XIV.

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Arrivé dans ma voiture, j'attache ma ceinture enfile mes lunettes de soleil et démarre à toute vitesse.
J'ai toujours eu des doutes sur ma sœur. Et je sais que si Jason me met en garde, c'est parce qu'il a vu quelque chose d'étrange par rapport à son comportement, sur ce côté je le crois à mille pour- cent.

Nala a toujours eu cet esprit de compétition avec moi, elle veut toujours paraître mieux que moi. Plus jeune je m'en apercevais pas mais en grandissant ça m'a sauté à l'œil. Et enquêtait sur moi, dévoiler mes activités à toute ma famille elle en est certainement capable même si je doute qu'elle ai la force mentale pour le faire. Parce que si un jour elle venait à me faire un coup comme ça sœur ou pas elle s'en mordra les doigts.

Après cinq minutes de trajets j'arrive devant une petite bijouterie assez loin des Champs. Je ferme ma voiture avant de rentrer dans la bijouterie.

Je m'en voulais de ne plus parler à ma mère je sais que j'ai eu tord je devais pas m'emporter après tout c'est sa vie donc ses choix j'étais l'enfant pas la mère. Qu'il lui brise le cœur ou pas c'est pas à moi de lui dire. Je les regarderais juste vivre ce qu'ils appellent être l'amour en attendant les dégâts de sa naïveté.


***

Je venais d'arriver devant l'hôpital où étais ma mère. La vie est trop courte pour que je me dispute avec et surtout pendant qu'elle est dans un lit d'hôpital.

Arrivée devant sa chambre je prends un grande inspiration avant de toquer. Une faible voix m'invite à entrer. Des que j'ouvre la porte je vois ma mère couchée dans ce grand lit, souffrante.

Quelle genre de personne suis- je ? Pourquoi je suis aussi dépourvu de sentiments comment j'ai pu rester des jours sans lui parler pour une histoire qui ne me concerne guère.

J'accours sous son chevet.

- Je suis désolée.

Maman - Neelam ... je veux juste ton bonheur pourquoi tu est si bornée.

Je laisse cette question sans response puisque même moi je ne connaissais pas la réponse.

Maman - Tout le monde n'est pas méchant nous sommes ta famille jamais je ferai quelque chose qui te contrarie toi et ta sœur.

- Pardon, j'ai eu tord.

Peut être que ces mots sont simples pour vous mais pour moi ce sont des mots extrêmement durs à sortir de ma bouche.

- Je t'ai acheté un cadeau.


[...]

J'étais arrivé chez moi depuis 1heure de temps j'étais entrain de lire un livre, classique mais que je n'avais jamais lu : ɢᴀᴛsʙʏ ʟᴇ ᴍᴀɢɴɪғɪǫᴜᴇ.

J'ai commencé à lire à mes 16 ans quand je venais d'arrivé en France après un devoir de Philosophie mon professeur de philosie avait beaucoup aimé une de mes dissertations alors il m'a parler d'abord de mes potentiels avant de me conseillé des livres que j'ai adoré depuis j'étais une passionnée. Mais ces dernières années vous vous en doutez que c'était impossible pour moi de tenir même un bouquin entre mains. Les cours. Le travail. Mes activités. Tous m'en empêchaient.

Je vérifie la sauce poulet que j'étais entrain de préparer à côté pour éviter qu'elle n'ai aucun goût de cramé. J'éteins le feu avant de me servir sur une assiette et de manger sur la table basse de mon salon, j'avais horriblement la flemme de manger dans la cuisine qui était trop petite.


ʟᴇ ʟᴇɴᴅᴇᴍᴀɪɴ, 𝟷𝟶:𝟹𝟸


ᴘᴏɪɴᴛ ᴅᴇ ᴠᴜᴇ ᴅᴇ ɴᴀʟᴀ

J'embrasse mon bébé avant de sortir de la maison de ma belle mère. Toute la journée il allait rester chez sa grand mère pour jouer avec ses cousins et cousines. Hamel a toujours voulu qu'ils se fréquentent depuis leur enfance afin d'établir des vrais liens comme lui et ses propres cousins.
Il n'a jamais vraiment eu de frères ces cousins étaient tout pour lui voilà pourquoi il insistait tant la dessus.

Je venais d'arriver à destination. Je prends mon petit sac et ferme la porte de ma voiture avant de rentrer dans l'immeuble et de monter jusqu'au 3e étage.

Il ouvre la porte torse nue.

- Je savais pas que t'allait venir aussi tôt.

- Le trajet n'est pas long.

- Hum.

Il ne portait rien qu'une serviette ça se voyait qu'il sortait de la douche.

Sans attendre, je l'attrape par la mâchoire avant de presser ses lèvres contre les miennes, il répond à mon baiser et ferme la porte avant de me soulever, les jambes sur sa taille.

Notre baiser est de plus en plus fougueux. Je place mes mains sur sa nuque et colle entièrement ma poitrine à son torse. Il se détache de ma bouche avant de me remplir le coup de baisers et d'embrasser plus bas mes seins. Je gémis au contact de sa langue sur ma peau ainsi que mes tétons.

- Zaïr ... *gémissement*



Silence du cœur.

Silence du coeur.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant