La promesse

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PDV Derek


Une fois mon discours fini, j'aperçois Peter se diriger vers la cuisine.

Le suivant d'un pas de loup pour ne pas être remarqué par Stiles ou la meute, toujours dans le salon a écouté les histoires de l'humain sur les bêtises de Talia, la tristesse dans les yeux. Le manque de Talia nous brise silencieusement le cœur, à chaque seconde.

Restant derrière Peter le temps que celui-ci se servent une bière, bras croisés, j'attends patiemment.
Se retournant surpris, Peter sursaute ne me pensant pas si prêt.

- Pourquoi tu me colles comme ça ? Et au fait joli discours même si la partie, je cite, on sent sortira tous vivant n'est pas vraiment une vérité.

Relevant sa bière décapsuler dans ma direction dans une imitation de tchin. Attendant, toujours les bras croisés, le regard fermé que monsieur et finis ses plaisanteries.

- Ah oui les outils du destin, c'était pas mal aussi, tu la lus dans un de tes livres ?

Hmmm ? Pourquoi tu me fixes comme ça ?

Le visage sérieux, je lui réponds.

- J'ai une demande à te faire.

Fronçant les sourcils, me dévisageant, attentif, les trait sévères, ont remplacé l'amusement. 

- Je t'écoute.

Hésitant un instant à la requête que je compte lui réclamer, comprenant l'importance de cette demande. 

- Je veux que tu me promettes de protéger Stiles et Talia, si la moindre chose arriver demain.

Souriant en coin celui-ci me lance.

- Je protégerais Stiles et Talia, et pour ton information, tu ne vas pas mourir, je parierai plus sur le nouveau, comment c'est déjà Yann ?

Clignant des yeux, plusieurs fois par le manque de talc de mon oncle, sentant l'anxiété et la mélancolie a des kilométrés, celui-ci redevenant tout à fait sérieux d'un seul coup, sûrement dû à mon état me dit.

- Sérieusement Derek, je promets de protéger ta fille et ton compagnon même si je dois perdre la vie pour ça, je le ferai sans hésitation, et si c'est toi qui y reste-je te promet de veiller sur eux toute leur vie.

Baisant les yeux, un air triste dû à de durs souvenirs.

- Quand je vous regarde, je me revois avec Corinne avant que cet incendie ne nous sépare, vous puer l'amour à des bornes et te voir heureux comme ça, ça me fait du bien à moi aussi. Grâce à vous deux, je me dis qu'il y a une petite lueur d'espoir que la famille hale ne s'éteignes pas.

Émus et confus à la fois de son aveu.

- Merci Peter

Buvant une gorger de sa bière me regardant sourire au coin des lèvres, reprenant son air espiègle, il me dit.

- Et d'ailleurs je ne peux pas le laisser mourir, c'est mon préféré dans la meute, ou veut tu que je trouve un autre adolescent aussi sarcastique que moi ?


Souriant à mon tour par l'affection qui n'exprimera et ne montrera jamais, mais qui est belle est bien, pressent pour cette meute, je lui répète.

- Peter merci

Me penchant vers lui pour une petite accolade, c'est un Peter à la fois choqué et figer qui se retrouver a m'étreint étrangement.

- Je n'aurai jamais cru voir ça Derek et Peter, les loups loups ont besoin d'affection ?

Nous retournant sur Stiles, complètement avachi sur le contour de la porte de la cuisine, les cernes creusant son beau visage. Lui souriant, même plus agacer par ses bêtises, mes heureux de retrouver un Stiles un peu plus gai qu'il y a quelques minutes. Il nous annonce, en pointant l'horloge.

- J'ai envoyé tout le monde se coucher pour qu'il ait au moins six heures de sommeil avant la grande bataille, je vais monter...

Peter coupant l'humain, nous fixant tour à tour.

- Je suis sûr que vous allez baiser ?

Me retournant, les gros yeux pointés sur Peter, ahuri qu'il est osé, c'est l'hyperactif qui aussi outré que moi, le regardant de haut en bas, lui répond.

- Mais putain, tu penses qu'à ça, ce n'est pas possible, un conseil trouve toi quelqu'un ou sinon je te prends un abonnement à la chaîne pour adulte histoire de relâcher la pression que tu encaisses depuis des années, franchement pervers, va te coucher.

Sur cela, Stiles part vers l'escalier hochant toujours la tête de droite à gauche.


Peter, réjoui de sa soirée, se dirigeant droit dans le salon avec sa bière a la main, répondant dans le vide tel un fou sorti de son hôpital.

- Haaa, c'est sûr que je lui sauve la vie à ce petit, avec qui je pourrais avoir des joutes verbales sinon, il est marrant lui.

Sur ces paroles, je rejoins mon compagnon.



Hésiter pas à me donner vos avis sur l'histoire, en espérant que celle-ci vous plaît toujours.

Prochain chapitre sera mercredi prochain. 

Chapitre corrigé.

Talia (Terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant