Chapitre 4✅

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PDV Elena :

Le BG : Est-ce que ça va ? Vient avec moi.

Je me retourne et je le regarde dans les yeux, il semble énervé.

Moi : Bien-sûr que je vais bien ? Il souffle et me prend part le bras se qui me fait sursauter.

Le BG : Tu ne va pas rester ici quand même ? Fait le bon choix viens avec moi.

Moi : Je vais très bien. Part d'ici.

J'ai envie d'éclater en sanglots, je baisse les yeux, je vais craquer si il ne part pas.

Le BG : d'accord ... Moi c'est Liam et toi ?

Moi : Elena, part s'il te plaît.
Il sors de chez moi.

PDV Liam :

Je viens de partir de la salle de sport, je doit m'entraîner un maximum avant la prochaine mission. Je marche vers la villa quand j'entends des cris plus précisément de fille, je ne sais pas se qu'il me prend mais je décide d'aller voir, je repère la maison d'où vient les cries et sonne, 1 min plus tard un homme m'ouvre, je l'ai déjà vu, il viens casi tous le soirs au bars du gang, et il ressort toujours dans un état pitoyable.

L'homme : Bonjour monsieur ?

Je vois à son regard qu'il est méfiant alors j'invente une excuse, de toute façon j'ai l'habitude, je ne sais vraiment pas se qu'il me prend mais c'est comme ci je savais au fond de moi que je devais être ici et aider cette personne qui à hurler.

Moi : Bonjour je suis votre nouveau voisin, j'étais chez moi et j'ai entendu des cris, tous va bien ?

L'homme : Je m'excuse ma fille nettoyer la vaisselle et a fait tomber une assiette sur sont pieds , et puis vous connaissez les filles sa cris pour rien.

Moi : Ah désolé de vous avoir dérangé alors.

Il mens, je détourne les yeux vers l'intérieur et je découvre la fille de tous à l'heure mais... Elle est en sang elle a des bleus partout, mon corps se tend, je serre ma mâchoire j'ai compris très vite que elle n'avait pas fait tomber une assiette mais que l'homme, qui doit être son père, la bat.
J'ai envie de sortir mon arme et de le buter mais si je fait sa je vais avoir des problèmes, alors mieux vaut réfléchir, je remonte mes yeux et la regarde dans les yeux je vois de la peur, de la fragilité, je remarque qu'elle ce mets à pleurer en silence... Il faut que je la sorte de la, je relève mon regard vers son père.

Moi : Je ne voulais pas plus vous déranger mais est ce que je peut utiliser vos toilettes , chez moi l'eau n'a pas encore étais mit ?

Son père : Oui bien-sûr part quand tu as fini car je doit partir à un rendez-vous.

Ouai c'est sa enculée tu vas aller dans un bars te bourré la gueule! Je compte bien lui éclater sa gueule quand j'aurais sorti cette fille de la. Il m'enmene vers les toilettes j'entre et attend que je l'entende sortir de la maison, ensuite je rejoins la fille quand je vois qu'elle lutte pour monté les escaliers... Sa me fait vriller de savoir que des personnes font vraiment sa, pourquoi sont sort m'importe ?

J'essaie de lui dire de venir avec moi mais elle fait comme si sa vie étais la plus parfaite et quand on regarde dans ses yeux on peut voir qu'à force elle c'est convaincu que sa vie étais normal, j'en ai pas fini avec elle, je l'es déjà vu au lycée donc ça va être plus simple de prendre des infos sur elle, bref comme elle me le demande je partir de chez, elle s'appelle Elena. Je ne le savais pas encore, mais ce prénom étais le début de problème pour moi.

PDV Elena :

Il est parti... Une larme coule le long de ma joue.

« Pourquoi je repousse la seule personne qui voulait m'aider. » pensais-je. Je me sens vraiment conne. Il est trop tard pour regretter, c'est pas comme ci j'allais partir avec un inconnu qui a l'air de faire des trucs louche.

...

J'ai bien fait n'est-ce pas maman ?

...


Il faut que je montre nettoyer mes plaies et les désinfecter... Je montre dans ma chambre et je ne dors pas beaucoup dans la nuit 1/2h max, j'étais trop occupée à me poser 1000 questions et à subir la douleur de mes blessures.

Mon rêveil sonne à 7h30, une migraine commence à faire sont apparition, je masse mes tampes et je me lève, me lave et me mets au moin 1kg de fond de teint pour pas que l'on voit mes bleus, c'est peine perdue mon cocard se vois toujours, je décide de mettre un sweat a capuche noir et des lunettes de soleil pour que l'on voie un minimum mon visage, il fait beau aujourd'hui les gens y verrons que du feu, je vais au lycée, ça a étais une journée très calme sa m'a détendue de ne pas avoir de problème aujourd'hui même si je sentais l'angoisse monter de voir mon père, j'allais partir mais Liam s'interpose :

Liam : Tu compte rester combien de temps dans cette situation ? Dit-il agacé.

Avant que je ne puisse faire quoi que se soie il retire ma capuche et mes lunettes, c'est yeux forme des soucoupes. Je baisse la tête directement gêner.

??? : AU BORDEL C'EST QUOI CE DÉLIRE...!

Hé merde je relève mon regard et tombe sur Tyler. Qu'est-ce qu'il fout là lui.

Moi : Putain faut chier. Dit-je a voix basse. Il manquais plus que lui, nan mais le sort s'acharne sur moi ma parole !

Tyler : Liam c'est toi qui lui a fait sa ??

Liam : Non ! Bien-sûr que non ! C'est...

Moi : Personne !

Tyler et Liam se retourne vers moi, leurs regards sont étonné. Tyler se rapproche de moi et me regarde dans les yeux, je perd le contrôle de la situation, un frisson de peur me parcours quand j'imagine que mon père sache un jours que Liam est au courant. J'inspire un bon coup.

Moi : Mêle-toi de tes affaires Tyler.
Il fronce les sourcils et souffle.

Tyler : Tu sais quoi Liam ? Débrouille toi avec cette folle, je m'en branle d'elle. Dit-il en partant je ne sais où.

Moi : Je doit y aller. Dit-je rapidement pour me sortir de cette situation. Avant qu'il ne puisse dire quoi que se soie je part en courant vert chez moi, il faut que je me fasse petite, je ce n'est que mon deuxième jours de cours et j'attire trop l'attention, ça va me rapporter que des problèmes. Je m'arrête complètement essoufflé, je reprend mon souffle et commence à marcher. Je me pose milles questions, mais, j'ai surtout une peur immense qui parcourt mon corps quand j'imagine Liam en train de tous raconter à mon père... Je suis sortit de mes pensés car je suis arrivé devant chez moi, je sens que je vais morflé, il est 18h, je devais être chez moi pour 17h habituellement.
J'entre, aucun bruit, il est surment aller à un de ses bars...!

Je sens quelqu'un me prendre les poignées et me plaquer contre un mur part derrière, je sens mon corps se crisper sous la douleur, j'entends la voix de mon père.

Mon père : Salle pute c'etais qui ton pote d'hier ?! Hien?! Dit-il en serrant sa prise sur moi.

Mon père : Tu t'imagines 1sec qu'il aurais compris ?! Et puis pourquoi tu rentres a cette heure, t'es encore parti faire ma pute !

Il me plaque encore plus fort, j'étouffe...

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Merci beaucoup d'avoir lu.

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Bonne journée/soirée !

«luchar contra la sangre» (FR)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant