qui ! Dit-je hors de moi. Je vois Tyler qui vient d'arriver  croiser les bras et se calé contre le mur.

Tyler : ELENA ! Ferme ta gueule ! Tu sais rien de nous mais ne crois pas qu'on va te laisser partir ! Dit-il dans une colère noir. Dans quel baraque je suis tomber putain.

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