PDV Derek
Trente minutes passées, mon message a bien était pris en compte, toute la meute est au loft comme demandé, étonner de me revoir, sauf un.
Fais chier, ou est-ce foutu alpha ?
En attendant Scott, les ados de la meute, avec hésitation me racontent ses derniers mois. Moi qui pensais que ce sont eux qui allaient m'aider pour savoir où se trouve Stiles, j'apprends grâce à leur babillage la raison de son départ intentionnel. La colère me monte, contre ces ados stupides et moi-même.
L'instant d'après un Scott essouffler t'étale dans le loft, agiter comme jamais, bégayant a moitie. Pourtant, un mot me fait froncer les sourcils.
- Stiles, tu as dit Stiles ?
L'attrapant un peu fort par les épaules, je lui demande de se calmer.
- Répète doucement avec des phrases.
Scott, reprenant son souffle, déballe tout ce qu'il a pu voir et entendre ce soir devant la clinique vétérinaire de Deaton. Entre autres, j'apprends la présence de Stiles pour une raison inconnue avec un enfant dans les bras et un Deaton non surpris d'avoir un Stiles censé être disparu avec lui.
Un brouhaha de questionnement prend place dans le loft. Moi-même, je me pose 1000 questions. Mais surtout, qui est cette enfant ?
Nous décidons ensemble de retrouver Deaton pour avoir nos réponses à nos questions. Chacun se dirige dans sa voiture et part en direction de la clinique vétérinaire. Une fois seul, je me remémore.
Flash-back
Après une énième mission coincée dans la voiture de Stiles avec celui-ci.
Son odeur me titille à chaque inspiration.
Par message, Scott nous donne le feu vert pour rentrer chez nous, ai-je à peine le temps de prévenir Stiles, qu'il me propose après la mission de venir dormir à la maison Stilinski.
- Si tu ne veux pas ce n'est pas grave, mais ça sera plus simple, tu comprends, c'est pour éviter les allées retour jusqu'au loft, et puis comme demain, on poursuit cette mission autant gagnée du temps, et puis mon père n'est pas là avant 12h demain et...
Réjouie et satisfait dans mon for intérieur de cette proposition, je croise son regard envieux, le coupant, je réponds enjoué
- Allons-y
Joyeux comme tout avec un sourire jusqu'aux oreilles, nous partons vers la maison du plus jeune.
Une fois arriver, nous grignotons devant la télé, un film de braquage de banque, je crois, je n'ai pas le temps de m'y attarder puisque mon hyperactif et moi, nous sommes en pleine chamaillerie. Après une bagarre improviser, je le soulève et l'allonge sur le canapé pour me venger, j'entame une attaque de guili sur sa personne. Stiles, mort de rire, essaye de se débattre en vain, me faisant rire à mon tour. N'en pouvant plus, nous décidons de monter.
Se déshabillant chacun d'un côté du lit comme si ce geste était banal et habituel. Je ne peux m'empêcher à ce moment-là, de mater ce corps à la fois fin, mais musclé de mon hyperactif. S'il pouvait ressentir tout ce foutu désir que j'ai pour lui. Restant tout deux vêtus que d'un boxer, nous nous couchons.
Regardant le plafond, épuiser de cette journée d'investigation, je le sens bouger et se placer directement sur moi. Sans une parole, le plus jeune me couvre de baiser du haut de la mâchoire jusqu'au bas de mon cou. Grognant par le fait que ces suçons ne restent pas, je ne peux éviter de sourire. Continuant ces baisers, il descend petit à petit vers le bas, s'arrêtant à mes tétons, suçant et mordillant leur extrémité, je gémis bruyamment. Léchant a présent mes abdos apparents, je l'entends émettre à son tour des gémissements. Mon érection grandie à vue d'œil.
Descendant encore plus bas, je décide de regarder vers mon amant. Putain de spectacle.
Mon envie et à son maximum, quand je le vois attraper de ses dents le bout de mon boxer. Décidément, il va me faire perdre la tête. L'aidant à retirer le reste de mon boxer, sans perdre une minute, Stiles s'amuse à passer cette langue enflammée le long de ma verge.
Je n'en peux plus, donnant des coups de hanche pour lui faire comprendre, je supplie.
- Stiles par pitié.
Le sentant sourire contre ma peau. Je pense déjà à ma prochaine vengeance. Et d'un coup sa bouche affamé que pleine d'entrain me prend sans ménagement. Mes halètements et mes coups de hanche redoublent, trop de frustration trop d'envie, je ne mets pas longtemps à venir. Dieu qu'il est doué avec sa bouche. Sur toutes les fellations qu'on m'a faites dans ma vie, Stiles est le meilleur à ce jeu-là. Arrivé au point de non-retour, je me lâche dans sa bouche.
Aucune protestation de sa part, quand mon amant remonte à mes côtés, tout sourire, je suis étonné de constater qu'il a tout avaler.
- T'as avalé ?
Stiles toujours le sourire, fier de lui hoche la tête dans un oui coquin.
Redescendant doucement de mon nuage, je me retourne vers lui et monte au-dessus de lui.
- À mon tour de m'amuserÀ son tour mon amant les yeux pétillants d'impatience, ne perd pas une miette.
Je trace le même chemin que mon compagnon avait effectuée quelque instant plutôt, me frottant contre lui sentant son érection grandir. Me relevant légèrement, je pose mes mains de chaque côté de son corps, délicatement, je les descends de son torse a ses flancs, ondulant sous moi, mouvant frénétiquement ses hanches de bas en haut, contractant ses fins abdos que j'aime tant, appelant mon corps à lui procurer plus de plaisir. Puis arriver au boxer, je ne peux plus résister à cette attraction, enlevant précipitamment ce bout de tissus, je lui prodigue une fellation. Après un magnifique orgasme. Je le prends dans mes bras, son dos collé à mon torse, je ne peux m'abstenir de lui renifler la nuque.
Fin du flash-back
Je veux retrouver cette complicité, ces moments de partage.
Stiles Stilinski, je te promets, je vais t'offrir la vie que tu mérites, elle sera splendide et surtout, tu auras mon amour. Un amour inconditionnel.
Prochain chapitre dimanche.
N'hésitez pas à ma faire savoir si sa vous plaît toujours.
Chapitre corrigé.
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Talia (Terminé)
FanfictionAprès plus de trois mois où sa meute lui en fait baver pour la mort d'un des leurs, ronger par la culpabilité d'avoir été posséder Stiles décide qu'il est temps de fuir beacon Hills mais il n'avait pas prédit un petit inconvénient... C'est ma premiè...